Consulting : Une Facture A 150 000 Dollars !

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Consulting, Entreprenariat et facture a 150 000 dollars.

Consulting a 150 000 dollars : Explications

Bonjour à tous, j’espère que tout le monde va bien.

Je vous fais un petit message sous la pluie thaïlandaise.

Il pleut de manière assez anecdotique.

Mine de rien, on arrive sur la saison de la mousson.

C’est cool, on retrouve un peu la pluie, les odeurs, l’herbe mouillée.

L’odeur de l’herbe mouillée, on l’avait bien ressentie en Suisse l’été dernier, mais c’est bien.

On a réservé nos prochains logements Airbnb.

Normalement, ça devrait bien se passer.

J’espère en tout cas.

Donc, on y va la semaine prochaine.

On va essayer de voir un peu ce qu’on va faire.

Je ne peux pas vous dire trop où je suis, qu’est-ce que je fais, etc.

Je fais un peu attention parce que c’est la Thaïlande et ce n’est pas Dubaï.

Donc, je fais un peu gaffe.

Je n’ai pas trop de personnes qui me veulent du mal pour l’instant, mais je me méfie toujours.

Il faut toujours faire attention à ce genre de choses.

J’ai passé une très bonne soirée hier.

Il s’est passé des super trucs, il y avait des petites fêtes, des petits marchés de nuit, des concerts au bord de la plage.

J’adore l’ambiance thaïlandaise, vraiment.

L’odeur de la nourriture, tout le monde aime la nourriture et surtout des ambiances festives, sympathiques, saines et simples.

C’est vrai que c’est chouette.

Bangkok et la Vie en Thailande

Beaucoup de gens aiment Bangkok, mais j’ai un peu du mal avec cette ville qui marche tout le temps avec du bruit.

Là, je suis dehors, je n’ai pas de bruit, juste le bruit des oiseaux et de l’eau.

Je ne sais pas comment on peut aimer vraiment Bangkok.

J’ai essayé de voir, je connais pas mal de gens à Bangkok, mais ils ne m’ont pas vraiment répondu à mes objections.

Après, il y a ceux qui sont bloqués à Bangkok pour leur travail.

Moi, je pense que quand on peut bouger où on veut, c’est un peu bête de rester à Bangkok avec la pollution.

Je ne sais pas, peut-être que je reviendrai sur ce que je dis, je n’en ai aucune idée.

Pour l’instant, je n’ai pas très bien compris le kif.

Moi, la Thaïlande me convient pour l’instant.

Je pense qu’on va vite arriver sur des limites, j’attends de voir nos premières expériences médicales.

Même si je ne suis pas inquiet, on a choisi la Thaïlande pour l’éducation et pour le médical, donc je ne suis pas trop inquiet là-dessus.

On sait où on va.

Il faut savoir que mes deux premiers critères sont la santé et l’éducation.

Être un bon français, pour moi, c’est important d’être bien soigné et d’avoir une bonne école.

Même si aujourd’hui la France a bien reculé.

La Suisse me fait rêver sur ces deux sujets, mais c’est comme les assurances santé en Suisse, ce ne sont pas les mêmes coûts non plus.

On verra avec le temps, je pense que je finirai en Suisse de toute façon.

Je le sens.

Une facture de 150 000 USD pour du consulting

Je vous envoie une facture au-dessus de 150 000 balles, il faut savoir que j’ai fait mon plus gros chiffre ce mois-ci que je n’ai jamais fait.

Et pourtant, j’ai réduit mes salariés, je suis en train de couler des boîtes, je suis en train de changer, je suis en train de repenser mon business.

Je ne vous en parle pas trop parce que je ferai un gros point pour que tout le monde sache, ce n’est pas vraiment matière à parler de quoi que ce soit, pas de faire un vlog sur un sujet comme ça.

D’ailleurs, je crois que j’ai 10 vidéos de retard que je vous ai tournées quand j’étais à Dubaï au mois de mars-avril, donc ça date un peu.

Mais je vais les publier, promis.

Je ne suis vraiment pas le mec qui arrive à faire des vlogs, mais je vais m’y mettre, je pense.

Ça fait des années et des mois que je dis ça, c’est comme la formation SEO d’ailleurs.

J’ai fait un très gros mois, le chiffre serait complètement hallucinant.

C’est le plus gros mois que j’ai fait, et puis c’est quasiment 100% de marge.

On est sur du consulting, on est sur des rampes de projets.

Je crois que c’est Luc qui a commenté, demandant si c’était des rampes de projets crypto.

Non, mais en effet, ça pourrait être des ventes de projets crypto.

Il faut savoir bien négocier sa rémunération

Je prends des % sur certains projets, je donne aussi des idées ou je mets en place des stratégies pour réussir à faire des choses intelligentes et surtout innover dans les marchés.

Donc c’est sûr qu’on me paye cher pour ça, puisque dès lors que j’ai l’idée et que dans la crypto, on l’applique.

Ce que j’aime dans la crypto, c’est que les gens sont de vrais entrepreneurs.

Moi, dans YouTube et avec les infopreneurs, ce ne sont pas des entrepreneurs, ce sont des gens qui jouent aux entrepreneurs.

Pour moi, web2fou, c’est la retraite à côté du métier d’entrepreneur.

Et il y en a pour qui c’est leur business principal.

J’aime quand on applique les idées

Ce qui me plaît, c’est que les entrepreneurs agissent tout de suite, ils arrivent à appliquer des idées.

Donc forcément, quand ça s’applique, je suis commissionné presque à la performance dans beaucoup de cas.

Je négocie souvent une rémunération à la fois fixe et à la performance.

Pour négocier ça, je leur dis que je prends moins sur la commission.

Évidemment, il y en a qui disent que c’est juste 50%, je leur dis que le problème, c’est que quand on prend de la commission sur des projets cryptos notamment, on n’est pas libres.

Les fondateurs et les équipes gèrent ça, donc s’ils font de la bêtise et que moi je prends une commission parce que je mets une idée, je mets les choses en place, etc.

Et derrière il y a un mec qui fout la pagaille, je n’ai pas de responsabilité sur cette bêtise puisque je n’ai pas les mains dessus.

Donc si c’est moi qui trouve l’idée, qui doit la mettre en place, je touche un petit pourcentage ou un plus gros, moyennant le fait que c’est ma seule rémunération, ce n’est pas du tout équitable.

Donc je négocie toujours une partie fixe et une partie à la performance, ce qui fait sens.

C’est une vraie technique de négociation d’ailleurs.

Consulting Crypto Entrepreneur : mon role

Évidemment, sinon je monterais mon projet et l’histoire s’arrêterait là, mais je n’ai pas envie de monter mon projet, donc ça me va.

Du coup, je réduis mes commissions mais je demande un arrangement comme ça.

Beaucoup m’ont demandé mes prix en privé.

Alors je vous les donne : en advisoring, je suis entre trente mille et deux cent mille pour le plus haut que j’ai fait.

Les pourcentages des projets peuvent aller de 5 à 40% quand je suis vraiment impliqué et que j’élabore tout.

Je monte jusqu’à 40%, mais après, je ne prends pas les responsabilités de projet, ça ne m’intéresse pas parce que les fondateurs sont des fondateurs et les CEO sont des CEO, donc je ne me mélange pas.

Le plus dur pour moi dans la crypto, les projets entrepreneuriaux ou même quand je fais du consulting, c’est de ne pas interférer avec les équipes.

Mon rôle est de donner les conseils, les idées, de retourner le cerveau du fondateur, les faire aller dans la bonne direction, leur mettre des claques de bon sens et de pragmatisme.

Les gens me remercient beaucoup pour ça, je leur mets des grosses claques, que ce soit du coaching, de l’accompagnement ou de l’advisoring.

Pour moi, c’est correct, les gens sont en général toujours satisfaits.

Ceux qui ne sont pas satisfaits, ceux qui ne comprennent pas, il y en a eu qu’un sur trente, donc le ratio est quand même assez bon.

Entre 30 000 et 200 000 en advisoring

Les seuls qui ne sont pas contents, enfin le seul qui n’a pas été content, c’est parce que la personne confond le travail, la part d’apport des idées, de la mise en place de la structuration et le fait que si le projet capote à cause de mauvaises décisions, c’est de sa faute.

Il faut des idées, des gens qui les mettent en œuvre, mais surtout des gens qui ne se tirent pas des balles dans le pied, ça c’est compliqué.

C’est pour cette raison que je me fais toujours payer en moyenne 50% avant et 50% après.

Je trouve que c’est équitable, je paye 50%, et ensuite je vais récupérer mes 50% restants après la réussite du projet.

Donc, en advisoring, je navigue entre 30k et 200 k.

Ensuite, il y a les pourcentages de projets.

Je me suis déjà retrouvé avec des projets qui m’ont généré beaucoup d’argent grâce à ces pourcentages.

Il suffit qu’il y ait un projet de trois millions sur lequel j’ai négocié 30% plus un peu de bonus.

Ça peut aller très vite.

Et c’est vrai que l’argent en comparaison est impressionnant.

Pourquoi y a-t-il autant d’argent dans la crypto ? Parce que les gens misent sur la montée.

Par exemple, si je mets trente mille, je parie que mes 30 000 € vont se transformer en 60 000 € ou 90 000 €.

Mais ce qui est le plus intéressant, c’est dans les actions, on parie sur la montée, donc c’est facile de lâcher 30 000 euros.

Est-ce que j’achèterais pour 30 000 € de publicité ? Finalement, le retour sur investissement en publicité est différent.

Moi, les plus grosses dépenses que j’ai faites en publicité, c’était 400 000 $ sur une journée, ce sont mes plus grosses dépenses.

Consukting web3 versus Consulting web2

Le chiffre exact est 380 000, mais je n’ai jamais été à ce niveau.

À l’inverse, sur web2fou, j’ai dû dépenser au maximum 700 € par jour, c’était en période de promotion.

Alors, d’où vient cet écart ? C’est un peu comme la crypto en réalité.

L’écart vient de plusieurs endroits.

Le premier endroit, c’est que ce ne sont pas les mêmes business, ni les mêmes marchés.

Quand ils arrivent à saturation, il y a de la grosse concurrence, donc les coûts sont de plus en plus élevés.

Les valeurs ajoutées doivent être de plus en plus fortes.

Pourquoi je m’éclate dans la crypto ? Parce que c’est un marché vierge, un terrain vierge, où la créativité peut faire son œuvre.

C’est dans ce genre d’endroits que je m’épanouis beaucoup, puisque je suis quelqu’un d’assez créatif.

Vraiment, c’est top.

Donc, pour ceux qui se demandent combien je prends, comment je négocie, etc., sachez que pour les factures de sociétés privées, je ne vais pas chercher des clients.

Je ne pourrais jamais vous donner de formation pour trouver des clients, car cela repose sur des années de relations.

Il faut prendre le temps, parler aux gens, rester en contact avec eux.

Je fonctionne uniquement par bouche à oreille.

En vérité, je n’ai pas vraiment de technique d’acquisition de clients sur ça, c’est très complexe.

Je n’en ferai jamais une formation, c’est trop complexe.

Mon Consulting : je donne les idées, les clients mettent en place les stratégies

Enfin, c’est simple, mais complexe à expliquer.

J’aurais l’impression d’entuber la communauté en faisant une formation là-dessus.

Je pourrais en parler au détour d’un live, par exemple.

Quand j’aurai mon chez moi, on reprendra les lives et on fera deux ou trois trucs sympas.

Concernant le consulting, qu’est-ce que je vends ? Je travaille notamment avec des grosses boîtes qui ont besoin de refaire leur marketing, réaliser des audits importants pour pouvoir progresser.

Ce type de factures n’est pas régulier, mais j’en ai toujours deux ou trois qui traînent dans l’année.

L’avantage, quand les gens gagnent des millions, c’est qu’ils sont prêts à investir et surtout, ils savent que les modifications que je peux apporter, même si elles ne sont pas énormes, vont produire des résultats impressionnants.

Les clients sont capables de dépenser 150 000 € car ils savent très bien que les actions que je peux mettre en place peuvent multiplier leur chiffre d’affaires par deux ou trois.

Quand ils gagnent déjà deux ou trois millions, à côté, cela semble dérisoire.

Cependant, je n’ai pas vraiment envie de m’engager à leur place.

C’est à eux de franchir les étapes.

Moi, je remets en place les stratégies, les idées, et je change un peu leur politique commerciale.

Je ne suis pas un expert en branding, il faudrait que je travaille avec quelqu’un qui soit bon dans ce domaine, mais cela peut être compliqué.

Consulting : le plus difficile, c’est de travailler sans interférer

Dans mon travail, je n’appartiens à personne.

On me confie une mission, ou plutôt un objectif, et je vais m’efforcer de l’atteindre.

Les objectifs sont généralement simples : augmenter le chiffre d’affaires, repenser des stratégies pour de nouveaux produits, etc.

Ce n’est pas plus compliqué que ce que j’ai fait sur le web traditionnel, sauf que ce n’est pas moi qui réalise les actions, ce sont les équipes.

Comme je l’ai expliqué précédemment, le plus difficile, que ce soit en crypto ou en consulting, c’est d’être capable de travailler avec les équipes sans interférer avec les managers.

Parfois, les managers commettent des erreurs colossales et, malheureusement, je ne peux rien dire.

Cela peut aussi me mettre dans une situation délicate.

C’est l’expérience qui permet de donner des arguments convaincants aux entreprises, et ainsi elles ne peuvent plus nier l’évidence.

Mais il faut vivre cette expérience pour le comprendre.

Je pourrais prendre plus d’argent, mais je sais très bien que certains managers vont créer des difficultés car ils ne gèrent pas correctement certaines situations.

Par exemple, si je mets en place une stratégie et que le manager ne parvient pas à la faire appliquer par l’équipe, cela crée des complications.

Il y a deux types de clients : ceux qui acceptent ces difficultés et ceux qui estiment que l’on anticipe trop de problèmes.

Dans 80 % des cas, cela se passe comme cela.

Ce sont des biais psychologiques en réalité.

Vous ne comprenez peut-être pas très bien de quoi je parle, mais pourquoi un manager traite-t-il mal ses équipes ?

Comment puis-je appliquer mes stratégies si le manager n’est pas respecté et se fait dominer par les équipes, sachant que je ne suis pas manager moi-même, mais consultant ?

Consulting et confiance : il faut avancer et resoudre des problemes

Parfois, je propose d’externaliser certaines tâches.

J’ai des équipes externes auxquelles je peux faire appel pour des missions spécifiques, puis je refacture ces services à mes clients.

Ainsi, même si l’équipe interne ne fonctionne pas correctement, je trouve une solution.

Je ne refacture pas énormément, mais juste ce qui est nécessaire.

Les clients qui acceptent d’externaliser ces tâches savent que leurs managers ne sont pas performants, ce qui leur permet également de prolonger la mission sur d’autres aspects.

Il y a donc beaucoup de petites choses à prendre en compte.

Un probleme de confiance ?

La plupart des gens pensent que c’est un problème de confiance :

qu’est-ce que tu proposes, qu’est-ce que tu vas faire ?

Je vais vous dire un truc, j’ai signé un contrat de 150 000 €.

Et je ne sais absolument pas ce que je vais faire.

Je ne sais pas encore ce que je vais faire.

Je vais étudier la situation, puis je vais rapidement comprendre en faisant confiance à mon esprit.

En réalité, il est très compliqué de vous expliquer ce que je fais, car c’est assez complexe et spécifique à chaque situation.

J’avais essayé de faire cela lors de sessions en direct privées sur Web de fou, pour lesquelles je facturais 30 euros par mois.

Mon but était de demander aux participants quel était leur problème et comment les résoudre.

Malheureusement, il n’y a pas eu beaucoup de retours à ce sujet.

L’idée est de discuter, de recevoir des informations, puis de trouver des choses à améliorer et des stratégies à mettre en œuvre.

Mais en amont, je ne peux pas savoir cela.

Alors, comment est-ce que je parviens à facturer autant sans connaître le produit ou le contexte ?

Cela repose sur les résultats, la confiance, les références et le bouche-à-oreille, ainsi que sur l’état d’esprit que l’on peut avoir.

La façon de penser ne s’achète pas.

Le Consulting, c’est surtout du mindset et de la psychologie

J’ai déjà réussi à aider des dirigeants de grandes multinationales en leur donnant des conseils de bon sens.

Je ne suis pas magique ni le meilleur, mais je peux apporter de la valeur ajoutée.

Demain, quelqu’un pourrait venir et me donner des conseils pour mon propre business.

C’est normal d’oublier certains principes de bon sens lorsque l’on est trop impliqué dans le management, l’argent, les rendez-vous, etc.

C’est pour cela que l’on fait appel à des consultants comme moi.

Est-ce que je suis en concurrence avec d’autres personnes ? Franchement, je n’en sais rien, mais si on me choisit, c’est qu’il y a de la valeur ajoutée.

Ce n’est pas de la vantardise.

Si quelqu’un paie 150 000 €, c’est parce qu’ils savent que je vais faire du bon travail.

En ayant une vision à 360 degrés et en participant à de nombreux projets, notamment dans la crypto, cela donne un éventail de compétences énorme.

L’expérience en crypto et en marketing en ligne est énorme, et c’est relativement facile.

Le seul problème dans le business en ligne, c’est qu’il y a beaucoup de blocages, comme avec Stripe,

Facebook, YouTube, etc.

C’est vraiment compliqué.

Je vous ai expliqué que cela implique beaucoup de psychologie et de mentalité.

Cependant, j’ai appelé cela un peu de « mindset bullshit », parce que je trouve que c’est un peu naze.

Je ne ferai jamais de formation sur le mindset, même si on peut en faire.

Dans le consulting en général, 70% de mon travail est basé sur la psychologie.

Que ce soit du coaching, de l’accompagnement ou autre, il faut toujours remettre en place et comprendre les problèmes des personnes.

Il faut essayer de comprendre et d’anticiper leur vie personnelle et professionnelle.

Consulting ou non, je reste un mercenaire du web

Le vrai sujet, c’est que les entrepreneurs sont souvent leurs propres ennemis, et il faut les accompagner.

C’est pour cela que je n’aime pas le terme « coaching », c’est plutôt de l’accompagnement.

Les personnes que l’on rencontre dans la vie, que ce soient nos amis, nos partenaires amoureux, restent des gens qui nous accompagnent tout au long de notre parcours.

Et à tout moment, elles ont le droit de sortir de notre chemin de vie.

Les clients d’aujourd’hui ne sont pas ceux d’hier, et ceux de demain ne seront pas ceux d’aujourd’hui.

Pour moi, ce qui est un peu dérangeant, c’est que je m’éclate vraiment, je kiffe, je rencontre des gens extraordinaires, et j’adore ça.

Il y a beaucoup d’intelligence, et je me sens beaucoup plus à l’aise que de devoir manager des salariés, raison pour laquelle j’ai réduit mes équipes et fermé les entreprises en France.

Cependant, je n’ai pas de projet dans lequel je peux m’investir pleinement.

Je reste toujours le mercenaire, l’homme qui prend des pourcentages de nombreux projets et qui reste un peu caché.

Je me souviens d’avoir fait un message pendant le Covid, où j’avais mentionné un gros projet où l’on me demandait de mettre mon nom, mais on m’a dit que je n’existais pas.

Et en réalité, c’est vrai.

Je pense que certains d’entre vous se souviennent de ce message et comprennent ma position.

Aujourd’hui, j’ai réalisé un mois extraordinaire en termes de facturation, mais c’est parce que je maintiens ma ligne de conduite.

Je me souviens vous avoir dit dans un audio, il y a quelques mois, que je ne céderais pas à cela parce que ce n’est pas ma façon de faire.

Ainsi, je préserve mon image et ma manière d’aborder les projets.

Consulting : rester dans l’ombre et vendre de l’ego

Eh bien, si j’avais accepté ce projet il y a deux mois, peut-être qu’aujourd’hui, j’aurais eu deux clients en moins ce mois-ci.

Les gens aiment bien travailler avec des personnes qui ne sont pas connues.

C’est un vrai marketing.

Ils ont l’impression de découvrir une pépite.

C’est un peu le même principe parce qu’il n’est pas connu, et c’est pour ça que j’aime bien garder cet aspect confidentiel et rare.

Si demain, il y a 100 personnes intéressées, ce sera forcément des gens dans le même domaine, c’est-à-dire des personnes qui aimeraient créer leur business en ligne de zéro, mais ne savent pas comment faire.

Même en 2022, je me demande comment les gens peuvent encore dire ça, avec tellement de vidéos sur internet.

Donc, j’aime bien rester dans une petite communauté.

La vérité, c’est que je vends l’ego.

La société avec laquelle j’ai signé est celle qui va revendiquer l’idée, la stratégie, le marketing à son nom, voire celui de ses équipes, alors que ce n’est pas le cas.

Et ça me permet de vendre plus cher.

On vend le droit de propriété d’une idée.

Encore une fois, ça ne me dérange pas, c’est moi qui crée cette ligne-là.

Donc en vérité, je reste dans l’ombre.

Si demain, un de leurs amis a besoin de quelque chose, ils peuvent le recommander, car c’est eux qui prendront l’idée, moi je ne m’en préoccupe pas et je ne veux surtout pas être connu.

Mais à défaut, si ça ne marche pas, ils pourront dire que c’est nul, pas de problème.

C’est un peu l’idée du truc, donc moi ça me convient très bien.

Ça me va très bien et je trouve ça malin.

Mais je ne vais pas vous expliquer comment l’appliquer, c’est un autre sujet.

Il faut toujours travailler avec des gens sérieux

Je dis que c’est malin parce qu’en fait, on ne peut pas trop se tromper avec un truc comme ça.

Après, il faut faire le job, bien sûr.

Il n’y a pas de « c’est bon, j’ai fini, merci, au revoir », non.

Donc évidemment, ils font le travail nécessaire.

Voilà.

Je travaille uniquement avec des gens sérieux.

Je n’ai jamais eu de problème de paiement.

Les clients me paient généralement sans souci, car ils souhaitent me garder sur le long terme.

Ils ne veulent pas passer pour de mauvais payeurs ou bien ils ont trop de projets en cours dans leur société pour se permettre de me laisser partir.

Donc, je m’installe un peu partout, comme une plante qui étend ses racines.

Parfois, cela me permet de renégocier des % avec de grosses sociétés sur de nouveaux projets ou produits.

Il n’y a pas de stratégie malsaine.

Si je développe un nouveau produit pour une société et que nous sommes d’accord, il est logique que je demande un pourcentage sur ce produit.

Je ne suis pas un salarié, je suis consultant et indépendant.

C’est ce qui me plaît.

Je vais terminer en expliquant pourquoi je ne fais pas de formations haut de gamme.

En effet, lorsqu’on propose des formations coûteuses, on est censé fournir un minimum de services.

Or, je ne fonctionne pas de cette manière.

Je ne souhaite pas être à la disposition des clients qui dépensent beaucoup d’argent dans une formation.

Je ne veux pas être à leur service.

Voilà pourquoi je ne propose pas de formations haut de gamme.

Un long chemin parcouru avec Web2fou

J’aime bien le prix des formations que je propose, car on me pose souvent cette question :

« Pourquoi te donner autant de mal pour si peu d’argent ? »

Par exemple, je viens de passer 25 minutes à enregistrer un message audio en marchant au bord de ma piscine et je me disais :

« Pourquoi je fais ça ? C’est absurde, je pourrais passer 25 minutes à faire autre chose. »

Mais en réalité, ça me plaît.

Ça me plaît, et cela ne m’empêche pas de facturer correctement.

Par exemple, si je dépense 12k euros par mois à l’étranger, soit 140k euros par an, je peux le couvrir avec un seul client en deux ou trois mois, en travaillant environ six heures par semaine.

C’est acceptable tant que les gens progressent, gagnent de l’argent, etc.

Nous sommes tous satisfaits.

Cependant, ce n’est pas tout le monde qui peut se permettre ce type de service de qualité, avec de l’intelligence et une bonne mise en place derrière.

Je ne prends pas mes clients pour des idiots, c’est la différence.

D’un autre côté, il y a Stripe qui ferme mon compte parce qu’ils estiment que mes produits ne sont pas bons.

C’est une plaisanterie, mais ce n’est pas grave, je fais avec.

Voilà pour ce long message explicatif.

J’espère que cela aura été bénéfique pour certains d’entre vous, afin de mieux comprendre comment je fonctionne.

Généralement, vous le savez déjà si vous avez pris cette formation.

Je crois que j’ai dépassé les 3 000 clients sur Web2Fou, avec 3 000 personnes dans l’espace membre.

C’est un bel accomplissement.

En considérant un prix de 200 euros par formation, cela représente une somme conséquente.

700k en 2 ans et 3k clients satisfaits

Ça fait 100 K, et c’est assez étrange d’ailleurs.

Il y a X personnes qui rachètent des formations, et franchement, je devrais atteindre des millions, mais en fait non, c’est ça qui est bizarre.

Je dois être à 700 K, et ça fait deux ans que j’ai vraiment lancé What de Fou.

Oui, c’est bizarre, je devrais être à environ sept cent mille euros.

En y pensant, c’est étrange.

Il doit y avoir un bug quelque part.

Bref, peu importe.

J’ai donc dépassé la barre des 3 000 membres dans l’espace membre.

Et concernant les témoignages sur les pages de vente, je déteste ça.

Mais en tout cas, ça me fait rire.

J’ai réalisé 700 K sur deux ans, ce qui ferait environ 400 000 et 270 000 euros sur cette période.

Mes pages de vente sont toutes les mêmes : du podcast, des trucs sans vraiment de sujet.

On m’aborde maintenant pour des projets crypto et autres, les gens commencent à comprendre qu’il faut savoir un truc.

Thomas, le fondateur de ce projet, m’a dit qu’il y avait des gens qui avaient investi 75 000 euros grâce à mes vidéos.

Je pourrais vendre mes vidéos à deux ou trois mille euros pour attirer des clients.

Honnêtement, je me pose la question de rejoindre une agence et de payer quelqu’un à plein temps pour s’occuper des vidéos.

L’idée serait d’attirer de la clientèle crypto et d’augmenter les audiences entrepreneuriales.

Je me dis « pourquoi pas? ».

Mais en même temps, je n’ai pas vraiment envie de me compliquer la vie.

Redistribuer les gains ?

Surtout, cela pourrait poser problème, comme on l’a vu lorsque j’ai changé mon nom et faisais quelques vidéos sur le plateau.

On a vu le type de communauté qui arrive dans le Telegram, les haters et autres.

C’est un peu comme les gens dans le bio, ils ne comprennent pas vraiment, mais ce n’est pas très important en fait.

Les gens ne comprennent pas comment je fais gagner soixante-quinze mille euros à un projet à travers des audiences.

Probablement, il y a des personnes parmi vous qui ont investi sur les réseaux sociaux, et la question se pose : pourquoi ne pas vendre mes vidéos à deux ou trois mille euros ?

J’aimerais bien faire ça et redistribuer l’argent à la communauté, par exemple en disant : « Je prends deux ou trois mille euros, du coup, j’ouvre des formations à X personnes ».

Mais je trouve ça un peu bête.

Je ne peux pas redistribuer l’argent comme ça.

Ce qui serait bien, c’est de prendre l’argent pour réaliser des projets techniques ou autres, mais je n’ai pas encore trouvé quoi.

Je me tâte.

Par exemple, je pourrais mettre le premier GTP et le prix dans une vidéo, puis partager l’argent dans la communauté.

Je pense que cela pourrait donner un bon aspect viral et c’est un nouveau type de marketing que je trouve intéressant, que j’ai presque envie de tester.

D’autres prendront sûrement l’idée.

Consulting ou Entreprenariat : Dilemme du marketing

On a essayé de le faire avec Flo de QTT : on prend le sponsoring, on le divise par deux, on fait un give away d’un côté et on réinvestit l’autre moitié dans la société.

Pourquoi pas ? Pourquoi pas ?

Je ne sais pas trop.

Le problème, c’est que payer des Youtubeurs pour produire des choses inutiles ne me plaît pas trop, ça m’énerve même.

C’est quelque chose que je trouve détestable, ça fait vraiment mauvais genre.

J’ai toujours détesté ça.

Je dis juste qu’il y a un potentiel à exploiter là-dessus, mais je ne sais pas trop encore.

Je vais devoir y réfléchir.

D’autres projets

J’ai d’autres idées et un projet dont je dois vous parler, mais je n’ai toujours pas fait cette vidéo.

J’ai d’autres choses à faire, et même si j’aimerais la réaliser, je suis toujours rattrapé par d’autres priorités.

Si j’avais toutes mes journées, je ferais deux vidéos par jour.

Mais je n’ai pas tout mon temps entre ma famille et autres choses.

Je pense que lorsque je serai installé dans ma maison en Thaïlande, je produirai davantage de contenu vidéo pour Web2fou.

J’ai envie de me consacrer un peu plus à cela.

Le problème avec ce type de vidéo, c’est que cela va attirer des gens que je n’ai pas envie d’avoir.

C’est toujours compliqué, alors que les podcasts filtrent naturellement les auditeurs.

Ce n’est pas tout le monde qui écoute la trentième minute de cet audio.

Vous qui écoutez, vous faites vraiment partie des plus assidus.

Et c’est pour ça que les vidéos YouTube, c’est trop facile d’attirer des gens comme ça, sans effort.

Du coup, je vais avoir des gens qui viennent de nulle part, qui seront débutants et qui vont poser des problèmes.

Ça va me donner du SAV inutile, et ce n’est pas ce que je recherche.

C’est peut-être la meilleure façon de mettre fin à Web de fou, et je préfère éviter cela.

Publicité aggressive : de nouveaux clients avec YouTube

Voilà.

Par contre, faire une bonne publicité agressive sur YouTube et capter des gens là-dedans, oui.

Cette publicité où je suis au bord de la piscine, à chaque fois que je la montre à des entrepreneurs, ils me disent :

« Ah oui, c’est vrai, je me serais inscrit si c’était ça »

Je trouve cela intéressant.

YouTube a mis une restriction sur la vidéo, je crois, parce qu’on voit des bouts de tétons.

Je pense que c’est cela qui ne leur a pas plu.

Mais je suis juste torse nu, ce n’est pas comme si j’étais une femme et que je montrais mes seins.

Je ne sais pas, peut-être que dans certains pays, je comprends qu’ils limitent l’accès, mais sinon, on s’en fout.

Je ne suis pas nu, donc quel est le problème ?

Enfin bref, voilà.

Fin de mes pensées.

Vous avez vu, j’ai repris les podcasts, certains ont fait des ventes.

Il faut savoir que j’ai rouvert seulement trois d’entre eux, qui sont accessibles et payants.

Pour l’instant, je n’en ai que trois, alors que d’habitude, j’ai plein de formations différentes que les gens aiment prendre.

Je n’ai même pas pris le temps de les remettre en ligne, car cela demande trop de temps.

J’ai environ cinquante formations, et je dois toutes les repasser une par une, recréer les produits, etc.

Donc, je fais petit à petit.

Cette semaine, j’en ai fait que trois, et je vais en faire trois la semaine prochaine, et ainsi de suite.

Je ne suis pas un nomade digital mais un entrepreneur

Je pense que les nouvelles formations vont reprendre dans pas longtemps.

J’espère en juin ou en juillet, dès que je suis installé.

J’ai essayé de faire des formations cette année, sur Accepto, et cetera.

Mais quand je change de Airbnb, cela me demande trop de temps et je ne peux pas tout gérer.

Ça prend du temps et je n’ai pas les personnes adéquates pour ça.

Donc, ne vous inquiétez pas, je vais reprendre de nouvelles formations.

J’ai un tableau avec 80 sujets de formation, donc ce n’est pas l’envie qui manque, mais plutôt la capacité, le temps et le matériel.

Étant donné que je ne suis pas un nomade digital de base, j’ai besoin d’être chez moi pour faire ça.

Appuyer sur deux boutons et que ça enregistre.

Tu ne peux pas être dans un Airbnb et sortir le matériel, attendre que la lumière soit bonne, qu’il n’y ait pas de contre-jour, et autres problèmes.

On pourrait se dire de filmer l’écran, mais sur un portable, ça surchauffe, il faut le micro, et tout un tas de complications.

C’est pour cette raison que je ne les fais pas, ce n’est pas que je n’ai pas envie, c’est le temps que ça demande en préparation.

Donc voilà, vous savez tout.

C’était les pensées du samedi.

Passez un très bon week-end.