Investir dans l’immobilier : A Quel Endroit ?

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Investir dans l’immobilier : Coup de coeur pour la Thailande

Investir dans l’immobilier : on a notre maison.

Bonjour à tous, j’espère que vous allez bien.

Petite nouvelle, nous avons signé les papiers de notre maison.

Oui, notre maison.

Nous sommes plutôt contents.

Enfin, nous emménageons dans quelques jours.

Nous allons enfin pouvoir être tranquilles.

Je récupère mon iMac, merci encore à Alex, qui probablement écoutera ce message, d’avoir gardé cet iMac quelques mois.

Je le récupère normalement mercredi, j’envoie lundi mon chauffeur pour acheter d’autres matériels.

Donc normalement, je dirais que d’ici deux semaines j’aurai tout mon set-up.

Il me manque juste un bureau, une chaise, quelque chose de classique, mais je vais choisir quelque chose qui me permettra de m’installer rapidement.

Donc, je suis assez content.

Finalement, c’est rapide, il ne manquait pas grand-chose, une semaine pour 9 mois d’attente.

Je suis plutôt content.

Enfin, nous allons pouvoir nous installer un peu, commencer à être un peu plus sereins sur tout ça.

Je ne vous ferai pas de visite guidée de la maison, je ne pense pas que ce soit pertinent.

Je ne veux pas trop m’afficher sur des choses comme ça, ça ne m’intéresse pas et cela n’a que peu d’intérêt.

Ce n’est pas mon truc.

Bref, nous avons aussi une seconde maison que nous sommes en train d’acheter, qui sera notre résidence principale.

Investir dans l’immobilier : Stratégies et chiffres

Je serai un peu plus à même de faire le tour de la seconde maison pour diverses raisons.

Elle sera beaucoup plus adaptée.

Nous emménagerons dans la première dans quelques jours, et la seconde, qui sera une construction, sera prête dans 12 à 14 mois, ou peut-être plus.

À noter que cet achat que nous avons réalisé sur la première maison est un investissement.

Je ne voulais pas me précipiter pour acheter une maison, mais j’ai vu une opportunité intéressante sur cette maison, donc j’ai été contraint de l’acheter.

Nous allons y vivre, ce qui nous évitera de payer un loyer, et par la suite, je la louerai.

C’est une opération qui se déroule très bien.

On peut monter jusqu’à 300 000 – 350 000 euros, soit environ entre 8 000 – 10 000 euros par mois.

C’est une très bonne maison, il n’y a pas de problème à ce niveau.

Je ne veux pas etre dans des situations compliquées

Évidemment, il y aura toujours des choses à dire, rien n’est parfait.

J’ai déjà des clients qui souhaitent la louer, mais je ne vais pas quitter ma maison pour dix mille euros par mois.

Certains le feraient, profiteraient de ces dix mille euros par mois pour aller vivre ailleurs.

En effet, je pourrais le faire, je pourrais par exemple encaisser ces dix mille euros par mois et prendre quelque chose à trois mille euros, mais je ne veux pas être constamment dans des situations compliquées.

J’achète pour m’installer, pas pour faire de l’argent.

Cependant, il est toujours très motivant de voir qu’il y a des gens très intéressés et que c’est quelque chose qui va se louer, sauf si une nouvelle pandémie ou autre événement mondial fait baisser la population.

Je reste convaincu que l’offre et la demande sont pertinentes.

Ne confondez pas les marchés, j’ai vu beaucoup de gens me dire : « Tu es fou, c’est de l’immobilier », des gens qui sont venus me dire ça, et donc je voulais donner mon avis.

Investir dans l’immobilier : Vision International

Certains pourraient dire : « On se moque de ton avis », mais je le donne quand même.

À mon avis, beaucoup de gens n’ont pas conscience des spécificités des marchés.

Je pense que du côté de l’Italie, par exemple, ce sont des marchés en développement.

Au Canada, il y a de grandes choses à faire.

Il y a tellement d’opportunités au Canada que je n’y vais pas, tout simplement parce que je consacre tout mon temps aux cryptomonnaies, à la situation liée au covid et à d’autres choses.

Je suis, en quelque sorte, vacciné contre l’idée de m’installer au Canada.

Pourtant, c’est un pays que j’apprécie pour de nombreuses raisons, j’avais même envisagé de m’expatrier là-bas à un moment donné.

Le monde semble se refermer, mais je suis très content pour l’instant en Thaïlande, où tout se passe bien.

Pour ce qui est de l’immobilier, je pense qu’il y a encore de très grosses opportunités.

Certes, il y a moins d’opportunités qu’il y a dix ans, mais il y en a quand même de très bonnes.

On fera moins d’argent qu’il y a 10 ans, c’est certain, mais il y a encore des possibilités intéressantes.

Aujourd’hui, je fais des investissements qui vont probablement rapporter entre 800 000 et 1 million d’euros sur trois à quatre ans.

Ce n’est pas énorme, on ne peut pas considérer ça comme une affaire en soi, mais plutôt comme un travail de capital.

L’immobilier peut être ennuyeux à partir du moment où on n’a pas le processus en place, et je n’avais pas ce processus.

En fait, j’ai dû aller en Thaïlande pour l’obtenir, et c’est maintenant quelque chose qui m’intéresse beaucoup.

Investir dans l’immobilier : il faut analyser la situation

Je ne deviendrai pas un investisseur immobilier comme ceux qui vendent leurs formations sur le sujet.

Je pourrais donner des conseils, quelques astuces, mais je ne me sens pas légitime pour aller plus loin.

Peut-être que dans deux ans, je me sentirai plus à l’aise, et je pourrai partager deux ou trois choses sur comment choisir un bien immobilier ou sur ce qu’on peut faire d’intelligent dans ce domaine.

Ce ne sera pas une simple liste d’étapes à suivre, mais plutôt de la valeur ajoutée réelle.

Comment peut-on analyser une situation ? Comment négocier efficacement ?

Il faut savoir que j’ai utilisé des techniques de négociation incroyables pour cette maison que j’ai achetée, et j’ai économisé mille dollars.

J’ai réussi à faire baisser le prix d’achat de je ne sais combien en pourcentage, mais c’était beaucoup en tout cas.

J’estimerais une réduction de 10-20% du prix du bien, quelque chose comme ça.

Je crois fortement que l’immobilier dans certaines villes a beaucoup progressé, que ce soit en Thaïlande ou dans d’autres pays.

Pour ce qui est de la Nouvelle-Zélande, je n’ai pas vraiment d’opinion.

En ce qui concerne l’Australie, j’ai un peu plus d’avis, mais ce n’est pas le sujet ici.

Investir dans l’immobilier en Asie : il faut etre sur place..

Je pense que des pays comme le Cambodge et le Vietnam offrent toujours des opportunités intéressantes à développer.

Cela m’intéresse également.

Cependant, il faut être sur place car chaque marché a son propre contexte.

Ce dont je suis certain, c’est que je n’investirai que lorsque je maîtriserai le processus.

En fait, je pense qu’en trois ou quatre semaines dans un pays, si on recherche activement des biens immobiliers, on peut très vite comprendre comment ça fonctionne dans des lieux spécifiques.

Ainsi, en trois ou quatre semaines, on peut être prêt à acheter une maison.

C’est quelque chose que j’ai appris.

Même sans connaître le marché, j’ai trouvé un processus pour apprendre comment le marché fonctionne, vérifier, tester, voir ce qui fonctionne et quels sont les problèmes liés à la géographie de l’endroit où l’on cherche à acquérir un bien.

Je suis très satisfait des progrès que j’ai pu faire.

Pendant des années, j’en ai fait une montagne, mais en réalité, c’est assez simple.

Le bien immobilier que j’ai acheté ne me pose pas de problème.

Ce n’est pas là que je ferai le plus d’argent, mais pour ceux qui me connaissent un peu, vous savez que j’aime bien sortir mon argent des banques.

En ce moment, je le fais beaucoup pour diverses raisons.

J’ai toujours gardé un peu d’argent sur Interactive Brokers pour réinvestir en bourse à tout moment.

J’ai un peu liquidé mes cryptomonnaies également.

Investir dans l’immobilier : Oui mais aussi en bourse, dans les stocks…

Je place de l’argent dans l’immobilier, je l’investis dans d’autres choses aussi, comme les stocks.

J’ai également fait un peu de travail.

Bref, j’investis mon argent dans beaucoup de choses.

Peut-être qu’un jour, je partagerai l’intégralité de mon patrimoine, mais je ne pense pas le faire pour le moment.

Pourquoi ?

C’est simplement une question qu’on ne m’a pas posée.

Je vais tout de même donner cette réponse, comme une sorte de référence.

Je n’ai aucun intérêt à dévoiler l’intégralité de mon patrimoine, à montrer des chiffres, de belles voitures, ou autres choses du genre.

Ce n’est pas dans mon intérêt car cela attire des personnes que je n’apprécie pas.

De plus, cela s’apparente à la recherche d’une grande audience, ce qui ne m’intéresse pas non plus.

J’aspire à une certaine tranquillité dans ma vie, d’où le fait que je préfère rester discret.

J’aime cette devise : « Heureux vivons cachés ».

Il est possible de se montrer un peu pour le réseau, pour comprendre nos fonctionnements, pour partager et transmettre des informations, mais pas au point de dévoiler son patrimoine.

Cela ne crée que des problèmes.

Donc, beaucoup ne sauront pas ce que je fais.

Personne ne connaît vraiment l’étendue de mon patrimoine, sauf quelques individus.

Même mes proches, y compris ma famille, n’en sont pas informés.

En réalité, cela reste personnel.

Personne ne peut vraiment recouper d’informations.

Même mes propres banquiers ne sont pas nécessairement au courant.

Les seuls qui pourraient le savoir aujourd’hui sont les banques actives, lorsque je demande des crédits pour investir à l’étranger.

Investir dans l’immobilier ou dans les voitures ?

Il faut savoir que dans la plupart des pays, on peut nous prêter 50% de la valeur des biens.

J’aime bien acheter en cash et je le fais assez souvent.

Je suis d’ailleurs en train d’acheter une voiture à 50 000 euros en cash.

Surtout, je dois préciser que je déteste les voitures.

Je ne vois pas leur valeur esthétique ou symbolique.

Quand je regarde une voiture, je vois simplement du métal.

C’est la même chose que pour ceux qui regardent les toits des maisons et n’y voient qu’un toit et du métal.

Wen Lambo

On peut me mettre une belle voiture, les Lamborghini, tout ça devant les yeux, cela ne m’émeut pas.

Mon père est un grand amateur de voitures.

Il a fait de la Formule 1, de la Formule 2, de la Formule 3, je ne me souviens plus exactement.

Il a toujours été passionné par ce milieu, mais personnellement, je n’y ai jamais trouvé de plaisir.

Quand j’étais petit, je visitais les paddocks, je voyais les voitures, les moteurs, je ne comprenais rien et cela ne m’intéressait pas.

Le seul modèle qui a su attirer mon œil un jour, c’était la Lamborghini.

Je l’ai toujours trouvée jolie, mais ma voiture préférée, ce n’est pas une question d’argent, c’est la Mustang.

C’est vraiment un coup de cœur, une sorte de fantasme, c’est tout.

J’en ai loué une, mais je me fiche complètement des voitures.

Par contre, ce qui est bien, c’est que les voitures ne perdent pas forcément de la valeur et c’est ça qui m’intéresse.

Plutôt que de louer une voiture aujourd’hui, je me retrouve à en acheter une et je me dis la même chose.

Si j’achète une voiture à quinze ou vingt mille euros, autant en acheter une à cinquante mille.

Je pourrais la revendre à peu près quarante mille dans quelques années.

Ce n’est pas énorme, mais c’est toujours bien.

Diversification : investir dans l’immobilier, les cryptos, les stocks

J’essaie un peu de tempérer tout ça.

J’achète des maisons, je place de l’argent, je fais des investissements privés.

Je continue également à investir dans le Bitcoin.

Je l’ai toujours dit, le Bitcoin ou l’ETH, c’est à dire que j’étais à une époque Bitcoin maximaliste.

Maintenant, je ne sais pas comment on dit, mais j’ai quand même fait un petit coup sur l’ETH.

Donc je rachète du Bitcoin et pourtant je vais vous dire deux choses : je suis quand même convaincu que ça risque de chuter d’ici 2030 mais je ne sais pas, je suis impulsif.

Je ne saurais pas dire…

Donc oui, je perds un peu d’argent, par contre j’en ai gagné un peu sur le DAI que j’ai revendu, et ainsi de suite.

Je traîne un peu sur diverses plateformes, mais je n’irai plus sur des projets comme ceux que j’ai déjà connus.

Je m’intéresserai toujours aux projets, mais je n’investirai plus dans certains domaines.

J’investis dans des projets de développement, mais je m’éloigne des placements dans l’APR, APY, Dex, etc.

J’ai placé de l’argent dans des pools de liquidité, c’est très personnel.

Nous verrons comment cela évolue, seul l’avenir nous le dira.

Je place également des fonds dans des projets un peu atypiques.

Par exemple, j’ai investi dans un projet lié au lait de chameau.

C’est une idée que quelqu’un m’a donnée.

Cela peut paraître étrange, et il faudrait que j’explique le sujet en détail, mais en réalité, cela rapporte assez bien.

J’investis également dans des parts de sociétés, de business.

J’ai fait un départ dans une société de business.

J’essaie de ne pas trop m’étendre sur des sujets que je maîtrise et surtout dans lesquels je peux apporter de la valeur ajoutée.

Je m’implique dans de nombreux projets

Je m’implique dans de nombreux petits projets de ce genre.

En réalité, ce n’est pas trop lourd à gérer.

Ma femme va s’occuper de la gestion de nos biens immobiliers, ce qui est plutôt cool.

Je suis réellement un père de famille comblé, un peu à la retraite finalement.

J’ai des revenus stables, des affaires qui prospèrent, tout va bien et je continue à me développer.

J’arrive à retrouver une certaine stabilité dans ma vie, que je n’avais pas connue ces neuf derniers mois.

Neuf mois, c’est long.

Beaucoup de choses se sont passées entre trois pays, avec une petite fille à gérer.

C’était assez complexe, nous ne pouvions même pas nous projeter.

En toute transparence, nous nous sommes posé la question d’avoir un deuxième enfant, mais c’était une situation tellement instable.

Peut-être que maintenant, nous allons y réfléchir sérieusement.

D’ailleurs, beaucoup de personnes me posent des questions sur le couple, la sexualité, etc.

Je pense que cela est lié à certains débats récents.

Je ne peux pas dire que je suis contre ou pour certains points de vue, je suis d’accord avec beaucoup de choses.

Il y a des sujets sur lesquels je pense que certaines personnes n’ont pas encore expérimenté certaines réalités, elles ont beaucoup de théories sans avoir véritablement vécu certaines situations.

C’est un peu comme les gens qui disent qu’ils élèveront leurs enfants d’une certaine manière, puis quand ils en ont un, ils réalisent que c’est différent.

Il y a des choses que les gens oublient lorsqu’ils expriment un avis, c’est les aléas de la vie.

Demain, vous pouvez tomber malade, avoir un accident, des choses qui peuvent remettre en question votre perspective sur la vie.

Un equilibre personnel et profesionnel difficile a trouver

Il y a de nombreux paramètres à prendre en compte, nous sommes confrontés à des comportements humains qui découlent simplement de logiques particulières.

Par exemple, certaines personnes ont de l’argent, etc.

C’est intéressant, car je me trouve dans une situation plutôt privilégiée, mais en même temps, je suis confronté à une forme de discrimination, le racisme anti-blanc.

Je l’accepte parce que cela ne perturbe pas fondamentalement ma vie.

Parfois, cela me dérange, mais ce n’est pas un problème majeur.

Peut-être que dans trois ans, je dirai l’inverse et que je ne supporterai plus cette situation.

J’ai des avis partagés et j’ai été interrogé plusieurs fois à ce sujet ces dernières semaines.

Bien sûr, j’ai des opinions, et je construis ma vie de couple.

Mais je vais vous dire quelque chose de différent.

À 32 ans aujourd’hui, combien ont réussi à gagner des millions, à monter des entreprises, à avoir de nombreux partenaires, tout en restant bienveillants, à fonder une famille, à réussir dans leur vie personnelle et professionnelle ?

Je n’en connais pas beaucoup, pour ne pas dire aucun dans mon entourage.

En vérité, le plus difficile est de maintenir un équilibre entre sa vie professionnelle et sa vie personnelle.

C’est un véritable sujet, un véritable travail, un véritable projet.

C’est quelque chose qui me tient à cœur.

Ce n’est pas si simple, car il y a beaucoup d’équilibre à trouver.

Des ajustements qui sont nécessaires

Lorsque des déséquilibres se créent, qu’ils soient professionnels, personnels, géographiques ou autres, cela engendre des perturbations.

Inévitablement, des réajustements sont nécessaires et demandent des efforts.

C’est complexe à expliquer.

Par exemple, je ne me dispute presque jamais avec ma femme.

Nous pouvons avoir de petites frictions.

Mais rien de compliqué.

Nous ne nous sommes jamais vraiment crié dessus.

Peut-être deux fois par an.

Nous nous entendons très bien, nous rions, tout se passe très bien.

Et pourtant, cela fait 10 ans que nous sommes ensemble et tout va bien.

Chacun mène sa vie comme il le souhaite.

C’est mon avis sur le sujet et j’en parlerai probablement un jour en direct, car je pense que c’est un sujet qui reviendra.

Je ne sais pas pourquoi, mais le sujet de la femme et du couple a pris beaucoup d’ampleur chez les infopreneurs.

Je ne m’attendais pas à ce qu’on me pose ce genre de questions.

Ce sujet m’intéresse, je vais vous expliquer pourquoi.

Ma fille regarde mes vidéos, tout comme mes autres enfants, et je trouve ça bien.

Cela crée une archive et, personnellement, c’est quelque chose que je n’ai jamais fait.

J’ai toujours suivi ma voie, j’ai appris des choses.

Il y a des aspects de ma vie que je ne souhaite pas remettre en question.

Par exemple, être entrepreneur.

Je me sens bien dans cette position et il y a des questions que je ne me pose tout simplement pas.

Je ne me suis jamais demandé si je me sentais bien en étant entrepreneur.

Investir dans l’immobilier : j’aurais pu investir les 400 000 euros que j’ai perdu dans une baraque

Évidemment, je sais qu’il y a des problématiques, des avantages et des inconvénients, il y a des yin et des yang.

Mais il y a des yin et des yang dans tout.

En fait, c’est pareil, on choisit ses yin et ses yang dans les sujets qui nous concernent.

Aujourd’hui, si je devais m’arrêter et mourir demain, je serais très fier de ce que j’ai accompli, que ce soit sur le plan personnel ou professionnel.

J’ai aidé des gens, j’ai un peu aidé ma famille, j’ai aidé beaucoup de salariés à s’émanciper de certaines choses.

J’ai aidé les gens avec les formations, en fait j’ai beaucoup aidé, j’ai toujours mis l’aide au centre de mes préoccupations.

Je suis très satisfait d’avoir pu résoudre les problèmes de mes clients.

Cela nourrit bien sûr l’ego et, en passant, je me suis enrichi.

Je n’ai pas eu l’impression de faire quelque chose de mal.

J’ai vraiment une petite erreur de parcours sur la crypto, j’ai perdu 500 000 euros.

C’est certain que c’est quelque chose que je regretterai toute ma vie, car cela fait un trou dans mon patrimoine, mais surtout parce que c’est beaucoup d’argent.

Et quand on investit dans la crypto, on n’a pas l’impression de perdre parce qu’on a toujours les pièces.

Mais le jour où on ne les a plus, on se dit que c’est quand même beaucoup d’argent.

Par exemple, quand je vois des articles dans un vestiaire, je me dis :

« C’est 400k, c’est le genre d’achat que j’aurais pu faire. »

Cela m’apprend-il quelque chose ?

Qu’apprend-on ?

Peut-être que même si j’avais ces fonds, je n’achèterais pas l’article que je regarde.

Aujourd’hui, maintenant que je ne l’ai plus, je me dis que c’est peut-être l’argent que j’aurais pu dépenser là-dessus.

L’aurais-je vraiment fait ? Probablement pas.

Il faut accepter les hauts et les bas

Il y a d’autres sujets à aborder.

Je pense qu’il y a de nombreux paramètres à prendre en compte dans sa vie.

Je suis très fier de ce que j’ai accompli.

Et de ce que je prévois encore de réaliser.

Je n’ai pas forcément d’objectif précis.

Une fois qu’on a de l’argent, des partenaires, qu’on réussit dans notre travail et qu’on a une vie stable, tout semble bien se passer.

Cependant, il suffit d’un événement pour que tout déraille.

Quand on se sent bien partout, la seule chose qui peut être dérangeante, c’est la descente, qui arrivera inévitablement.

Cependant, le plus important c’est de réussir à remonter une fois que ça redescend, ou au moins revenir à l’endroit où nous étions.

Nous savons tous que la vie est cyclique, il y a des jours où nous sommes heureux, d’autres où nous sommes malheureux.

Nous avons tous des échecs et je pense que c’est l’essentiel.

Être à l’aise avec cela est fondamental.

J’ai eu du mal à accepter certaines choses.

Je n’étais pas malheureux avec certaines acceptations.

De quoi je parle ?

En tant qu’entrepreneur, que faisons-nous ?

Nous embauchons, déléguons, avons des partenaires.

Il y a des temps, des choses, des décisions difficiles à prendre.

Préfère-t-on la merde ou le purin ?

Je n’étais pas forcément à l’aise.

Je pensais que l’objectif était de ne plus avoir ces problèmes.

En réalité, le vrai enjeu est de les accepter.

Se dire que ce n’est pas grave, que cela n’empêche pas le développement.

Seule l’expérience peut nous le montrer.

Ce n’est pas parce qu’on est ennuyé par les salariés, par les prestataires, qu’on doit le nier.

C’est une chose à accepter.

Faire un pas en arriere pour mieux avancer

Cela n’empêche pas de progresser.

J’ai l’impression que la plupart des entrepreneurs que je rencontre, qu’ils soient développés ou non, pensent que leur développement ne peut passer que par ce genre de choses.

Ce n’est pas le cas.

Je suis la preuve vivante de cela, puisque je gagne plus d’argent en ayant réduit mes équipes par quatre.

Il faut donc tracer des chemins, être à l’aise avec cela, toujours faire un pas en arrière pour avancer ensuite.

C’est une chose que je répète constamment.

Je ne pense pas que cette phrase disparaîtra dans les dix prochaines années, à moins que je ne découvre d’autres choses.

Il faut savoir faire un pas en arrière pour en faire deux en avant.

Peu d’entrepreneurs savent le faire, être capable de réduire son business pour aller ailleurs et développer de nouvelles choses.

J’ai développé des théories assez incroyables à ce sujet au fil des années.

Le problème, c’est que j’ai tellement de sujets que je ne sais pas par où commencer.

C’est pour cela que j’apprécie les gens qui engagent la conversation et me posent des questions.

Si vous en avez, préparez-les.

Nous reprendrons ces discussions dans deux semaines.

Je vais reprendre les lives : pas de sujets spécifiques pour l’instant

Je vais essayer de refaire un petit live sur Telegram ou sur une chaîne YouTube.

Cependant, cela pourrait être compliqué car je ne maîtrise pas encore l’outil OBS.

Quoi qu’il en soit, j’attends mon matériel pour pouvoir recommencer.

Il me manque encore le bureau, la chaise, donc je ne serai probablement pas prêt pour la fin de semaine prochaine et je ne veux pas me stresser à ce sujet.

Donc, dans deux semaines, nous reprendrons les lives hebdomadaires et je pense que je ferai également des lives privés pour ceux qui souscriront à des abonnements à bas prix.

J’ai déjà essayé mais je vais relancer l’offre pour voir ce que ça donne.

On parlera de sujets spécifiques, de projets.

Je n’ai pas de projet spécifique en tête pour le moment, mais je commence à retrouver un peu de temps, ce qui est plutôt cool.

Je suis assez content.

J’ai toujours de l’argent en banque, malheureusement encore trop.

Je n’ose pas trop investir, ni trop vite.

Ce sont les questions que je me pose actuellement.

Il ne faut pas se précipiter, mais ne pas être trop lent non plus.

C’est un problème que je rencontre car quand je regarde mon patrimoine dans différentes villes, je me dis que je suis trop sollicité.

Investir dans l’immobilier ou investir dans les banques ?

Par exemple, ce mois-ci, j’ai subi une dévaluation de 4% sur mes euros, ce qui n’est pas négligeable.

Cela m’a fait perdre 40 000 euros.

Donc, en réalité, j’ai perdu 40 000 euros à cause de la baisse de l’euro.

Ce n’est pas très grave, mais le dollar, qui est la monnaie de référence, ne pose pas autant de problèmes.

Certains diront que le dollar monte, mais je ne gagne pas plus de dollars pour autant.

Je les place ensuite, j’ai des taux d’intérêt à 8%, mais quelqu’un m’a posé une question à ce sujet, à laquelle je n’avais pas répondu sur le moment, promettant de le faire plus tard.

Ou trouver des bonnes banques ?

Où trouve-t-on des taux à 8% ?

Il faut chercher dans des domaines spécifiques, soit aux États-Unis, soit dans des pays un peu exotiques comme Monaco, Liechtenstein ou Singapour.

C’est un peu différent à Singapour, mais vous pouvez regarder du côté des banques américaines qui proposent des services spécifiques.

Après, il faut être capable de négocier, en expliquant que l’on ne souhaite pas travailler sur des choses spécifiques, mais uniquement sur certains sujets.

Ensuite, il faut trouver des arrangements.

Je trouve des arrangements parce que j’ai un peu de trésorerie pour ne pas être dépendant des banques et surtout parce que je sais gérer les négociations auprès d’elles.

C’est très complexe, parce que parfois je me demande comment on peut négocier avec une banque.

On peut se dire qu’il est impossible de négocier, que c’est comme ça et c’est tout.

C’est quelque chose que j’ai mis du temps à comprendre.

Cela pourrait faire l’objet d’une formation, mais en vérité, je ne pense pas que ce soit pertinent.

Cela pourrait concerner peut-être dix personnes et même dans ce cas, c’est un sujet très spécifique.

C’est comme un commercial qui débarque, il a sa manière de faire et c’est très personnel.

Je pourrais en parler à l’occasion, mais cela n’a rien de fondamentalement intéressant.

J’essaie de tout automatiser mais Zapier me fait parfois faux-bonds

J’ai fait le tour de ce que j’avais à dire.

Je suis sur la terrasse en train de marcher en rond.

Pensez à moi quand je partage ces pensées, je tourne en rond comme un hamster.

J’espère que tout le monde va bien en tout cas.

Je publierai le podcast plus tard.

Je ne sais pas pourquoi, mais c’est ce qui m’agace avec les podcasts, c’est que j’automatise avec Zapier.
Zapier poste sur YouTube.

Mais une fois sur deux, la vidéo n’est pas traitée.

Je dois alors la supprimer, copier-coller des éléments, ce qui n’est pas grand chose et prend trois à quatre minutes, mais ces trois à quatre minutes ne sont pas automatisées.

C’est cela qui crée de l’irrégularité et cela m’agace.

Donc, c’est vraiment un sujet.

J’ai tout essayé avec Zapier.

Évidemment, il faudrait passer par les API et autres choses techniques.

J’ai essayé avec des temps de pause différents, par exemple, je poste le podcast à 5 heures et je le partage à 9 heures.

Je croyais que c’était une question de temps de pause, mais en fait non.

Quand je regarde les erreurs, ce n’est pas cela.

Parfois, cela ne fonctionne pas pour une raison inconnue.

Je pense que Zapier n’est pas bien connecté à YouTube, je ne sais pas pourquoi.

Je veux faire des vidéos propres

Pour la suite, je pense que je vais faire de plus en plus de vidéos.

En fait, j’ai trouvé un peu le truc.

Je vais investir un peu, mais je n’ai pas besoin d’acheter du matériel.

J’ai eu cette discussion avec quelqu’un, que je ne citerai pas, mais je pense qu’il ne s’en souciera pas.

Nous sommes d’accord pour dire qu’on n’a pas besoin d’avoir un matériel sophistiqué pour faire des vidéos.

Cependant, j’aimerais bien avoir un iPhone, un trépied, quelque chose de simple.

Mais quel bonheur d’avoir un appareil photo ou une caméra qui filme sur ton setup d’ordinateur, peut-être en hauteur, à ta taille, peu importe.

Tu n’as qu’à appuyer sur un bouton pour filmer, cela fonctionne, cela se met à un endroit précis.

Ce que je veux, en fait, avec du matériel, ce n’est pas la qualité.

Je ne suis pas photogénique, je porte des lunettes, je m’en fiche.

Je ne suis pas là pour faire un tutoriel de beauté.

Ce que je trouve important, c’est de gagner du temps en productivité.

J’appuie sur un bouton, je rappuie, le truc s’exporte, se monte, je n’ai qu’à glisser le fichier, c’est fantastique.

J’ai quand même quelqu’un qui m’a dit, « tu n’es pas musulman, donc ça ne marche pas ».

Eh bien, tant pis.

En effet, je n’ai pas de religion.

Je suis baptisé, mais je n’ai pas vraiment eu le choix.

J’étais petit, mes parents ont décidé pour moi.

Pour ma fille, je l’ai laissée libre de toute religion.

Qu’elle soit catholique, juive, musulmane, hindoue, peu importe.

Elle est libre de faire ce qu’elle veut.

Il faut gagner du temps sur la productivité

Gagner du temps sur la productivité, je trouve cela important.

Et il est vrai que Zapier, quand il ne fonctionne pas correctement, cela nuit à ma productivité.

Au-delà de la productivité, cela me pèse mentalement.

Est-ce que le truc est bien passé? Cela me dérange vraiment.

Et je n’ai pas envie de payer un prestataire pour résoudre ce problème, je ne le ferai pas parce que je ne trouve pas cela pertinent.

J’ai essayé beaucoup de choses, ça n’a pas marché.

Je n’ai pas envie de payer pour quelque chose d’inutile, à moins que quelqu’un veuille le faire gratuitement.

Je ne mendie pas, mais c’est parce que ce sont des sujets tellement délicats que je n’aimerais pas gaspiller de l’argent pour ça.

Apparemment, cela me retarde pour avancer sur d’autres choses.

Mais chacun a ses incohérences, n’est-ce pas ? Quoi qu’il en soit, merci à vous.

Une fois de plus, je partage mes pensées.

Je vous embrasse et je n’enfile pas de casque plus tard.