Défis Entrepreneurs Réussi : On quitte enfin Dubai pour la Thailande
Premier des défis entrepreneurs réussis : expatriation.
Bonsoir à tous, j’espère que tout le monde va bien.
Je vous fais un petit message pour plusieurs raisons.
La première, c’est de vous dire que je pars de Dubaï. J’ai devant moi un grand lac et le Burj Khalifa qui domine, avec une vue assez belle en vérité.
Je n’ai jamais trop aimé le centre de Dubaï, mais j’ai passé pas mal de temps ici.
J’aime beaucoup Dubaï Creek, qui est un quartier très excentré de la ville, c’est vraiment un quartier que j’apprécie beaucoup pour plein de raisons.
C’est un peu avec regret que je vais quitter ce quartier, car on commençait à trouver une stabilité dans l’instabilité.
Donc du coup, gros challenge, je pars demain en Thaïlande.
Pour ceux que ça intéresse, j’ai une demande de visa qui a été faite le 10 avril, qui n’a pas abouti.
Le papier est valable un mois, c’est-à-dire du 7 avril au 7 mai.
Toujours pas eu mon visa, donc j’ai arrêté l’ancien processus avec l’autre personne.
Ça m’a coûté un petit 5 000 balles perdu dans la nature, ce qui n’est pas rien et ça me fait un peu chier, mais c’est la vie.
Ça m’a coûté bien plus cher finalement, tout le reste.
J’ai appris la résilience
Plusieurs choses à vous dire là-dessus : j’ai vraiment été à terre, j’ai vraiment appris la résilience ces derniers mois avec tout ce qui m’est arrivé.
Heureusement, ça va mieux depuis un mois, à peu près.
C’est plutôt cool.
Il y a des problèmes normaux qui arrivent, comme Stripe sur Web2fou et d’autres choses classiques, mais ce ne sont pas des petites choses.
Pour certains, ça pourrait être des ruines totales, mais ça va, je suis assez diversifié, conscient de mon business et de mon travail.
J’ai fait en sorte que tout ce qui est business un peu normal soit toujours en queue de peloton, c’est-à-dire le dernier.
Défis entrepreneurs principaux : je perds ma stabilité de Dubai
Ce qui fait que, forcément, ce n’est pas prioritaire.
Je sais que beaucoup, comme je l’ai mentionné dans mon message précédent, m’ont demandé d’acheter des formations cette semaine.
Je dirais qu’une quinzaine de personnes m’ont envoyé des messages.
Malheureusement, je suis désolé, mais je dois repasser sur tous mes tunnels, j’en ai cinquante, changer des stripes, réouvrir des trucs et tout.
Je n’ai tout simplement pas le temps, et je ne vais pas demander à quelqu’un de le faire pour moi puisque ça me prendra encore plus de temps.
Je le ferai en Thaïlande probablement vers la fin de la semaine prochaine, promis.
En vérité, j’ai un deuxième compte actif Web de fou que je peux utiliser tout de suite, mais je ne veux pas faire n’importe quoi en le réactivant immédiatement.
Donc, considérez cela comme des vacances et permettez-moi de ne pas proposer de formation cette semaine et la semaine prochaine.
Très content de partir en Thaïlande, j’ai une petite appréhension, car la stabilité que j’avais trouvée à Dubaï, je vais la perdre en Thaïlande.
Sachant que j’ai beaucoup de projets sous le coude en crypto, en power, et en NFT également.
Cela va me créer une instabilité qui va me faire monter en tension.
À Dubaï, c’est facile, on connaît, on prend les trucs, on commande des courses et tout ça.
Quand on n’est pas dans notre pays, qu’on n’est pas au même endroit, etc., cela crée des tensions inutiles.
Les défis entrepreneurs en Thailande : fuseau horaire, stabilité, partenariats
Mais rien de grave, disons que dans des moments assez hasardeux au travail, ce n’est pas le meilleur moment.
De toute façon, il n’y a jamais de meilleur moment, donc je suis assez content.
Normalement, je vais en Thaïlande et je ne reviens pas.
J’espère que tout se passera bien.
Mon nouveau partenaire est sur le qui-vive sur le sujet, il a suivi avec moi depuis un mois tous mes déboires, il a fait ce qui est nécessaire.
J’espère ne pas avoir trop de problèmes avec l’ancien qui ne devrait pas trop me casser les pieds.
Résultat des courses, on va voir un petit décalage horaire qui va être plutôt compliqué sur la gestion des projets cryptos, notamment avec tous les projets qui sont de base en UTC, c’est-à-dire à l’heure américaine.
Donc, j’ai une réorganisation la semaine prochaine que je vais devoir avoir, ce qui ne me fait pas plaisir en vérité.
Toute la réorganisation que j’ai mise en place à Dubaï pour pouvoir trouver une mini-stabilité, je repars, ça va être compliqué.
Surtout que, c’est quand même quelque chose de cool, mais bizarrement, je suis moins enclin qu’au mois de janvier.
Je sais qu’on va arriver en Thaïlande, qu’on va devoir chercher un logement et tout ça.
Donc, je vais essayer de faire en sorte de bien le vivre, parce que ce n’est pas forcément une volonté que j’ai actuellement.
J’ai dû switcher mon état d’esprit pour survivre mentalement
Un nouveau monde thailandais pour de nouveaux défis entrepreneurs
Alors, on pourrait dire « tu peux partir plus tard en Thaïlande », oui et non en fait.
Je démarre un projet à moyen-long terme et il faut partir au plus vite.
Maintenant, il y a une réadaptation à faire.
J’ai l’énergie et la motivation, en tout cas, je pense qu’on arrive en Thaïlande.
Je suis aussi content de quitter Dubaï.
Il fait très beau à Dubaï, mais c’est tout.
On a beaucoup de poussière et je tiens à dire que j’apprécie énormément Dubaï.
J’ai vraiment été très content de revivre à Dubaï pendant deux mois, j’adore Dubaï.
Mais malheureusement, je suis aussi très content d’en partir.
C’est quand même très ambivalent comme sentiment.
Je suis convaincu que c’est une place forte pour la liberté durant les prochaines années, probablement les 10 prochaines années.
On verra, les croyances n’engagent que ceux qui y croient.
C’est mon avis en tout cas.
La Thaïlande va me permettre d’avoir beaucoup de nouvelles choses.
Je quitte un réseau et j’ai été très heureux ces deux derniers mois de rencontrer beaucoup de personnes.
J’ai pu revoir des amis, comme mentionné précédemment, revoir un très bon ami, Flo, avec qui ça a été vraiment un plaisir de le revoir.
Ça faisait depuis le début de la pandémie de Covid qu’on ne s’était pas vus, soit presque trois ans.
Depuis la naissance de ma fille, il était venu pour la naissance et je ne l’avais pas revu depuis.
Donc ça fait trois ans.
Défis entrepreneurs 2 : je dois redéfinir mes reperes profesionnels
Donc ça m’a fait extrêmement plaisir, ça a fait plaisir aussi à ma femme, tout le monde était très content.
On a revu d’autres amis, c’était super chouette.
Il y a eu un très bon mood en fait, durant cette dernière semaine, hormis les problèmes que j’ai pu traverser, ça a été super.
Une page se tourne, entre guillemets, ce n’est pas une grosse page, car ça me tarde d’avoir mon chez moi.
Je suis impatient d’acheter mon ordinateur, mes écrans.
Et j’ai même envie de jouer à la PlayStation, je ne sais pas d’où ça vient.
Alors, quand je dis « PlayStation », ce n’est pas pour jouer à la PlayStation, je ne suis pas intéressé par jouer à la console.
En fait, je veux un coin intime, un peu geek.
Ça ne sera peut-être pas une PlayStation, ça sera peut-être une ferme de minage à la place.
Vous voyez ce que je veux dire ?
Mais je suis dans cet état d’esprit, j’ai envie d’avoir un petit cocon de travail.
Ca me manque vraiment, je ne pensais pas.
J’ai toujours travaillé chez moi
J’ai travaillé beaucoup de chez moi, quasiment toute ma vie professionnelle.
Peut-être pas toute ma vie, mais 80 % de ma vie professionnelle.
En fait, j’ai toujours détesté travailler à un endroit fixe devant un bureau, donc j’alternais entre mon salon, mon jardin, et autres.
Et en fait, le fait de ne plus avoir le choix m’a beaucoup dérangé.
C’est vrai que l’on a perdu nos repères, on n’a plus nos façons de travailler, on n’a plus les mêmes choses ouvertes, etc.
J’ai hâte d’avoir un iMac, on verra si je reprends l’ancien, s’il faut que je me le trimballe, ou si un ami me l’envoie par bateau, je ne sais pas encore.
Et si ce n’est pas le cas, tant pis, j’en rachèterai un.
C’est un peu du gaspillage, mais c’est nécessaire pour ce genre de choses.
J’a fait beaucoup de consulting et d’advisoring ces derniers temps
Très content aussi d’avoir switché un peu sur ces derniers mois de mon mode de fonctionnement.
J’ai quitté mon écran pour être sur mon téléphone.
Je fais beaucoup d’advisoring, j’étudie beaucoup de projets.
En fait, c’est un peu comme un auditeur d’études de marché, si je peux dire, et génération d’idées.
J’aime bien cette place parce que ça met à l’épreuve mon intelligence, ma logique, ça me force à continuer d’apprendre des choses que j’apprécie et ça me met dans des positions où je suis respecté pour les idées que j’ai et non pas pour les idées que j’applique.
C’est-à-dire que très souvent avec les associés, on se confronte avec des idées.
On se dit « oui, alors là on pourrait le faire, ouais mais là non, ah ouais ».
Moi, ça m’a toujours un peu tiré vers le bas parce qu’on est obligé de recruter trois personnes pour mettre en place des trucs, des machins.
Et quand, en fait, il y a des vrais gars qui sont prêts à appliquer en 24 heures tes idées, la donne change.
Tout fonctionne quand on applique mes idées
Je constate, au fil des projets – je suis à peu près à une vingtaine, un peu plus d’une vingtaine de projets maintenant – que mes idées, quand elles sont appliquées, ça fonctionne assez bien.
Alors ce ne sont pas que mes idées, c’est surtout la façon dont c’est brainstormé par les équipes et appliqué par les fondateurs.
Je garde toujours ma place, c’est-à-dire je prends X pour cent, et ça me va très bien.
On m’a posé la question récemment : pourquoi je ne prends pas plus ?
Et j’expliquais que c’était pour la liberté, c’est toujours le même truc en fait.
Moi, ça ne m’intéresse pas d’avoir 80 % d’un projet, je préfère avoir 10 % de 50 projets.
Et c’est toujours cette logique, aussi bête que ça.
On me paie pour sumonter les défis entrepreneurs et remises en question
On m’achète des idées, on m’achète des fonctionnements, on m’achète des remises en question, puis la gestion des priorités, en fait tout ce qui fait un entrepreneur.
Et en fait, c’est vrai que je me sens beaucoup plus valorisé personnellement plutôt que d’être critiqué par mes salariés.
Surtout à ma place, c’est-à-dire, j’ai dit il y a quelques mois que j’aimerais bien évoluer sur du coaching, de l’accompagnement en B2B.
Alors évidemment, quand c’est toujours pareil, l’accompagnement c’est bien pour ceux qui ont déjà beaucoup d’argent parce qu’ils ont conscience de beaucoup de choses.
Ceux qui font moins de 50 000 balles par mois ont toujours une notion un peu hésitante.
Toujours un peu « oui, mais », « là, je ne peux pas », « non, mais j’ai peur ».
Il y a toujours cette notion-là en dessous de 500 000 par an, alors qu’à partir de 1 million, les gens ne se posent plus ces questions.
Ils se connaissent, ils connaissent leurs faiblesses et savent comment avancer.
Ce qui leur manque, c’est la gestion, le côté entrepreneur dans la globalité, c’est-à-dire le pilotage, la gestion RH et les ressources.
Ça me plaît beaucoup à ce niveau-là et dans la crypto, c’est vrai que c’est un accélérateur pour ça, puisque trouver des mecs qui ont tout de suite des millions, essaient de faire des choses.
Mais ils n’ont juste pas les idées, les ressources, les points d’ancrage, la gestion des tableaux, ils ne sont pas du tout organisés. J’adore pouvoir apporter tout ça, en fait.
Passé le million, les défis entrepreneurs changent..
En plus, derrière, je leur explique que leur structuration n’est pas bonne.
Parce qu’en général, c’est le cas, ce n’est jamais bon.
Donc, je me complais un peu là-dedans.
Alors, ça me saoulera, je pense que ça me saoulera vite, mais ce qui ne me saoule pas, en fait, c’est le contact humain avec ces gens.
J’adore, vraiment, j’adore.
C’est la première fois de ma vie où je me dis vraiment que le contact humain me plaît dans un truc comme ça, parce qu’il y a de l’intelligence, c’est-à-dire des mecs qui étaient dans l’e-commerce, qui faisaient peut-être des boutiques à 200 000 par an.
Ça, j’essaie de mettre un niveau de compréhension, pas un niveau de valeur.
Ce n’est pas parce que tu fais 200 000 par an que c’est moins bien, ce n’est pas le sujet.
On est tous très bons à des endroits et très mauvais à d’autres.
Une anxiété qui part
Ce que je veux expliquer, c’est qu’en fait, il y a une discussion à partir d’un million que tu n’as plus.
Il n’y a plus les discussions de peur, de machin, c’est plus des « Comment est-ce qu’on amène au mieux, au plus rapidement et de manière la plus intelligente possible le projet à son terme« .
Et c’est quelque chose qui me plaît parce que quand on est à 10 K, 20K par an, tout ça, c’est une question.
On essaie de développer, on ne sait pas comment, et ce ne sont pas du tout les mêmes questions
C’est vrai que je me complais beaucoup plus avec des gens qui ont déjà fait des millions et qui, en fait, essaient de poser leur idée.
Je vois également quelque chose qui se dégage dans la crypto, NFT, tout ça : ce sont des personnes qui, à force d’avoir fait des projets, commencent à en avoir marre et veulent des trucs sérieux.
Le marché se filtre, c’est-à-dire qu’il y a de plus en plus de personnes qui veulent faire des choses sérieuses.
Meme si parfois elles ne le font pas sérieusement malgré elles.
Défis entrepreneurs 3 : Filtrer le Marché, Échanger des Idées et Comprendre l’Économie
Je vois le Burj Khalifa qui s’illumine en drapeau canadien, je dirais ?
Très bizarre, je ne sais pas ce qui se passe.
Ah oui, parce que j’ai tourné de côté.
Trop bizarre, elle se met rouge et blanc. Bref, elle fait un truc bizarre quoi.
C’est vrai que de loin comme ça, c’est un peu étrange.
Je ne me souviens plus de ce que je disais, mais je pense que le marché se filtre naturellement et que, d’ici quelques mois, peut-être un an, tous les arnaqueurs et autres seront partis ailleurs.
Alors pas tous, bien évidemment, mais en tout cas une grande partie.
Les mecs n’y arrivent plus, quand il y a les bear markets, les mecs ne savent plus faire de marketing et n’osent plus, donc c’est assez marrant.
Et surtout, l’avantage concurrentiel se creuse entre les blockchains.
Donc c’est très intéressant.
Bon, je ne vais pas vous saouler avec ça, mais moi, d’un point de vue entrepreneurial, je m’éclate.
Je suis très content.
Enfin j’arrive à parler avec des gens, j’arrive à vraiment faire mon travail, qui aujourd’hui se résume à parler, avoir des idées, poser ça sur un papier.
Et donner des visions économiques.
Je m’aperçois aussi que j’ai une vraie appétence et une vraie compréhension des économies globales des cryptos, des NFT.
Je me rends compte que les gens sont vraiment aux fraises, en fait.
On est tous le médiocre de quelqu’un
Alors, c’est toujours pareil, est-ce qu’on est bon ou est-ce que les gens sont mauvais ?
Moi, je reste convaincu que les gens sont mauvais, je ne me considère pas comme quelqu’un de très bon ou génial.
Je constate simplement que les gens en face sont vraiment des burnes et ne prennent pas le temps de faire les choses qu’il faut.
Ça, c’est ma vision.
Mais vraiment, des fois on me dit « ouais, mais tu dis ça par humilité et tout ».
Non, mais vraiment, je gère mes équipes depuis 10 ans, ce n’est pas que nous sommes bons, c’est que les autres sont médiocres.
Je veux dire, je peux comprendre qu’il y a des facilités, des raccourcis d’intelligence que l’on peut acquérir au fur et à mesure de ce que l’on apprend, de ce que l’on fait, de ce que l’on parcourt, ça, c’est sûr.
Je sais que je réfléchis beaucoup plus vite à certains endroits, mais l’un n’excuse pas l’autre, c’est comme conduire.
On apprend tous à conduire, donc au début, c’est compliqué et après, ces réflexes, il y en a qui deviennent pilotes de F1.
C’est plus ça que je veux dire, c’est que nous sommes tous meilleurs à certaines choses.
Un pilote de F1 doit conduire, je pense qu’il rigole.
Tu n’as pas du tout les mêmes réflexes que lui.
Donc, évidemment, on est tous le médiocre de quelqu’un.
Des mois2fou avec les cryptos
Mais c’est ça qui est intéressant, je ne crois pas que nous soyons bons.
On a juste des compétences que l’on creuse et des capacités que l’on exacerbe.
Donc, vraiment content, j’espère qu’en tant que talent, je vais réussir à continuer dans cet état d’esprit.
Il n’y a pas de raison, j’ai peur de la transition, j’ai vraiment peur de la transition en tant que talent du prochain mois.
C’est la première fois, vraiment depuis que j’ai été un peu inquiet comme ça, j’avais peut-être 18 ans.
De quoi je m’inquiete ?
Alors, inquiet de quoi, que ce soit clair ?
De cette transition, de cette nouvelle vie, du fait qu’il y a beaucoup de choses qui se passent, du fait que je suis en train de changer complètement dans beaucoup de choses.
Et que c’est bien, mais en attendant, je n’ai pas construit ma vie.
Je flippe également de l’argent que je pense avoir sur ma banque, donc là, je vais commencer à m’inscrire dans l’immobilier coûte que coûte.
Mon objectif va être de réorganiser et de réduire la voilure sur mes entreprises, ce que j’ai commencé à faire, et de commencer à gérer mon patrimoine.
J’espère aussi commencer à parler de succession, c’est-à-dire anticiper un peu tout ça. Pour l’instant, je n’ai jamais fait autant de cash.
Jamais fait autant d’argent
Je vais vous donner les chiffres des deux derniers mois en crypto.
J’ai gagné pas moins de 200 000 euros, c’est-à-dire entre mars et avril.
Et pour le mois de mai, cela semble être parti pour être encore plus élevé.
Je suis très content car mes investissements commencent à porter leurs fruits.
Quand je vois des gains comme ça, je suis heureux.
Je n’ai jamais gagné autant d’argent sur un mois, sauf peut-être sur un gros contrat ou un coup de chance.
Mais jamais comme ça, sur une base régulière.
200 000 euros par mois, c’est énorme, surtout en crypto.
Des investissements et des projets vraiment rentables
Je suis en crypto, évidemment.
J’avais déjà gagné 100 000 euros par mois, en moyenne, mais maintenant je gagne 200 000 euros par mois.
C’est énorme, une proportion énorme.
Bien sûr, j’ai gagné beaucoup plus en crypto que cela.
En fait, j’ai doublé tout mon patrimoine personnel grâce à la crypto.
J’ai gagné autant d’argent en crypto en un an que j’en ai gagné en 30 ans de ma vie personnelle.
Cela me semble bizarre, presque anormal, que des gens comme moi soient capables de gagner autant d’argent en crypto.
Je suis heureux que mes investissements aient porté leurs fruits, mais je pense que quelque chose ne va pas.
Je ne suis pas sûr que c’est normal que des gens comme moi puissent gagner autant d’argent en crypto.
Il y a un sentiment que quelque chose ne va pas, que quelque chose ne fonctionne pas comme il le devrait.
Je ne sais pas quand cela va se terminer, mais cela me semble très bizarre.
Malgré cela, je suis très content car j’ai un plan pour l’avenir.
J’ai assez d’argent pour vivre confortablement, donc je peux me concentrer sur mes projets.
Ce que j’aime, c’est trouver des solutions à des problèmes pour lesquels on me paie.
Je suis un consultant, c’est un rôle qui me convient parfaitement.
Je suis très heureux de travailler dans ce domaine.
Défis entrepreneurs personnels : Consulting et progression
Je ne suis pas intéressé par l’idée d’arrêter de travailler.
Je pourrais le faire depuis longtemps si je le voulais.
Ce que j’aime, c’est travailler sur des projets qui m’intéressent.
J’aime trouver des solutions pour des clients, c’est vraiment un plaisir pour moi.
Je pense que je vais me diriger de plus en plus vers cette activité.
J’habite en Thaïlande, donc je peux travailler tranquillement depuis un restaurant ou un café.
Est-ce que j’arrete l’emailing?
Avant, je ne pouvais pas faire cela avec l’e-mail et tout.
Je suis en train de me poser la question d’arrêter définitivement l’e-mail, en tout cas arrêter de faire progresser l’e-mail, car au fil du temps, ce n’est pas que cela me saoule, mais je n’apprends plus rien.
En fait, c’est de la régression vers le bas.
C’est un peu comme Facebook, il y a un moment donné où l’algo bug et ca fait de la merde.
Tu peux faire ce que tu veux, mais l’algo n’aide pas.
Donc, quand ça part en vrille, il ne peut rien faire, c’est un peu la même chose.
C’est-à-dire qu’on n’a pas trop la main sur ces choses-là.
Alors, quand tu es consultant auprès de boîtes, de projets et cetera, tu as vraiment un impact concret, immédiat, à partir du moment où on t’écoute, bien sûr.
Après, il y a des compétences, il y a plein de choses au milieu, mais on n’est pas là pour vendre un produit de mauvaise qualité.
En tout cas, vendre une chaussure ou quelque chose comme ça ne m’intéresse plus trop.
Par contre, aider les gens, il n’y a pas de problème, mais c’est un peu trop facile.
Attention, pas de condescendance là-dessus quand je dis facile, c’est que c’est toujours un peu les mêmes processus.
En fait, c’est du déjà-vu, voilà, c’est ça que je veux dire.
Ce n’est pas facile, c’est du déjà-vu.
Je dois constamment évoluer et apprendre
Et donc, ce qui m’intéresse, c’est d’aller apprendre de nouvelles compétences et surtout, quand je parle avec, c’est assez extraordinaire ce qui se passe.
En fait, j’arrive un peu à trouver la zone dans laquelle je sens que c’est fait pour moi.
Et en fait, j’ai trouvé un peu le sens que je voulais avoir avec ça, le sens de ça et je suis assez content pour l’instant de l’avoir trouvé.
Alors évidemment, ce sera temporaire, je ne suis pas dupe, je connais quand même comment les choses marchent, mais peut-être pour les trois, quatre, cinq prochaines années.
Donc, cela me fait plutôt plaisir.
Est-ce que je serai focalisé là-dessus ?
Je ne pense pas.
Mais ce qui est bien, c’est que je pourrais de temps en temps me faire des plaisirs.
Et ça, ça me fait littéralement plaisir.
Je m’arrête là.
J’ai mon vol demain matin.
Je vous souhaite une très bonne journée, un très bon week-end et je tenterai de mettre la formation crypto la semaine prochaine.
En repost, je sais qu’on m’a demandé quelques achats dessus.
Donc je vais la remettre lundi prochain.
Je vais effacer le dernier podcast que j’ai fait récemment et je vais le reposter lundi prochain, donc ne vous inquiétez pas, ce n’est pas un bug.
On verra avec le nouveau compte de l’autre société comment ça se passe ou pas, ou j’attendrai deux semaines, je vais voir. Sur ce, très bonne soirée.