Avis personnel sur la Thailande
Mon avis sur la Thailande a-t-il changé ?
Il s’est passé beaucoup de choses.
Je vais vous résumer tout ça.
Donc, cet article va être destiné à ma vie perso, c’est-à-dire où j’en suis.
Je suis toujours en Thaïlande, mais des choses ont bougé.
Donc, pour ceux qui ont suivi, ou très rapidement, des faits : j’ai rendu mon appart à Dubaï en décembre.
Depuis, je suis en Thaïlande. Et c’est juste complètement surprenant.
Ce n’est pas du tout un mode de vie que j’apprécie, ni que j’aime avec ma femme et ma fille.
Résultat, on est arrivé en Thaïlande avec une quarantaine.
Il y avait des histoires de visas. Je ne vais pas entrer dans les détails.
Mais grosso modo, on ne peut pas avoir le visa. C’est beaucoup trop compliqué.
Il y a eu des changements de règles entre de nombreuses choses.
Covid, mauvais timing, les personnes qui s’occupaient de ce dossier avaient des problèmes.
Il s’est passé plein de choses avec des rebondissements, etc.
Je ne vais pas faire le récit complet.
Je pourrais écrire une série sur ce qui m’est arrivé ces deux derniers mois.
Mais ce n’est pas le sujet.
Avis Thailande : on reste et on doit faire un aller retour
Le sujet, c’est quoi ? Je vous donne juste un aperçu de ce qui va suivre.
On va devoir partir de Thaïlande, théoriquement on a un billet d’avion pour le 25 mars.
Mais peut-être qu’on partira avant.
Deux choix vont s’offrir à nous et j’hésite.
Soit on repart à Dubaï pour environ 6 mois. Soit on va en France ou en Suisse pour aller faire du ski pendant un mois.
Je pense qu’on va alterner un peu entre les stations de ski.
Je pense qu’on fera les deux en fait.
En France et en Suisse sur un mois.
J’essaierai d’en profiter pour voir quelques Suisses ici présents, ça me ferait plaisir d’ailleurs, et voilà.
Le sujet délicat en ce moment.
C’est que nous devons soit rester à Dubaï quelques temps, le temps de prendre certaines dispositions.
Ce qui est bien, car cela nous permet de remettre en ordre certaines choses et cela m’arrange pour d’autres sujets.
Mais on est quand même parti pour plusieurs raisons et ça nous embêterait d’y revenir.
Le truc, c’est que je ne peux pas passer des mois en Airbnb encore.
Ce n’est pas du tout ce que j’aime et je ne peux pas travailler comme je le veux.
Je sais qu’il y en a certains qui attendent certaines choses et à qui j’ai dit que je m’en occuperai quand je serais installé.
Ça ne va pas être possible si je continue à vivre en Airbnb.
Bouger d’AirBnb en AirBnb n’est pas soutenable
Clairement, ce n’est pas une vie. Enfin, pour moi, ce n’est pas du tout ce que je recherche.
Je sais qu’il y en a beaucoup qui rêveraient de certaines choses comme ça, mais pas moi.
Je pourrais réajuster mon mode de vie, par exemple, me caler un mois à tel endroit, un mois à tel autre endroit.
Mais il y a beaucoup de contraintes, car en fait, il y a un sentiment qui s’entremêle quand on fait ça :
La culpabilité de ne pas se donner le temps de faire certaines choses ou la culpabilité de ne pas prendre le temps de travailler comme il le faudrait.
Mon avis sur la Thailande ne change pas fondamentalement du a des difficultés techniques.
En cumulant tout cela, on ne fait rien de manière satisfaisante.
On essaie de tenir les meubles des deux côtés, mais ce n’est pas du tout efficace pour notre épanouissement personnel.
On ne peut pas tout faire à moitié, mais on se retrouve à moitié dans un logement, à moitié dans un autre, à moitié dans un pays, à moitié dans un autre, à moitié en train de travailler, à moitié en train d’essayer de profiter parce qu’on est dans un nouvel endroit.
C’est très compliqué.
Et je déteste cela, je ne sais pas faire la part des choses.
Je suis quelqu’un de très passionné et j’aime faire les choses à fond, quitte à en souffrir.
Enfin, vous le voyez bien avec les podcasts, je peux être très investi dans la création de contenu.
Quand je m’engage dans quelque chose, j’aime bien m’y tenir.
Mon avis a beaucoup changé : j’ai beaucoup subi ces derniers mois
Ces deux derniers mois, j’ai plutôt subi les événements.
Je subis rarement dans ma vie, mais en tout cas j’ai toujours fait le choix de ne pas subir. En général, cela se passe assez bien.
Depuis l’été dernier, j’ai pris acte que j’allais subir les prochains mois, ainsi que le marché mondial actuel qui est compliqué.
Il y a beaucoup d’apprentissage personnel sur le fait de subir certaines choses, ce qui n’est pas plus mal en vérité.
On maîtrise certaines choses, on n’en maîtrise pas d’autres.
Il y a des domaines où je me sens à l’aise, je ne me sens pas meurtri par certains sujets, mais je trouve ça intéressant.
Par contre, je suis très énervé envers moi-même parce que je ne peux pas travailler comme j’aimerais.
Et travailler comme j’aimerais ne veut pas dire travailler plus.
Au contraire, cela signifie travailler moins, c’est-à-dire avoir un lieu de travail efficace pour gagner du temps.
Ce qui est frustrant, c’est que quand je perds deux jours par semaine pour m’installer, qu’après il faut refaire des courses dans des magasins différents parce qu’on n’est plus au même endroit, cela demande beaucoup d’adaptation.
Il y a beaucoup de paramètres qui sont très chronophages et qui empêchent finalement de gagner du temps.
Avis Thailande : Expatriation vraiment compliqué
Bon, après il faut ressortir ton matériel, tes affaires, les sortir de tes sacs, et ce n’est même pas une question de matériel, c’est se remettre sur l’ordinateur avec une connexion.
Ah, mais là le Wi-Fi marche moins bien.
C’est plein de petits paramètres qui sont très compliqués.
C’est pourquoi je ne le faisais pas. Je n’ai jamais aimé faire ça dans toute ma vie, ce n’est pas quelque chose que j’apprécie.
On ne peut pas être à la fois nomade et baroudeur, ce n’est pas possible, c’est incompatible, sauf si on a une petite activité, c’est-à-dire quand on gagne entre 5 et 10 000 euros par mois.
Quand on gère des centaines de milliers d’euros par mois, on ne peut pas faire ça, ce n’est pas possible.
Avis Thailande : On repart a Dubai ?
Donc, le résultat, c’est quoi ?
Pour l’instant, c’est ce petit message.
Je ne sais pas trop.
Soit on repart pour 6 mois à Dubaï, en attendant de prendre des dispositions différentes pour revenir en Thaïlande.
Je pense qu’on reviendra en Thaïlande, même s’il y a certaines choses en Thaïlande qui sont très bien et d’autres qui sont très mauvaises.
On ressent les aspects positifs et négatifs.
Ce qui me gêne beaucoup en Thaïlande, l’élément principal que j’adore, c’est qu’on retrouve la nature, des paysages extraordinaires, une forme de vie assez simple qui nous correspond à peu près.
Le point moyen, c’est qu’on ressent beaucoup le racisme, le racisme anti-blanc, le racisme lié au tourisme.
On est vraiment considérés comme des pourvoyeurs d’argent.
J’ai vécu des histoires incroyables à ce sujet.
Ce sont des choses que l’on ressent déjà en quelques mois et je pense que sur le long terme, cela pourrait vraiment me perturber.
C’est présent dans chaque situation, que ce soit quand on prend un taxi, quand on va au restaurant ou dans d’autres moments de la vie quotidienne.
Une mentalité différente
Là où à Dubaï, tout le monde est à la même enseigne d’un point de vue, disons, de la chance, tout le monde s’est expatrié donc il y a un respect qui est différent.
Pour des raisons simples, c’est facile de dire que le peuple est gentil et spirituel.
Quand il y a une crise, normalement c’est là où on voit si ça marche.
Eh bien, pour le coup, je suis chez eux, ça ne marche pas. Ils sont devenus très spécifiques.
Ça a commencé à l’immigration, la femme de l’immigration, j’ai failli me disputer avec elle le premier jour à l’arrivée, après l’avion, elle était vraiment désagréable.
Et je le dis rarement, vraiment là à mon avis.
Alors bon, les gens de l’immigration sont comme ça, on ne va pas généraliser.
Alors, on va dire oui mais c’est la crise partout, et c’est justement dans ces périodes où la spiritualité est censée être haute, où ta spiritualité est censée prendre le dessus dans ces moments-là.
Avis Thailande : Les Prix ?
Je ne pense pas qu’en Thaïlande ce soit moins cher qu’ailleurs, globalement je n’ai pas fait ce calcul pour ça.
Ça m’a beaucoup posé cette question, est-ce que j’y allais pour le prix des choses?
Je veux dire, je ne parle pas de Dubaï, en Thaïlande, pour dépenser moins, je ne sais pas, ce n’est pas là que j’ai cherché, ça n’a pas de sens.
Globalement, la vie est moins chère, on peut manger avec moins, mais les choses sont bien différentes.
Je garde toujours une certaine affection pour Dubaï sur ce sujet.
Cependant, Dubaï a aussi beaucoup de défauts qui ont fait que j’en suis parti malheureusement, à contre gré et contre cœur, mais c’est comme ça.
Je pense qu’on ira en Thaïlande au final.
La Suisse ne revient pas sur le tapis, mais reste quand même dans un coin de la tête pour différents paramètres.
Je pense toujours a la Suisse
Le problème de la Suisse, c’est sa position dans l’Europe, il va falloir qu’elle se clarifie très vite parce qu’elle commence à m’agacer.
Il va falloir qu’elle prenne une position claire, parce qu’elle ne peut plus continuer ainsi.
Aujourd’hui, la neutralité n’est plus du tout en Suisse.
Je ne sais pas, peut-être que je vais partir à Dubaï pour quelques jours, puis ensuite aller au ski.
En fait, je pense que cela me ferait du bien.
Aller au ski, faire deux ou trois trucs. Je vais aller un peu profiter, parce que j’ai vraiment souffert ces trois derniers mois.
Et je pense qu’aller skier pendant deux ou trois semaines me fera du bien.
Le ski, encore et encore
Surtout que c’est la période du printemps et que c’est super cool au ski au printemps.
Donc, je pense que c’est ce qui se passera en attendant de savoir ce qu’on fait après ça.
Et là, c’est très délicat parce qu’on est clairement sans domicile.
On n’est pas sans visa, on a toujours un visa Dubaï, mais après il ne faut pas trop tarder, il y a des notions de résidence, il y a plein de choses, de contraintes, etc.
On ne peut pas se permettre de vivre dans des Airbnb, ce n’est pas possible.
Notamment quand on a de la crypto qui commence à être importante.
Mais pas seulement, dans le business, dans les comptes en banque, il nous faut un logement.
Il faudra prendre une décision
À un moment donné, il faudra prendre une décision.
Je n’avais pas vraiment d’appétence particulière.
C’est un peu le principe du « le monde est à moi ».
Et c’est dans le sens où je pourrais aller n’importe où, mais il n’y a rien qui me stimule particulièrement, à part la montagne.
Si je m’écoutais, je serais dans un chalet au milieu de la montagne, chose qu’on pourrait faire, mais après il y a d’autres contraintes à prendre en compte, ce n’est pas une lubie, il y a des aspects pratiques et techniques.
J’ai l’impression d’avoir développé une quête sur ce sujet alors que je n’en avais pas.
J’ai l’impression qu’il y a une quête qui s’est créée depuis le Covid sur un sujet aussi simple que ça, où je me rends compte qu’en fait, on ne sait pas trop où aller.
Enfin, moi je m’en fous.
C’est-à-dire demain, tu me mets en Thaïlande, en Bali, en Australie, en Amérique, ça ne me dérange pas.
TOUT sauf l’EUROPE
Moi, ça me va, je m’en fous. À part en France, s’il vous plaît, même en Europe, tout sauf l’Europe.
Mais après, de toute façon, il y a de très beaux pays en Europe.
J’adore la Croatie notamment. Il y a plein de choses super intéressantes en Europe, mais pas pour moi.
La France me déçoit à tous les niveaux : médical, social, éducatif, donc ce ne sont pas des choses qui me tentent.
La Thaïlande est un peu mieux réputée, et Dubaï, pour moi, est excellent d’un point de vue école et santé.
Pour moi, ça reste un des meilleurs pays, même s’il faut faire un peu attention.
Donc, on verra.
La situation internationale actuelle est quand même assez complexe pour déterminer où aller.
Je fais plutôt attention à mes ressources financières, à mes comptes en banque, etc., et à savoir comment je les gère, plutôt que de choisir quel pays je vais habiter.
Globalement, ce qui va conditionner le choix, c’est la facilité, car cela fait un an que je galère sur ces sujets et ce n’est toujours pas fini.
J’ai envie de simplifier un peu plus maintenant.
J’avais dit, je crois, que cette année allait être consacrée à la simplification, à réduire la voilure, parce que ce n’est plus possible.
Avis Thailande : Le pays du compromis
C’est devenu impossible de rester deux mois dans un pays sans être capable, à la fin, peu importe la raison, de ne pas pouvoir obtenir le visa, d’être obligé de repartir et d’avoir sa vie dans des valises constamment.
Il faut de la facilité à un moment donné.
La question, c’est la facilité, mais à quel prix ?
Pas au prix financier, mais à quel prix global es-tu prêt à mettre dedans ?
Au prix d’un logement, d’une santé, d’un loisir ?
C’est juste ces concessions-là et quel compromis surtout si on ne veut pas faire des concessions pour le plaisir de les faire.
La Thaïlande trouve un bon compromis dans tout cela.
J’ai dit plusieurs fois que, alors que le monde part un peu en vrille, je trouve que c’est un bon endroit pour être un peu à l’écart des gens.
Il y a beaucoup de choses très intéressantes en Thaïlande qui te permettent d’avoir toujours une porte de sortie, ce qui n’est pas le cas à Dubaï et encore moins en Europe.
Avis Thailande : Cuisine, paysage, accessibilité
Après pour mon avis sur la Thailande, il y a beaucoup de choses que j’ai aimé. J’adore la cuisine thaïlandaise, je suis très fan de ça.
J’apprécie l’aspect culturel qu’il peut y avoir, les histoires intéressantes, les paysages incroyables et le service qui est plutôt bon.
Un détail que j’ai beaucoup apprécié, même s’ils ne parlent pas très bien anglais, c’est que tous les livreurs et les employés font l’effort d’essayer de s’adapter à ta langue, en tout cas à l’anglais, et je trouve ça chouette.
À Dubaï, pour ceux qui sont déjà passés, quand les livreurs essaient de trouver ton appartement, c’est souvent la galère.
Ici, je trouve ça simple, en comparaison.
Pareil, tu peux sortir, trouver un coiffeur, ce n’est pas cher, tu as un peu toutes les commodités globales.
Ce que j’ai beaucoup apprécié aussi, c’est de pouvoir renouer un peu avec le côté piéton – à Dubaï, c’est très compliqué.
Je ne pensais pas être autant sensible à ça, le côté piéton, vraiment, je ne pensais pas que ça me manquait autant.
Un trajet de 2 heures en SUV pour 40 euros
Après, tu ne vas pas chercher à pied chez ton boucher, mais il y a tous les services qu’il faut.
Les taxis sont bons, même pour faire de longues courses.
Par exemple, il y a quelques semaines, j’ai fait un trajet en taxi de deux heures de route.
Ca m’avait coûté peut-être 40 euros, c’est quand même ridicule.
Cans un SUV parce qu’on avait des valises et qu’on avait notre vie avec nous.
Donc ce n’était pas juste un taxi normal.
Il y a beaucoup de choses très intéressantes, même d’un point de vue nature, des animaux.
J’adore voir ma fille jouer avec des escargots, avec des poissons dans l’eau, quand on se baigne avec la nature en fait, tout simplement.
Alors, à Dubaï aussi il y avait des poissons, mais ce n’est pas pareil.
C’est ce que je recherchais, et j’ai pu toucher du doigt ce qui me semblait être intéressant.
Avis Thailande : J’ai galéré pour m’installer
Je ne sais pas si ça vaut le coup, mais ça vaut le coup de tenter un ou deux ans en tout cas, pour voir.
Mais je n’oublie pas le côté un peu plus difficile que j’ai rencontré sur ce sujet, j’en ai vraiment bavé pour habiter en Thaïlande.
Je n’ai jamais vu ça de ma vie, même avec des affaires, je n’avais pas autant galéré.
Peut-être que j’exagère un peu, mais je pense que c’est le projet de ma vie qui m’a fait le plus souffrir, dans son ensemble.
Ce n’est pas juste pour obtenir le visa, il faut partir et faire des démarches, attendre, etc.
D’un point de vue projet, je crois que c’est celui qui m’a fait le plus galérer dans ma vie.
Là où certaines personnes n’ont aucun souci, prennent un avion et tout va bien.
Je sais que je suis un chat noir dans beaucoup de situations, vous ne le savez pas parce que vous ne voyez que le résultat, mais dans ma vie, j’ai beaucoup d’endroits où je suis chat noir.
Cela arrive, mais là, c’est même plus un chat noir, c’est un chat noir un vendredi 13.
La route est longue, mais globalement, c’est la vie et tout va bien.
Ce qui me dérange, c’est qu’il me reste encore trois mois de galère, je pense.
Beaucoup de temps perdu pour cette expatriation a cause de mauvais prestataires
Ce qui me dérange, c’est que je vais passer six à neuf mois de ma vie à galérer pour pas grand-chose, voire rien.
Il y a des hauts et des bas dans la vie, et il y a plus à plaindre, mais ce n’est pas vraiment le sujet.
Neuf mois, c’est long pour s’adapter continuellement à des choses qui ne sont pas l’objectif principal de ce pour quoi on le fait.
Être obligé de subir des aléas comme ça, je suis habitué à choisir entre la merde et le purin sur le principe, mais c’est quand même compliqué.
Est-ce que ca change mon avis sur la Thailande ?
Ce n’est pas clair ce que je dis, mais quand je parle de la différence entre la merde et le purin, c’est que je dois continuer à galérer pour avoir un visa si je veux bouger, ou alors je rentre à Dubaï, mais je suis parti pour certaines raisons.
Donc je ne vais pas me dire que finalement ces raisons ne sont pas valables et je reste.
Je viens de vivre une bataille folle, je ne repars pas à la conquête.
Avis Thailande : Trouver les bonnes personnes
Il faut trouver des processus simples avec des gens simples qui permettent de faire des choses simples.
Et ce ne sera pas en Thaïlande.
Je ne peux pas continuer encore trois mois, bien que je n’aie pas le choix.
Mon avis sur la Thailande n’a pas changé.
Soit je rentre à Dubaï et je me pose pendant six mois.
Mais il y a des raisons pour lesquelles je ne suis pas simplement parti.
Soit j’accepte de continuer pendant trois mois à faire du Airbnb, aller au ski, etc.
Certains aimeraient avoir ma vie, aucun problème là-dessus, mais nous sommes tous différents et ce n’est pas forcément ce que je veux.
Aller au ski, oui, mais passer neuf mois de ma vie dans des Airbnb ne m’emballe pas trop.
Donc voilà, je vous tiendrai au courant, tout simplement.
