Associés et liquidations : un probleme d’égo ?

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Associés, liquidations, projets Immo

Associés, liquidations judicaires…

Bonjour à tous, j’espère que tout le monde va bien.

Tout d’abord, je tiens à m’excuser pour le manque de messages depuis dimanche.

J’ai été très occupé dernièrement et j’ai du mal à suivre le rythme.

Il y a eu beaucoup de choses à gérer.

Je suis en train de réorganiser ma vie et il y a certains ajustements à faire.

En plus de ça, j’ai pris plusieurs avions cette semaine et il s’est passé énormément de choses.

Je vais vous expliquer tout cela.

Alors, qu’est-ce qui est prévu au programme ?

Tout d’abord, je vais répondre à la question : « Putain Cyril, qu’est-ce que tu branles ? »

Ensuite, nous aborderons l’avancement de mes projets Immo.

Et enfin, nous parlerons de pourquoi je ne publies pas mes podcasts.
Voilà, c’est parti !

Il se passe beaucoup de choses.

En France, je suis en train de fermer des entreprises, et il se passe des événements qui ne devraient pas avoir lieu.

J’ai un associé en France avec lequel je suis en désaccord sur de nombreux points.

Nous avons une longue expérience commune, environ huit ou peut-être neuf ans.

Jusqu’à présent, tout se passait très bien entre nous, mais des événements de la vie font que cela va de moins en moins bien, voire plus du tout.

Les relations humaines professionnelles : communication et honnetete avec ses associés

J’ai une énorme expérience avec des associés.

Je n’ai presque eu que des associés dans ma vie pour diverses raisons, et j’ai toujours trouvé cela pertinent.

Cependant, il y a des phases qui sont très compliquées, sujettes à l’interprétation, dépendantes de contextes personnels et familiaux qui évoluent avec le temps.

Il est très difficile de maintenir une relation d’affaires qui perdure.

Je ne parle pas de raviver la flamme, je pense plutôt à continuer d’apprécier la personne avec qui on travaille et avec qui on partage sa vie.

Malheureusement, il y a des moments dans la vie plus difficiles que d’autres.

Il suffit qu’il y ait un peu moins de communication, un peu moins d’empathie et de sympathie pour finalement bouleverser beaucoup de choses.

Une situation assez simple

La situation est assez simple.

Mon associé est un ami, et je dis toujours que le partenaire est l’ami.

Les complexités naissent souvent du manque de communication.

En ce qui me concerne, je suis quelqu’un d’honnête, tant sur le plan personnel que professionnel.

Je ne mens pas, j’essaie de faire au mieux pour tout le monde et de faire en sorte que les gens se sentent à l’aise et que tout se passe bien.

Malheureusement, parfois, en faisant de son mieux, on se retrouve confronté à des situations indésirables qui peuvent être sujettes à interprétation.

Pour résumer cela, pour ceux qui ont des contrôles fiscaux, je peux donner cette même notion.

Un jour, la DGFiP a réussi à réinventer ma vie de manière totalement plausible, mais qui était totalement opposée à la réalité.

C’est quelque chose d’incroyable.

Parfois, il se passe des phénomènes très compliqués à anticiper.

Cela fait partie de la fatalité de la vie et des relations humaines.

On peut faire de son mieux, être honnête, vraiment suivre notre ligne de conduite, mais il y a des gens qui sont toujours capables d’interpréter les choses d’une autre façon.

Des hauts et des bas dans les partenariats d’affaires : bien définir les missions, roles avec ses associés

La vie est ainsi, je l’accepte, mais malheureusement, parfois, cela peut causer des problèmes.

Alors, de quoi parlons-nous? Ce sont des sujets d’interprétation.

Les sujets concrets sont un peu trop confidentiels.

Bien sûr, cela pourrait être intéressant, mais ce n’est pas l’objectif du sujet et ce n’est pas la raison pour laquelle je vous en parle.

Il est important de comprendre exactement de quoi il s’agit.

Quand on s’associe avec quelqu’un, on traverse ensemble des moments difficiles parce que ça baisse, et des moments extrêmement hauts parce que ça monte.

Une société par définition n’est jamais sur une courbe stable, ce qui peut sembler amusant.

Lorsqu’on s’associe avec des gens, on définit des missions, des rôles, on définit beaucoup de choses.

Au départ, avec mon associé, nous nous sommes concentrés sur l’e-mailing et nous avons convenu de certaines choses.

Gestion des priorités avec vos associés

La problématique qui en découle est la suivante : avec le temps et les évolutions, beaucoup de choses se passent.

On veut développer certaines choses, mais parfois on est en désaccord, ce qui est normal.

On devrait ou on ne devrait pas, je ne suis pas d’accord ici, mais qu’est-ce qu’on fait ensuite, et ainsi de suite.

Une fois qu’on s’est mis d’accord sur les divergences ou autres, avec le temps, il y a des problèmes de gestion des priorités, de gestion de projet.

Par exemple, on a cinquante idées, et à côté de ces cinquante idées, on a cinquante projets.

Comment gérer nos priorités entre ce que notre cerveau veut faire, le pragmatisme, le bon sens, ce qu’on doit pouvoir faire, ce qui doit être fait et ce qui pourrait potentiellement devenir intéressant.

Les produits vaches a lait

Résumons ceci : je ne me souviens plus du nom de ce diagramme, mais pour ceux qui le connaissent, il parle du point mort, des vaches à lait, des produits stars, et ainsi de suite.

Pour ceux qui ne le connaissent pas, il s’agit des produits qui génèrent beaucoup d’argent mais qui ne peuvent plus évoluer.

Par conséquent, nous devons les redévelopper car ces produits de la gamme vont inévitablement disparaître.

C’est une réalité dans tous les domaines.

Les nouveautés, les nouveaux produits, sont généralement ceux qui ne génèrent pas beaucoup d’argent.

Alors, comment équilibrer nos stratégies et notre temps face à ce dilemme ?

Les nouveaux produits qui fonctionnent ne génèrent pas encore beaucoup d’argent, mais il serait préférable de consacrer notre temps là où il y a de l’argent.

C’est ce que la majorité des entrepreneurs vous dira : il faut aller là où il y a de l’argent, il faut être productif.

C’est le discours que l’on entend souvent, que ce soit à la télévision ou sur YouTube.

L’importance de la stratégie et de la vision long terme

C’est la réflexion de ceux qui gagnent moins d’un million.

Lorsqu’on crée de la pérennité et qu’on s’ancre dans la durée, la réflexion change.

Donc, lorsque les gens vous disent qu’il faut absolument se concentrer sur ce qui rapporte maintenant, ce n’est pas toujours vrai.

Cette approche fonctionne très bien jusqu’à un million de chiffre d’affaires annuel.

Au-delà, il faut élever le regard, aller plus loin.

Certaines choses nécessitent une vision à long terme et ces nécessités peuvent créer des couacs.

Par exemple, il se peut que je doive passer du temps sur certaines choses.

Ainsi, il peut y avoir une séparation entre associés, l’un gérant beaucoup d’argent tandis que l’autre part à la recherche de nouvelles choses.

Je n’ai jamais basé une association sur l’apport de fonds.

Autrement dit, ce n’est pas celui qui amène le plus de clients ou génère le plus de revenus qui prime.

Ce n’est pas ainsi que je juge une association.

Certes, cela peut être le cas selon certains critères et dans certaines activités, mais il y a aussi d’autres facteurs à considérer.

Il y a la mise en place des stratégies, le management, la gestion, la recherche et le développement, la mise en place des processus, la création de modèles, l’écriture, la gestion des relations avec les partenaires, le commerce.

Il y a beaucoup de choses à prendre en compte, ce n’est pas seulement une question d’apporter des clients.

Equilibre entre R&D et produits qui rapporent

Avec mon associé, nous avons commencé à nous positionner.

Je gérais et développais les produits vache à lait, c’est-à-dire ceux qui généraient beaucoup d’argent, tandis que mon associé se chargeait d’explorer de nouvelles pistes.

Cependant, très rapidement, ces nouvelles pistes ont souffert d’un manque de ressources humaines.

Étant donné que la majorité des ressources étaient consacrées à l’activité qui nous permettait de subsister, il était difficile de créer de nouveaux postes.

Néanmoins, grâce à l’argent que nous générions, nous pouvions embaucher de nouvelles personnes pour le faire.

Après quatre, cinq ou six projets qui ont finalement échoué, nous avons réalisé que ce que nous explorions ne fonctionnait pas, ou alors demandait trop de ressources humaines pour le chiffre d’affaires que cela générait.

Par exemple, si nous lançons des projets qui génèrent 50 000 euros de chiffre d’affaires par mois mais ne nous rapportent que 2 000 euros de marge, nous avons mieux à faire pour générer ces 2 000 euros.

Cela nécessiterait moins de temps, moins de ressources et serait moins complexe.

Donc, d’autres problèmes se posent.

Je vous fais un aperçu chronologique de ces problèmes.

Tous les associés les vivront ensemble.

Je pourrais développer davantage ce sujet et en faire une formation.

Savoir lacher prise avec vos associés pour mieux avancer

C’est un sujet que je pourrais développer dans une formation.

Donc, à un moment donné, un déséquilibre se crée.

Par exemple, si l’associé qui gère les produits très rentables commence à créer de nouveaux produits et produits stars, il peut y avoir un sentiment d’inutilité de la part de l’autre associé.

Ce n’a pas été mon cas, mais cela peut arriver.

Là, on commence à sentir qu’il y a des interrogations, des problèmes qui surgissent, des réflexions qui apparaissent.

On sent que quelque chose ne va pas, que cela va créer des complications.

Ce n’est pas grave, parce que nous sommes suffisamment intelligents, matures.

Nous sommes des entrepreneurs et nous continuons donc à avancer.

Nous essayons toujours d’apporter de nouvelles choses.

Cependant, le processus se répète encore et encore, et à force, on se rend compte qu’il n’y a pas réellement de changement ou de nouveauté.

À un moment donné, il faut savoir quoi faire.

Je me suis retrouvé à gérer énormément de choses, un peu trop, beaucoup trop.

À un moment donné, j’ai dû, disons, lâcher prise.

Non pas que j’ai abandonné, car j’ai construit des choses de très haut niveau et je suis allé à des endroits où je ne pensais même pas pouvoir aller.

Mais j’ai dû à un moment donné relâcher la pression.

On ne peut pas tenir sous pression pendant dix, quinze ans à plein régime.

Ce n’est pas possible.

Gérer les problemes d’ego avec ses associés

Je m’adresse à tous ceux qui travaillent intensément depuis 2, 3 ou 5 peut-être pour atteindre un objectif financier, peut-être 1 million, 3 millions, je ne connais pas les objectifs de chacun.

Peut-être que l’aspect financier n’est même pas le sujet, peut-être que c’est pour sécuriser ou acquérir un patrimoine, peu importe.

Mais il y a un moment de relâchement.

Ceux qui travaillent à fond, qui prétendent travailler 15 heures par jour, cela ne fonctionne pas.

Ils atteindront rapidement leur limite.

Ils vont continuer à travailler 15 heures par jour et cela ne marchera pas.

Ce n’est pas de cette manière qu’il faut travailler.

Je me suis un peu mis en retrait

Alors j’ai moi-même un peu lâché prise, je me suis mis en retrait.

Le problème, c’est que se mettre en retrait, qu’est-ce que cela signifie? Cela signifie éviter de reprendre le développement de produits, de chercher les nouveaux produits stars, mais de maintenir les produits très rentables.

Et fatalement, dans ce genre de situation, quand quelque chose fonctionne, on ne peut que le défendre.

Il n’y a pas de développement, il n’y a pas de nouveautés, on ne fait que défendre.

J’ai choisi d’accepter cette situation pour laisser de la place aux problèmes d’ego, pour qu’ils puissent se résoudre, s’auto-ajuster.

Bien sûr, ces problèmes ne sont pas reconnus ou admis, car dès qu’on parle d’ego, les gens répliquent « moi, je n’ai pas d’ego », ce qui est totalement faux pour mille raisons.

Nous avons tous de l’ego.

Plutôt que de confronter un problème d’ego de front, j’ai fait le choix de penser qu’un problème d’ego vient forcément d’un manque de confiance quelque part.

L’idée était donc d’instaurer de la confiance, de laisser place, même si c’est moins bien, même si cela rapporte moins d’argent.

Je préfère préserver une forme de relation et d’association qui génère moins de chiffres, pour laisser une place.

Le problème est que cette place n’a jamais pu être prise, n’a peut-être jamais voulu être prise, n’a jamais voulu être remplacée.

J’ai commencé a développer une autre activité entre temps, qui prends la responsabilité ?

Nous nous retrouvons donc dans une situation où par le passé, une personne gérait beaucoup de choses et se retrouve maintenant à faire de la place pour de nouvelles personnes.

Mon associé ne prend pas la responsabilité.

Ce n’est pas moi qui décide, même si la façon dont je présente les choses pourrait le laisser penser.

Oui, c’est moi qui décide de relâcher, mais la question est de savoir si, après sept ans, la personne en face peut assurer pendant deux ans.

Ce n’est pas un test ou un piège.

C’est juste que je ne peux plus.

Il faut donc trouver une solution.

Mais aucune solution n’est proposée, il n’y a pas de nouveautés.

La problématique est que pendant ce temps, en lâchant prise, qu’est-ce qui se passe de mon côté? Est-ce que cela signifie que j’ai plus de temps ? Et je suis parti sur un autre sujet.

C’est là que naît le problème global entre associés, qui n’existe pas dans un couple, bien qu’on compare souvent les sociétés aux couples.

C’est une notion qui est très intéressante à mon sens pour être associé dans beaucoup de choses.
Mais maintenant, qu’est-ce qui se passe quand un des associés commence à développer autre chose ailleurs ?

J’ai donc pris mon fusil et ma casquette, et je suis allé développer du YouTube.

J’ai commencé, je crois, à la fin de 2018.

Les performances de YouTube étaient incroyables.

Je crois que j’investissais dix mille euros et cela rapportait trente à trente-cinq mille euros.

J’ai dit : « Il faut y aller. » Donc, je pars pendant trois mois, je développe des produits, je n’embauche personne, je fais tout moi-même, cela génère de l’argent, 24 000 euros par mois, super.

Les produits sont testés sur un mois, je rembourse un peu les frais inhérents à la R&D, d’accord.

Impossible de passer au niveau superieur : embauche, delegation, developpement

Du coup, on développe.

C’était un ancien produit web, Webrevenus pour ceux qui l’ont connu à l’époque.

Je ne crois pas qu’il y ait beaucoup de gens de Webrevenus ici, je crois qu’il n’y en a que deux, mais peu importe.

C’était avant « Web2Fou ».

Webrevenus, c’était en 2017 pour ceux qui s’en souviennent.

C’est un projet que j’ai abandonné parce que cela ne m’intéressait plus de la façon dont j’avais construit.

Une fois que nous avons fini, bien sûr, je reviens et je dis : « Super, nous avons des produits en place. » Mais en voulant réintégrer ces produits, les discussions sont différentes.

On me dit : « C’est toi qui vas défricher, c’est toi qui fais le truc, c’est toi qui a réussi, donc fais-le. » D’accord.

Mais si je le fais ainsi, et de cette manière de développer, en fait, cela ne répond pas à la problématique de pourquoi je suis allé faire cela.

C’est-à-dire que je n’ai pas à me prouver que je sais faire du chiffre.

Je suis juste allé défricher quelque chose d’intéressant.

Comment est-ce que nous le mettons en place dans la société ? Ici, nous n’avons pas réussi à faire les bons choix.

Nous n’avons pas réussi à embaucher, à déléguer, je ne sais pas, peu importe, nous n’avons pas réussi à prendre les bonnes décisions à ce sujet.

Et ce produit, eh bien, il est mort.

C’est dommage.

Avec mes associés : une grosse complémentarité mais l’ego prends toujours le dessus

Il y avait 20 000 euros de chiffre d’affaires par mois, mais nous avons préféré le laisser tomber parce que mon associé disait : « Ce n’est pas moi qui vais le faire, vu que c’est toi qui as eu l’idée, qui as mis en place le système. »

De mon côté, j’ai répondu oui.

Mais je suis allé le faire précisément parce que je voulais le ramener dans la société pour que nous puissions

développer des sujets et des processus.

C’était quelque chose d’acté.

Donc, que fait-on à ce moment-là ?

Je ne peux pas tout reprendre moi-même, car c’est la raison pour laquelle je suis parti faire de la R&D.

Je dois donc continuer à faire de la R&D.

Et le problème, c’est que si je suis chez moi à faire ça, je ne peux plus faire de R&D.

Donc, je dois travailler par intermittence.

Un peu de R&D, un peu de ce que nous avons fait.

En faisant ces choses, je ne dirais pas que nous avons échoué, mais en faisant ces choses, je me suis retrouvé à gérer ce que j’avais laissé tomber, plus les nouveaux sujets, et je ne pouvais toujours pas repartir sur de la R&D.

Donc, ici, le problème est très simple, nous étions très complémentaires, je pense que nous le sommes peut-être toujours, mais nous n’avons jamais su définir les rôles et les missions de manière claire.

En fait, l’ego prenait toujours le dessus.

Il faut imaginer que de la part de mon associé, je suis un gros bulldozer.

C’est-à-dire que quoi que je fasse, je le réussis.

Et si je ne le fais pas, je pars ailleurs et je ramène quelque chose d’énorme.

Je ne voulais pas rester bloqué avec mon associé

Quand je dis « énorme », je veux dire « colossal ».

Chaque fois que je fais quelque chose, cela fonctionne.

Mais attention, je ne suis pas un magicien.

C’est parce qu’avec l’expérience, je sais maintenant sélectionner des idées qui fonctionnent.

Je vais vous donner un exemple, une parenthèse dans le scepticisme.

J’ai attendu 2020 pour m’y mettre, je ne suis pas allé en 2017.

Pourtant je connaissais le phénomène depuis 2016, on va dire.

Donc si j’ai attendu, c’est parce qu’il s’est passé beaucoup de choses.

Ce que je veux dire, c’est que je ne choisis pas mes projets au hasard.

Ce n’est pas parce qu’il y a une opportunité que je me jette dedans.

Il faut beaucoup de critères pour que je me lance dans un sujet.

Je ne fais pas un projet qui fait moins d’un million, sinon je n’y vais pas, et c’est sûr que ça fait un million.

Vous voyez ce que je veux dire ? Après, si ça prend deux ans à se réaliser, c’est un autre problème.

Que faire ?

Fatalement, je ne pouvais pas rester dans cette situation.

Donc, je me suis dit : « Je ne mets pas en place de nouveaux produits », et j’ai fait ça deux ou trois fois.

En fait, j’ai vu ce qui me manquait.

Il me manquait la phase d’après, c’est-à-dire, mon associé ne veut pas le prendre.

Je pars là où je suis bon, faire de la R&D et tout, on n’arrive pas à embaucher des gens qui peuvent reprendre ça, nous ne sommes pas bons.

Et à un moment donné, c’est compliqué.

Et quand je me retrouve à gérer l’intégralité des choses, et en plus à développer, il y a un moment où je mets un stop.

Ce n’est pas possible, au niveau de la santé, des acouphènes, et puis derrière il y a des problèmes RH, les Prud’hommes, des avocats, des problèmes techniques, etc.

Répartition des profits avec son associé : juste ou pas ?

Et donc fatalement, qu’est-ce qui se passe après ça ? Eh bien, je lâche prise et je me dis : « J’ai travaillé dur, on a fait de l’argent, c’est très bien.

Maintenant, qu’est-ce qu’on fait ? »

Qu’est-ce que je vais faire ? Parce qu’à un moment donné, il y a une quête de sens.

Savoir faire de l’argent, faire des millions, mais à un moment donné, on cherche un sens.

J’ai traversé une petite période de désert, je dirais, en 2018 et 2019.

Je me suis expatrié, j’ai acheté ma maison, j’avais des projets personnels parce que finalement, on compte aussi sur sa vie personnelle.

J’ai toujours eu d’énormes projets.

Je ne me suis jamais retrouvé devant la télé, devant Netflix, à me demander ce que je pouvais faire de ma vie.

J’ai toujours eu une multitude de projets, qu’ils soient professionnels ou personnels.

Alors, j’ai fait un gros saut dans le temps et un très gros raccourci.

Forcément, quand on va développer des projets et que d’un coup ça fait beaucoup d’argent, notre associé veut une part, c’est normal.

Ce n’est pas exactement comme ça, je simplifie, mais il y a une part de vérité.

L’estimation est la suivante : étant donné que tu te libères du temps sur des choses que nous avons construites ensemble, il est normal que les nouvelles choses que tu développes soient en partie pour la société que nous avons construite.

Chose sur laquelle je n’ai jamais été d’accord.

Aujourd’hui, par exemple, si je veux partager avec mon associé, il n’a absolument aucun impact, aucun outil que j’ai utilisé, rien qui concerne mes autres sociétés.

Web2Fou est vraiment totalement isolé.

Et pourtant, on estime que c’est quelque chose que je dois.

Cas avec Web2fou :  Est-ce que je dois repartir les profits ?

Alors, qu’est-ce que je fais dans cette idée-là ? J’ai toujours ramené des affiliés de Web2Fou sur la plateforme d’affiliation que j’ai à côté.

J’ai toujours fait en sorte.

D’ailleurs, je crois que j’ai ramené environ 400 affiliés ou quelque chose comme ça.

Sur ma plateforme d’affiliation, disons, principale.

Et malheureusement, on n’a pas su les transformer de l’autre côté.

Puisque quelque part, c’est à moi de le faire.

Donc, peu importe le processus qui a été mis en place, ça ne convenait pas.

À un moment donné, c’est compliqué.

Quand je démarre un autre projet, je commence à me spécialiser et je rencontre des associés dans différents domaines, comme Facebook Ads.

Par exemple, Web2Fou m’a permis de rencontrer des gens avec qui nous avons généré des millions de chiffre d’affaires, pas nécessairement de la marge, mais à cause de What the Faux.

Et alors, que se passe-t-il ?

Comment répartit-on ce genre de choses ? Doit-on le donner à notre associé ?

Ce sont des questions que je vous pose.

Je suis très à l’aise avec ce sujet, j’ai toutes mes réponses, il n’y a pas de problème.

Mais j’essaie de vous donner une forme éducative sur le sujet.

À partir de ce moment-là, si je fais Web2Fou de A à Z, qui prend du temps parce que j’ai automatisé…

Et je me suis libéré du temps sur ma société avec mon associé :

Est-ce que Web2Fou doit arriver dans la société ?

Malgré les discussions où j’explique que si je monte ma propre entreprise, ce n’est pas pour payer des salariés, je ne finance pas mes salariés si jamais nous avons des pertes.

C’est-à-dire que si demain nous venons à couler, je ne veux pas que parce que je m’expose sur des formations et à mon nom propre, ceux-ci viennent combler les problématiques de management, d’associés ou de produits sur deux sociétés.

Donc, c’est clair sur le sujet, c’est accepté, aucun problème, c’est tout à fait logique et rationnel évidemment jusqu’au problème financier.

Je pourrais etre consultant en associés

Sur ce produit, je développe un réseau qui n’a strictement rien à voir avec le sujet initial, mais sur lequel on me propose des opportunités qui sont très pertinentes et dans lesquelles je n’ai pas besoin d’impliquer la société.

Puisque c’est ma compétence qu’on demande.

Imaginons du consulting.

Ce n’est pas ça, mais imaginons, c’est un peu la même chose.

C’est-à-dire qu’on me demande d’être intelligent.

Là, je n’ai pas d’impact avec ma société, je n’ai pas d’impact avec mes salariés, je n’ai pas d’impact avec mes ressources.

Donc, je construis quelque chose.

Fatalement, c’est quelque chose qui me plaît davantage.

Dans le sens où il y a moins de problèmes, c’est moins compliqué, c’est plus simple, ça me correspond plus, donc forcément je vais développer ça.

Cela m’amène, par exemple, à travailler sur des projets où je suis assez à l’aise et assez compétent, selon les fondateurs surtout, mais qui me permettent d’être gracieusement rémunéré pour des projets où j’apporte des idées et de l’intelligence.

Certains projets ont généré des millions.

Donc, évidemment, à partir de ce moment-là, qu’est-ce qui se passe par rapport à mon associé ?

Dois-je cela à mon associé ? Est-ce normal ?

Est-ce finalement une diversification personnelle ou liée à ma société avec mon associé ?

C’est un sujet extrêmement délicat, que beaucoup traverseront soit aujourd’hui, soit dans les prochaines années.

Si vous travaillez à plusieurs, ce sont des sujets que vous aborderez et forcément, j’ai une expérience considérable sur ces sujets.

Aujourd’hui, je pourrais être consultant pour des associés, tellement je pourrais en dire sur le sujet.

Je ne dis pas que je serais très bon, mais je saurais expliquer les pièges, comment les éviter et comment les traiter.

Web2fou m’aide vraiment pour des partenariats

Je suis associé depuis que j’ai 14 ans sur tous mes projets.

Certes, j’ai mené des projets seul, mais j’ai toujours préféré les projets menés à plusieurs, qui amènent plus d’intelligence.

Donc, aujourd’hui, telle est la problématique : étant donné que j’ai lâché la R&D mais que je la fais ailleurs, c’est là le sujet.

Les produits phares, je suis allé les chercher, mais je ne les ai pas cherchés pour ma société.

En fait, je ne les ai même pas cherchés pour moi.

Ils sont juste arrivés parce que grâce à mon temps, mon cerveau et mon expérience, j’ai pu créer de la valeur ajoutée à des endroits qui m’ont permis de progresser, notamment en crypto, mais pas seulement là, où j’ai fait beaucoup d’argent.

Parce que j’ai eu du temps que j’ai libéré en automatisant et en déléguant, mais aussi parce que j’ai pris avec mon associé certaines décisions.

La stratégie Web2fou

Tout en ayant pour stratégie de fond pour Web2Fou, car je le dis très souvent : Web2Fou n’est pas là pour faire de l’argent.

Web2Fou n’est pas du tout une société où je dois faire 400k par an, je m’en moque.

Par contre, Web de Fou me permet d’avoir une visibilité, de rencontrer des associés, d’être capable de côtoyer des personnes très intelligentes et très pertinentes sur certains sujets.

Il n’y a pas beaucoup de gens qui passent mon filtre personnel et arrivent au bout.

Mais aujourd’hui, je suis même fier de dire que je suis associé avec une personne qui m’a connu grâce à Web2Fou, qui a suivi une formation, qui a acheté mes formations et qui aujourd’hui dirige ma société.

C’est incroyable, car il y a un filtre énorme et seules trois ou quatre personnes arrivent au bout.

C’est normal, c’est la loi des nombres, la loi de la conversion.

Je dois cela uniquement au travail et à ce que j’ai construit sur Web2Fou.

Il n’y a pas d’égo sur ces choses-là, c’est très logique.

Web2fou n’est pas une machine a cash mais me donne un visibilité

Maintenant, est-ce que je le dois à mon associé actuel ?

C’est une question que je vous pose : vous avec votre associé, est-ce que vous vous le devez si des choses comme ça arrivent ?

J’estime qu’il y a des limites aux choses.

Sinon, on finit par donner des rentes aux parents de nos associés.

Oui, parce que sans les parents des associés, ils ne seraient pas là.

Donc, est-ce normal de leur donner quelque chose aussi ? Vous voyez ce que je veux dire ? Où s’arrêtent les limites ?

Peut-être qu’un jour, par exemple, j’ai découvert un outil “ZennoPoster”.

Je l’ai rencontré au détour d’un site web en 2013.

J’ai pris contact avec ce gars, j’ai découvert l’outil « ZennoPoster », j’ai passé des nuits blanches à l’époque et ce n’était pas aussi simple qu’aujourd’hui.

Mais je ne dois rien à la personne qui m’a fait découvrir l’outil.

Si j’en fais de l’argent et que j’arrive à faire beaucoup d’argent, c’est parce qu’il faut évidemment l’outil, mais aussi des idées, de la connaissance et la mise en œuvre.

Sinon, on vend des produits d’information, c’est-à-dire que je connais un outil, « ZennoPoster », voilà ce qu’on peut faire, on fait une formation réglée.

C’est comme si moi, tous ceux à qui j’enseigne « ZennoPoster » et qui font du business avec, eh bien, c’est normal que je prenne un pourcentage sur leur formation.

Un paradoxe de situation : pourquoi mon associé devrait continuer notre projet si je developpe autre chose ?

Sur leurs produits avec ZennoPoster, il y a quand même une limite aux choses.

Maintenant, il faut savoir la définir.

Cette problématique nous a finalement amenés à faire de moins en moins de chiffres.

Ainsi, nous avons perdu, en l’espace de deux ans, pas loin de 500 000 euros, tout simplement parce qu’il n’y avait pas de nouveaux produits et que moi, typiquement, je m’éloignais un peu.

Je préférais me poser, laisser mon cerveau se focaliser sur des sujets plus pertinents et ça a été le cas.

J’ai fait beaucoup plus d’argent à côté mais évidemment au détriment de l’entreprise.

Je ne peux pas me dupliquer et c’est là où un associé est censé être présent, c’est-à-dire qu’on est censé se développer rapidement.

Cependant, quel intérêt aurait mon associé à continuer un développement pendant que moi je suis en train de développer autre chose ? Vous comprenez alors tout le paradoxe de la situation.

Il y a pas de bon ou de mauvais, beaucoup de gens veulent ça.

Je suis quelqu’un d’honnête, je fais les choses comme il faut, je peux me tromper, je fais des erreurs.

Mais on ne pourra jamais remettre en cause ma bienveillance et les solutions que j’apporte.

Aujourd’hui, depuis trois mois, la société est quasiment à bout.

Je reviens en remettant en place des process, on refait 24% de marge en plus pour remonter la trésorerie.

Sauf qu’aujourd’hui, il n’y a plus personne.

Du coup, je suis un peu le dernier homme debout.

Certains pourraient dire que je suis celui qui n’a pas compris que c’était fini et qu’il est inutile de continuer.

Je reviens mettre des process en place et…
on fait 24% de marge en plus des les premiers mois

 

Cependant, ce qui prouve ma propre responsabilité sur le sujet, parce qu’il y a quand même des salariés et tout, c’est que je me bats pour redresser la situation.

Et la différence, c’est qu’aujourd’hui, en peu de temps, je peux recréer 24% de marge par mois.

Sur des produits, c’est simple, j’ai retroussé les manches fin avril et je me suis dit, allons-y.

Dès le mois de mai, juin, on a commencé à faire entre 15 et 24% de marge supplémentaire par mois.

Je ne suis pas ici pour faire un tribunal, ni pour donner des avis particuliers, mais comprenez bien cette situation.

Aujourd’hui, qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi est-ce que je galère ?

Mon associé rompt la communication, plus qu’un peu même.

Il a des prédispositions sur le sujet qui sont fausses, mais ce n’est pas important.

Ces sujets d’interprétation de son côté, il ne veut pas forcément les entendre.

Pour moi, il y a une fuite de responsabilité sur certains sujets sur lesquels nous devons quand même nous mettre d’accord.

« Bon, qu’est-ce qu’on fait ? »

Donc, nous sommes dans une situation claire, sans nous dire « bon, qu’est-ce qu’on fait ? » Sachant qu’il y a des crédits sur les sociétés, des salariés, plein de choses.

Peu importe, je me bats et je fais rentrer de la marge.

Mais forcément, il y a un sentiment de frustration.

Mon associé a travaillé avec acharnement pendant deux ans.

Et là, je vais dire ce que je dirais à n’importe quel élève ici : peut-être que c’est vrai, mais nous sommes en train de couler et nous avons perdu 500 000 euros.

Donc, le travail n’était pas bien placé puisque avant, nous gagnions de l’argent.

Vous voyez ce que je veux dire ? C’est une situation complexe, sans porter atteinte à qui que ce soit.

Ce n’est pas une question de qui réussit ou pas, c’est une entreprise, une entité.

Soit l’entité réussit, soit elle ne réussit pas.

Ce n’est pas une problématique individuelle, mais collective.

Je dois trouver des solutions poour gerer mon associé, les employés et ma boite

Donc, voilà pour ce premier sujet.

Aujourd’hui, je gère toutes les solutions autour de ça.

Mon associé a des problèmes personnels, familiaux, et il y a un manque de communication, ce qui complique tout.

Il y a beaucoup de choses à gérer, parce qu’il y a plein de choses qu’il faut gérer en parallèle.

Des choses qu’il a un peu géré auparavant.

Je dis « un peu », mais en tout cas qu’il a géré auparavant.

Mais je tiens à préciser que je ne veux pas me décharger en disant que je n’ai rien fait, parce que j’ai toujours géré ma boîte.

Mes salariés, mes chiffres d’affaires, mes méthodes, je n’ai rien abandonné.

Quand je mentionne prendre un peu de temps, j’avais quand même une grande partie de mon temps qui était occupée pour maintenir mon entreprise.

En effet, l’objectif n’était plus de développer, mais de maintenir, ce qui exige du temps et des efforts.

Il n’y a pas de magie dans l’univers.

Si personne ne fait rien, il ne se passe rien.

Le manque de developpement a un impact négatif

Cependant, le manque de développement a eu un impact négatif sur mes sociétés, ce que je savais déjà.

Le non-développement peut effectivement nuire à n’importe quelle entreprise.

C’est pourquoi il faut toujours créer de nouvelles choses, s’intéresser aux innovations.

J’ai par exemple porté de l’intérêt à la crypto, mais je n’ai jamais réussi à faire coïncider des projets entre la cryptomonnaie et l’email.

J’ai certes proposé des projets, mais ils n’ont jamais décollé.

Chaque fois, c’était à moi de les gérer, ce qui n’était pas possible.

Nous retombions donc sur la même problématique.

À force de se heurter à un mur sans autres solutions ou sans mise en œuvre de celles-ci, que fait-on? Nous ne sommes pas fous, nous n’allons pas répéter inlassablement les mêmes choses qui vont à l’encontre de notre développement.

Deuxieme point : les défis de l’immobilier en Thailande

Ces sujets me passionnent, j’aimerais pouvoir en débattre en direct.

Quel est le deuxième point? Je suis actuellement investi dans l’immobilier, avec des projets d’envergure, complexes et laborieux, nécessitant l’intervention d’avocats et de constructeurs, notamment en Thaïlande.

Il faut faire attention : l’achat d’un bien immobilier en Thaïlande n’est pas le même qu’en France.

Cela ne pose pas problème en soi, étant associé d’un cabinet d’avocat.

Cependant, cela demande beaucoup de temps : allers-retours, négociations, taux de change, dispositions bancaires, virements, juridictions…

Il y a énormément de paramètres à prendre en compte et il faut des personnes compétentes pour les gérer.
Parfois, ce n’est pas le cas.

Ces transactions sont chronophages, d’autant plus qu’il s’agit d’une partie de mon patrimoine que j’investis.

Je fais donc attention, je ne prends pas de décisions à la légère.

Je ne suis pas particulièrement pointilleux, juste prudent.

Les gens ont souvent tendance à me qualifier de génie, de bon dans ce que je fais, mais je suis simplement normal, c’est la médiocrité des autres qui ressort.

Quand j’enseigne des techniques de négociation à mon agent immobilier, je ne me sens pas particulièrement doué, je pense simplement que lui a besoin d’amélioration.

Ce sont là des leçons importantes à prendre en compte.

Associés et apporteurs d’affaires dans la crypto-monnaie

Passons maintenant au troisième point.

Le troisième point concerne mon investissement dans le domaine de la crypto-monnaie.

Depuis un an, je suis associé à un cabinet d’avocats et à des spécialistes de l’échange de devises.

Pas nécessairement de crypto-monnaies, mais des échanges où l’on achète des contrats dans certaines devises, on bloque ces devises et si cela augmente, on en profite.

En simplifiant, on gagne de l’argent en prenant des commissions, que le client soit gagnant ou perdant sur le taux de change qu’il a bloqué.

Si cela augmente, nous gagnons encore plus.

Quel est mon rôle ?

Je suis un apporteur d’affaires et je développe le réseau.

Pourquoi ?

Parce que je voulais intégrer des réseaux institutionnels bancaires.

Cela me donne accès à des comptes bancaires qui m’offrent des informations avancées sur les mouvements bancaires mondiaux et me permet de nouer des contacts avec les acteurs majeurs des banques.

En m’impliquant ainsi dans le secteur bancaire, j’ai constaté que le principal problème était le renforcement des contrôles l’année dernière.

Ignorez tous les entrepreneurs du web qui prétendent comprendre la situation, la plupart d’entre eux ne savent pas de quoi ils parlent.

Cependant, cette expérience m’a fourni des informations précieuses sur les futures réglementations.
Tous les virements étrangers devront être justifiés, et ainsi de suite.

Creation d’un reseau d’influence et d’associés dans le secteur bancaire

En cherchant à naviguer dans ces complexités bancaires pour mes clients, j’ai moi-même été l’objet de contrôles, ce qui m’a causé des problèmes ces derniers mois.

Ce n’est pas la raison principale, mais c’est l’une des raisons pour lesquelles j’ai eu des problèmes bancaires.
Je l’ai appris il n’y a pas longtemps.

J’ai créé des tensions en agissant ainsi.

En fait, j’ai tenté de pénétrer des domaines délicats.

J’ai failli, comme certains le savent, m’engager dans la comptabilité crypto à Dubaï.

J’avais rendez-vous avec des experts de Frisone et des autorités comptables des Émirats.

Ce n’était pas toutes les autorités, mais une grande partie.

J’ai refusé la mission car je ne voulais pas m’engager dans cette voie malgré les propositions intéressantes qui m’ont été faites.

Pour ceux qui s’en souviennent, c’était vers la fin avril, mi-avril, de cette année.

En côtoyant le milieu bancaire, j’ai constaté un problème colossal en termes de compétences.

J’ai réalisé que des personnes avec un patrimoine de 50 millions n’avaient aucune connaissance approfondie du système bancaire.

Aujourd’hui, elles sont surprises d’avoir des problèmes de virements, de placements, d’investissements.

J’ai donc commencé à établir de gros partenariats avec environ 60% des banques mondiales, en créant un réseau d’influence.

Ma strategie derriere l’investissement dans la crypto

Pourquoi ai-je fait ce choix?

Quand je dis que je me suis tourné vers la crypto, comprenez bien qu’il y avait une stratégie derrière.

Elle est toujours en place.

Simplement, avec la crypto, les gens ont commencé à gagner beaucoup d’argent.

Si certaines personnes ont déjà fait de l’argent dans des industries, sur le web et autres, sans avoir une logique ou une maturité bancaire, que va-t-il se passer avec les acteurs de la crypto? J’ai vu cette situation arriver il y a environ un an et demi, et j’ai plongé dedans.

Aujourd’hui, je suis fier d’être associé à certains des avocats les plus brillants que j’ai pu rencontrer dans ma vie.

Si je ne suis pas associé, je suis un partenaire privilégié, sinon simplement un partenaire.

J’ai fait en sorte de garder dans mon réseau les meilleurs experts en droit bancaire, les meilleurs fiscalistes, les meilleurs avocats en droit des affaires et en gestion d’entreprise, etc., à travers le monde, que ce soit dans l’espace francophone ou anglophone.

Je ne suis pas encore présent en Asie, mais je m’en rapproche.

Création d’un produit Cash-out pour la crypto

Aujourd’hui, peu de personnes connaissent vraiment le système bancaire.

Je suis en mesure de créer des processus pour aider les clients à acquérir une maturité bancaire.

J’ai établi des partenariats avec des banques privées qui proposent des offres très intéressantes pour leurs clients.

Cela me permet d’avoir un ensemble de services pour ceux qui souhaitent investir leur argent, gérer leur patrimoine, ou tout simplement jouir de leur argent.

Imaginons qu’ils aient fait de l’argent en crypto.

Cette situation devient de plus en plus courante.

C’est une bulle qui monte de plus en plus.

Cette bulle est intéressante car que la crypto monte ou qu’elle baisse, les gens agissent : quand ça monte, ils vendent ; quand ça descend, ils cherchent à encaisser.

Le problème, c’est qu’ils veulent encaisser.

J’ai donc commencé à proposer un produit de « cash out », qui inclut naturellement une structuration bancaire et fiscale.

Et finalement, cela fait sens, vous allez mieux comprendre.

Pour cela, j’ai intégré des réseaux en crypto, j’ai appliqué mon savoir-faire en marketing, et j’ai réussi à gagner de l’argent.

Ceux avec qui j’ai collaboré ont également profité de ces opportunités.

En plus de cela, j’ai appris les bases du marketing, créé des partenariats dans la crypto-monnaie et ces mêmes acteurs, aujourd’hui, ne sont pas encore matures.

La plupart sont anti-banques, jusqu’à ce qu’ils soient confrontés à des problèmes tels que les UST, les USDT, les USDC ou les vols de Métamask.

Au final, que veulent les gens? Retirer leur argent.

C’est une psychologie de base, un marketing de base, raison pour laquelle je me suis positionné.

Les renforcements des contraintes bancaires

Actuellement, je suis en train de concevoir un produit international, en lien avec la e-compliance et le web 2.0, voire le web 3.0.

Le nom n’est pas encore défini.

Nous avons de plus en plus de clients, une cinquantaine ou une soixantaine, qui sont très actifs en crypto.

Pour eux, nous pouvons proposer ce type de service très pertinent : une structuration pure pour leur donner une maturité économique et bancaire avec une réelle crédibilité.

Cela leur permet de faire les opérations qu’ils souhaitent pour profiter de leur argent.

Attention, je précise que cela ne concerne que ceux qui ont mené des actions pertinentes et correctes, pas ceux qui ont agi de manière illégitime.

Je propose de la compliance

D’un côté, je fais du marketing, j’apporte des clients pour la conformité et la structuration organisationnelle.

De l’autre, je propose “compliance”, des structurations bancaires et, grâce au réseau d’influence que j’ai construit dans les banques, je peux obtenir de très gros accords sur des choses très intéressantes.

C’est ce que j’ai construit depuis deux ans.

Je dis « construit » car ce n’est pas quelque chose de nouveau, ce n’est pas quelque chose que j’ai construit de A à Z en deux ans.

Cela a pris du temps, de l’influence, du réseau, etc., mais c’est quelque chose que j’ai vraiment développé depuis environ deux ans.

Cela remonte à deux ans, à l’été 2020, ou plutôt septembre 2020.

Pardonnez les deux ou trois mois d’écart, fin septembre, peu importe.

Aujourd’hui, nous sommes dans une phase où beaucoup de choses se passent, bougent.

Il y a de plus en plus de renforcement bancaire et cela génère toujours plus de travail à deux niveaux.

D’un point de vue bancaire, avec les nouvelles règles, les nouvelles structures, de nouvelles choses vont arriver au quatrième trimestre.

Et d’un point de vue des individus qui veulent faire quelque chose avec leur argent.

Il faut rester prudent dans les affaires bancaires

Je ne parle pas uniquement de la crypto.

Mais aussi de fortunes qui ont été faites ailleurs et qui cherchent à diversifier leurs actifs bancaires.

Je suis tombé sur une personne qui n’avait que deux comptes bancaires, avec 22 millions répartis sur les deux.

Personnellement, je préfère me diversifier.

Je ne révélerai jamais l’identité de mes clients, ce n’est pas le sujet.

Je veux simplement vous donner une idée de ce qui se passe.

C’est un domaine dans lequel je deviens de plus en plus consciencieux et minutieux.

Les règles se durcissent.

Les restrictions deviennent de plus en plus sévères.

J’ai hâte de voir une régulation de la crypto ou un changement de monnaie, car on voit très bien ce qui est en train de se passer.

C’est pour cela que je vous dis de faire attention à l’USD, à l’euro.

Je vois ce qui se passe, on ne peut pas acheter de l’or, etc.

C’est un autre sujet, pas du tout mon domaine d’expertise ou de compétence, mais qui est tout de même lié aux banques.

Je vois ce qui se passe dans les banques, je vois comment les choses sont emballées et je reste toujours très méfiant.

Maintenant que je connais ce qui se passe dans les banques, je suis un peu plus inquiet d’avoir mon argent dans les banques.

La finalité n’est jamais l’argent : je fais ca pour les rencontres, les associés, le réseau

Et pourquoi je fais cela ? Certains se posent peut-être la question, pensant que c’est pour l’argent, etc.

Je fais cela parce que j’apprécie énormément.

Pourquoi j’apprécie ? Parce que je rencontre des gens extraordinaires avec des histoires incroyables.

Ce qui m’intéresse, ce sont les gens et leurs histoires.

Ce n’est pas une question d’argent.

Évidemment, il y a une prestation, évidemment les gens font de l’argent, mais nous ne sommes pas des bénévoles.

Il y a des aspects très intéressants à cela.

Je rencontre des personnes incroyables, vraiment incroyables.

J’élargis mon réseau d’influence, mon réseau dans différents domaines.

Cependant, je ne le fais pas pour atteindre un objectif spécifique.

Actuellement, je suis au summum de mon objectif.

Je ne cherche pas à atteindre des objectifs gouvernementaux, par exemple.

Mais je rencontre des gens de plus en plus intéressants, économiquement de plus en plus solides et, à force de côtoyer beaucoup de gens dans les banques qui ont certains types de clients, nous finissons par nous retrouver dans des situations parfois surprenantes.

Nous dînons avec des personnes auxquelles nous ne nous attendions pas.

C’est cela qui me passionne : la rencontre avec les gens.

Finalement, aujourd’hui, je gagne beaucoup plus d’argent que ce que j’aurais jamais fait si je ne m’étais pas libéré du temps.

Cela ne m’empêche pas de m’associer.

Il y a six ans, j’étais associé avec une seule personne, aujourd’hui je suis associé avec environ dix personnes.

Peut-être douze ou treize à la fin de l’année ?

J’élargis donc mon cercle d’influence, j’étends mes compétences.

Cependant, je passe beaucoup de temps au téléphone.

Une gestion de mon temps assez compliqué

Je passe de moins en moins de temps devant mon ordinateur.

Par exemple, ces trois derniers jours, je n’ai quasiment pas utilisé mon ordinateur.

Je l’avais avec moi, mais pas pour poster des choses.

Je suis rentré, entre guillemets, chez moi, car je suis toujours en Airbnb.

J’ai pris le temps de faire un message parce que j’avais un peu de temps libre, et que je peux consacrer 20 à 30 minutes à cela.

Tout cela prend du temps : entre la gestion des entreprises françaises, gagner de l’argent, maintenir toutes mes autres activités en affiliation marketing, consulting, tout en scolarisant ma fille, en achetant une voiture, en louant des maisons, en étant dans des Airbnb avec des connexions wi-fi instables, dans un pays où l’électricité peut parfois sauter.

Je ne me facilite pas la tâche.

Le temps est extrêmement compté, mais je ne le compte pas.

Ce soir, je vais me coucher très tard, car je sors de trois jours de voyage professionnel et d’obligations administratives.

Je sais que les trois ou quatre prochains jours, je vais devoir travailler d’arrache-pied.

Je ne pourrai pas faire un live de deux heures, par exemple, car c’est impossible aujourd’hui.

Une fois que je serai chez moi, que j’aurai ma routine, je pourrai lancer des lives, nous pourrons faire des choses simples.

Tant que je ne suis pas chez moi, c’est compliqué.

Avec ou sans associé, je me réoriente vers des domains plus interessants

Il en va de même pour les nouvelles formations.
Aujourd’hui, je pourrais les faire, mais le temps me manque, ou du moins, les conditions de travail ne sont pas adéquates pour cela.

Et bien sûr, je continue dans la crypto.

Je ne suis plus dans beaucoup de projets, je crois que je ne suis plus que dans deux projets.

Enfin, je dis « je crois », car il y en a un qui est sur le point de se terminer, mais je suis impliqué dans deux projets.

Il fut un temps où je travaillais sur sept à huit projets par mois.

Ce mois-ci, je n’en ai eu qu’un.

Pourquoi? Parce que je me concentre beaucoup moins sur ces sujets désormais.

Je suis aujourd’hui plus orienté vers d’autres domaines qui m’intéressent davantage.

Bien sûr, ils sont rentables et me permettent de rencontrer des gens, mais nous sommes actuellement sur un marché très nouveau et il n’y a pas beaucoup à gagner à part tenter de s’enrichir.

Il n’y a pas vraiment d’influence significative à avoir dans ce domaine.

Attention, je ne peux pas dire qu’il n’y a pas de personnes très influentes que j’ai rencontrées, mais il n’y a pas de service à proposer qui soit vraiment intéressant pour la personne en face.

Tous mes business depuis deux ans sont tournés vers le service des personnes.

Ma véritable passion, c’est d’aider les gens.

Je prefere developper une nouvelle sphere d’influence

C’est un peu différent, parce que bien sûr, je vais être associé à de l’infopreneuriat.

On pourrait me dire: « Oui, tu vends une formation, évidemment, je savais que tu allais me vendre quelque chose. » À cela, je réponds: « Vous n’avez rien compris. » Ce n’est pas le sujet.

Bien sûr, je vais vous vendre quelque chose, mais il y a un service, il y a du travail dans ce que vous demandez.

Moi je suis pas l’abbé Pierre quoi.

Voilà.

Quand je dis que je ne suis pas l’abbé Pierre, c’est parce que personne ne m’a jamais donné quoi que ce soit sur un plateau.

Donc, soit vous payez pour le service, soit vous vous débrouillez.

Je n’ai pas de temps à perdre, c’est normal.

Devenez un client, je réponds à mes clients tous les jours.

Peut-être pas tous les jours en ce moment, mais en tout cas, je m’efforce de répondre dès qu’ils me posent une question.

Aider les gens est bénéfique pour ceux qui veulent être aidés.

Et je peux vous dire qu’aujourd’hui, avec ces clients et ces problématiques, les gens me font confiance quand ils investissent des millions.

Ils testent, bien sûr, mais ils n’ont pas d’autre solution.

Aujourd’hui, je préfère travailler avec des multimillionnaires, trouver des solutions pour eux, non pas seulement pour les facturer, mais pour les aider dans leurs démarches.

Ils vont continuer à évoluer et il y a beaucoup à faire.

Les personnes influentes d’aujourd’hui ne seront plus les mêmes demain, et ceux que nous aidons aujourd’hui seront les personnes influentes de demain.

Nous développons donc la sphère d’influence de la nouvelle ère.
C’est ce que je vis aujourd’hui.

Je dois gerer des priorites et trouver encore un equilibre

Ce qui me manque encore, c’est la capacité d’atteindre les jeunes, les personnes d’environ 20 ans qui sont impliquées dans de nouveaux marchés.

J’espère vraiment pouvoir y arriver, mais pour l’instant, je n’ai pas le temps de me concentrer sur cela.

Peut-être dans deux ans.

En résumé, je liquide certaines de mes entreprises en France.

Il y en a encore dont le sort est incertain, cela dépendra de mon associé et de moi.

Je continue à développer toutes mes activités : White Hat, Black Hat, affiliation, consulting, avocat fiscal, structurel…

Pour être précis, je suis également conseiller dans plusieurs domaines, je pourrais en compter 25 au total.

Comment je gere toutes les liquidations ?

Certains se demandent comment je fais pour gérer tout cela, comment je parviens à tout faire en même temps.

Je ne sais pas expliquer précisément, mais je dois avoir une certaine capacité à gérer mes priorités.

Et cela n’empêche pas de prendre soin de ma famille.

Il faut comprendre que malgré tout ce que je viens de décrire, j’ai paradoxalement plus de temps qu’avant.

Depuis quelques mois, je profite davantage de ma famille.

Quand on arrive à un constat comme celui-ci, la question est : qu’ai-je fait pendant les dix dernières années ? Et cela nous ramène au sujet principal, au premier message.

Vous voyez tout le paradoxe du sujet, toute sa complexité.

Je pense qu’il était important de vous donner ces explications, pour ceux qui ont écouté jusqu’au bout.

Ce n’était pas trop long, je n’ai pas trop regardé le temps.

J’ai envoyé beaucoup de messages, mais ça va.

J’ai fait pire, bien pire.

Aujourd’hui, ce ne sera pas un message d’une heure.

C’est pour cela que cela prend beaucoup de temps, c’est pour cela qu’il se passe tant de choses.

Je m’associe également à d’autres projets, je ne vais pas entrer dans les détails, mais il y en a trois en cours.

Je dois m’adapter aux differentes cultures

L’essentiel, c’est que ma fille va bien et qu’elle est scolarisée.

Nous verrons où nous en serons dans trois mois concernant sa scolarité.

Je fais de l’immobilier, j’achète des maisons, je commence à m’impliquer davantage dans l’immobilier et dans la promotion immobilière.

Je crée des réseaux, je rencontre des personnes intéressantes.

La Thaïlande est différente de Dubaï.

Le résultat en Thaïlande est très différent de celui à Dubaï, simplement parce que la valeur n’est pas au même endroit.

Si vous voulez aller sur le web, il vaut mieux aller à Dubaï.

Pour rencontrer des personnes intéressantes, je ne pense pas qu’elles se trouvent nécessairement en Thaïlande.

Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de personnes intéressantes là-bas.

Je parle simplement de la globalité et du type de réflexion qui entoure cela, des dimensions que les gens tentent d’apporter à ce qu’ils font et du risque qu’ils prennent.

Certains n’y arrivent pas.

J’en ai rencontré qui sont très influents en Thaïlande.

Mais en majorité, à Dubaï, j’ai rencontré des personnes très pertinentes.

Ici, c’est une autre histoire.

C’est juste que c’est inversé.

Qu’est-ce que cela signifie ?

Cela ne signifie pas grand-chose, si ce n’est que mon système de filtrage ou de pertinence que j’avais en place à Dubaï doit être ajusté en Thaïlande pour trouver des personnes de manière différente.

Il est important de diversifier ses competences dans un monde qui evolue constamment

Je passe donc par un autre canal, celui de l’influence et de la promotion immobilière.

Pourquoi ? C’est la question.

Parce que, en somme, le domaine immobilier est largement réputé pour cela et c’est véridique, cela permet de rencontrer des individus qui ouvrent d’autres portes vers d’autres opportunités.

Ma valeur ajoutée a toujours résidé dans un domaine très précis.

Quand j’avais 14 ans, j’ai rapidement compris que posséder des compétences dans le codage, l’automatisation, et le développement technique et commercial, permettait d’ouvrir d’incroyables opportunités.

Aujourd’hui, à l’aube de ce qui est en train de se passer dans ce nouveau monde, je pense que la nouvelle valeur réside dans le commerce, la conformité, la fiscalité structurelle, le marketing, et bien sûr l’influence.

On est bien positionné

Je pense qu’en ayant toutes ces compétences, on est bien positionné, surtout avec l’intelligence artificielle qui est en train de nous surpasser dans de nombreux domaines.

Je ne me vois pas continuer à faire du mailing pendant encore dix ans.

Les algorithmes seront meilleurs que moi, meilleurs que mon cerveau.

Bien sûr, certaines personnes seront dix fois meilleures que moi, et ce seront des jeunes.

Pourquoi?

Parce qu’ils n’ont pas subi l’usure que j’ai endurée, à lutter non pas contre le vent puisque j’ai fait de l’argent, mais sur un sujet qui est déjà perdu d’avance.

L’usure de ces choses aura raison de moi.

Seul face à l’évolution constante des technologies, je reste seul, je vieillis et inévitablement il y a une fin.

C’est un peu comme lutter contre le vent.

Cependant, dans tout ce que je vous ai dit, que ce soit la conformité, l’influence, la fiscalité, l’organisation structurelle, l’intelligence artificielle ne pourra jamais venir perturber.

Il y a un rôle de conseil trop important et un réseau d’influence trop pertinent pour que l’intelligence artificielle puisse renverser cela.

Donc, je suis content aujourd’hui, je suis à ma place.

Comprendre le systeme pour mieux donner de la valeur

J’ai considérablement évolué sur certains aspects et surtout dans certaines réflexions ces derniers mois, principalement sur le monde, la façon dont il fonctionne.

J’ai exploré des domaines et je ne suis pas arrivé aux mêmes conclusions que quatre-vingt-dix-neuf pour cent des infopreneurs que vous suivez aussi.

J’arrive à d’autres conclusions.

À l’université, j’ai failli la quitter il y a longtemps et mon directeur d’études m’avait dit :

« Laisser une barrière comme ça avec un mouton, on verra toujours ce bouton, c’est toi. »

Il n’avait pas tort.

Mon directeur d’études n’avait pas tort

Il m’avait dit :

« Cyril, tu veux faire ça parce que tu as un projet spécifique. Le problème, c’est qu’il faut connaître les deux côtés de la barrière, ça te donne beaucoup plus d’armes. »

Cette phrase, il me l’a dite en me conseillant de terminer mon diplôme sinon je le regretterais.

En réalité, le diplôme ne m’a pas servi à grand-chose puisque je ne l’ai même pas retiré.

J’avais mon diplôme, mais je ne l’ai jamais retiré.

Cela m’importait peu.

Cependant, rien que le fait d’avoir failli faire ça, le parcours que j’ai eu avec ce professeur m’a permis de comprendre qu’il vaut parfois mieux surfer sur la vague que d’aller à contre-courant.

Parce que surfer sur la vague te permet de passer derrière.

Jamais d’être contre.

Je pense à tous les extrêmes, par exemple, à ceux, qu’ils soient de droite ou de gauche, sans faire de politique, qui disent :

« Ouais, la pollution, l’écologie. Ça va pas. »

Il faut surfer sur le système et le comprendre pour mieux créer de la valeur.

On ne peut créer une valeur ajoutée, une évolution, qu’à partir du moment où l’on comprend les connaissances acquises qui la façonnent.

Et beaucoup sont contre cela.

Ceux qui sont contre, je les vois rarement bien évoluer.

Ceux qui sont pour, ils sont avalés par le système.

Toujours apprendre, toujours s’associer

Les meilleures personnes que j’ai rencontrées dans ma vie sont celles qui peuvent être contre ou pour, mais qui ont un objectif qui va au-delà de ce qu’elles font actuellement.

Elles savent que un plus un égale trois.

Elles savent que l’apprentissage de deux nouvelles choses crée une valeur ajoutée que personne d’autre n’aura.

Et cette valeur, je la valorise et je la mets sur le marché.

C’est aussi simple que cela.

Plus nous allons acquérir de l’expérience et des connaissances, plus nous allons investir du temps, donc il est nécessaire de mettre en place des systèmes pour apprendre rapidement.

Et quel meilleur système d’apprentissage que de s’associer avec des gens pour qui c’est leur métier et qui permettent d’aller plus loin dans certaines choses.

Tout ce que j’ai appris en banque, en structure, en organisation, je ne l’aurais jamais appris si je ne m’étais pas associé.

Cela m’aurait peut-être pris dix ans.

Aujourd’hui, en deux ans, je sais que je fais partie des rares personnes.

En francophonie, nous ne sommes sans doute que cinq, mais je veux faire partie des 100 personnes dans le monde qui ont la capacité de comprendre cela et d’aider les gens.

Je ne vais pas entrer dans les détails de ce que c’est, car cela n’intéressera que très peu de personnes, mais j’ai compris le fonctionnement de cela.

Et cela permet simplement de libérer des choses, cela permet de progresser à des endroits très intéressants.

Conclusion laborieuse

Voilà pour le résumé de la situation.

Je pense que la fin était un peu plus laborieuse puisqu’on ne parle pas de marketing, mais voilà.

Vous avez en tout cas l’intégralité de ce qui s’est passé, voilà pourquoi c’est un peu compliqué en ce moment, que je suis un peu en retard, que tous les podcasts ne sont pas à l’heure, mais je ne vous oublie pas.

Sachez que je programme tous mes podcasts à la main.

Oui.

Certains me diront que je suis fou, que je n’ai pas que cela à faire.

Et pourtant, c’est exactement l’inverse.

Celui qui pense cela est quelqu’un qui n’a pas compris tous les messages que je viens de transmettre.

Je vais donc m’arrêter là et je vous souhaite une très bonne soirée, un excellent week-end, ou que sais-je encore.

Promis, nous essaierons de faire un live.

Peut-être sur Telegram, je passerai un appel comme ça, nous pourrons planifier un échange et discuter pendant une heure.

Je vais bloquer une heure, nous parlerons un peu.

Dès que je suis disponible, probablement en fin de semaine prochaine, sans m’engager sur le timing, je pense que cela devrait être bien.