Notoriété public : Nécessaire Pour Un Entrepreneur ?

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Parlons de ma notorité

Sans notoriété, pas de crédibilité ?

Bonjour à tous, aujourd’hui je vais vous parler d’un échec que je trouve intéressant pour l’apprentissage et la connaissance.

Il s’agit d’un choix personnel que j’ai fait il y a 10 ans et qui aujourd’hui me coûte de l’argent et un projet.

Je vous explique très rapidement.

On m’a contacté, peu importe comment ça s’est fait, pour un projet de NFT très intéressant avec énormément de valeur.

Il y avait le chef des opérations de Fun Box dedans, c’était un projet centré sur l’e-sport.

C’est un projet dont beaucoup de gens vont parler plus tard. Je ne nommerai pas le projet pour l’instant,.

Mais je vous informerai sur ce canal parce que je trouve le projet excellent et qu’on m’a contacté pour y participer.

J’ai donné quelques idées, il y a eu des échanges très intéressants, une très bonne équipe, incroyable d’ailleurs.

Rien que le Head Officer, c’est déjà un gage de notoriété.

Je n’en parlerai pas plus du projet pour le moment, mais je vous donne le contexte.

Un echec a cause d’une notoriété inexistante ?

Alors, pourquoi est-ce un échec ? Qu’est-ce qui s’est passé ?

J’ai un fonctionnement particulier, je ne vais pas m’étendre dessus aujourd’hui, mais je sais que je m’entends bien avec les gens.

Je peux leur donner de bonnes idées, leur soumettre des choses intéressantes, et généralement, ça se passe bien.

Le problème, c’est que nous avons fini par discuter et échanger à propos de divers sujets.

À force de parler, la personne s’est rendue compte que je n’avais pas de background visible lorsqu’elle me cherchait sur Google, il n’y avait pas grand-chose.

Du coup, elle a commencé à douter de mes références.

Elle a demandé dans quels projets je m’étais impliqué, car mes idées, peu importe qui je suis, peuvent être pertinentes ou non.

C’est pour cela que je mise beaucoup là-dessus.

Le souci, c’est que je ne m’affiche pas et que je fais très attention.

Je n’ai pas un LinkedIn parfaitement rempli, par exemple.

La personne m’a dit qu’en gros, j’avais deux choix :

Soit je mets les choses au clair, car lorsque le projet se lancera, il faudra que mon image soit parfaite.

Soit cela ne marchera pas.

J’essaie de simplifier, mais le sujet de l’image et de la notoriété est quelque chose que je n’aime pas vraiment.

Il y a beaucoup d’impacts a avoir une notorité

J’ai discuté avec ma femme, car il y a des impacts énormes à cela.

Il s’agit de communautés internationales, si le projet décolle et je suis convaincu qu’il décollera.

Mais il faut faire attention, si cela se termine mal, cela peut être préjudiciable.

Il faut donc vraiment faire des choix en connaissance de cause, et on se grille des opportunités.

Donc j’ai réfléchi avec ma femme, et après réflexion, on a reparlé avec le mec.

Il m’a dit :

« Écoute, franchement je suis désolé, mais tu peux nous donner des idées en gros, mais tu ne peux pas être Advisor, car on doit avoir une notoriété publique et tout, tu vois. »

J’ai toujours fait ce choix d’être discret, mais dès lors qu’on rentre dans des gros projets un peu corporate, cela peut poser problème, car on est peu visible.

Je pense que si je me suis fait refouler pour ça et que j’en suis là, c’est peut-être que je ne devais pas le faire.

J’avais choisi de ne pas m’afficher et donc ne pas construire de notoriété

Ma philosophie là-dessus, ce n’est même pas une philosophie, c’est quelque chose de très bon sens.

J’ai choisi de ne pas m’afficher sur tout ce que j’ai fait. On ne m’a pas demandé pourquoi j’avais choisi cela.

On m’a tout de suite mis en mode « il faut que tu t’affiches, ce n’est pas normal ».

Plutôt que de me poser naturellement les questions sur les raisons de mon choix, on m’a mis la pression.

Dans le cas des relations humaines et de bon sens avec des partenaires.

On aurait pu me demander pourquoi je ne m’affiche pas depuis 10 ans et chercher à comprendre.

Peut-être qu’on aurait pu aider à la communication, mais les mecs n’ont pas eu envie de se prendre la tête, et je comprends aussi.

Ça ne leur a pas dérangé, ce n’est pas grave, c’est le jeu.

Cela me fait réfléchir, car quand je fais de la crypto ou des projets, je me dis : « Est-ce que je ne m’affiche pas ? »

J’ai jamais eu envie de m’afficher, je suis toujours resté discret, je suis toujours le mec de l’ombre.

J’aime négocier la notoriété, c’est-à-dire que j’aime bien dire :

« Moi, je n’apparais pas, tu dis que c’est toi qui l’as fait, mais moi je suis ton conseiller en gros derrière, et toute la notoriété, tout l’ego, c’est toi qui te le prends. »

Je suis un mercenaire, je n’ai pas besoin de notoriété

Les gens pensent que tu es brillant.

C’est ce que tu veux. Mais cela a un coût supplémentaire.

Je le redis, je suis un mercenaire : je prends de l’argent pour des projets qui me plaisent et où l’on ne me casse pas les pieds.

Je ne suis pas là pour aller chercher cent mille followers ou faire le buzz pour je ne sais quoi.

Si le projet me plaît, je négocie comme ça et ça se passe bien.

C’est la première fois que mon évolution au niveau des sphères sociales et des réseaux sociaux est bloquée.

Parce que je n’ai pas une identité numérique parfaite, voire peut-être même que mon site Web2Fou pourrait nuire à cela.

Donc, c’est à prendre ou à laisser. Je comprends, mais cela signifie quoi ?

Aujourd’hui, il y a des choix de base dans le business.

Ce n’est pas la première fois que je vois des situations comme celle-ci.

Il y a des clients qui n’ont pas voulu travailler avec moi par le passé parce que je n’avais même pas de site web.

Le seul site web réel que j’ai, c’est Web2fou, et il y a encore des choses à améliorer.

Je n’ai pas de site web corporate qui parle de moi, je n’ai pas de personal branding avec mes réalisations, et je m’en fiche.

Quel avenir sans notoriété ?

Cela va à l’encontre de certaines valeurs, et normalement, je ne vais pas forcer quand ça va à l’encontre de ces valeurs.

J’aurais pu avancer tous les arguments, mais ils ne posent pas les bonnes questions.

C’est directement basé sur des a priori, plutôt que de chercher à comprendre pourquoi et s’ils peuvent aider ou non.

Il n’y a pas d’intelligence dans les questions, cela m’a un peu déçu, mais ce n’est pas très grave.

Par contre, cela me fait poser d’autres questions : quelle est l’évolution de cela ?

Est-ce que j’ai envie d’aller dans des projets ultra sérieux ? Franchement, au départ je voulais, mais pour cette raison, je me dis peut-être pas.

En fait, quand je dis ultra sérieux, je parle de projets qui peuvent lever des centaines de millions ou des milliards, pas de projets sérieux en mode « on va faire un truc sérieux qui va nous faire lever 3-4 millions ».

Ça, c’est bon, c’est acceptable.

Mais je me pose véritablement cette question, car d’un point de vue personnel, j’adore ces défis.

Ce n’est pas la première fois que je fais face à ce genre de cas où l’on doit choisir entre s’afficher ou rester dans l’ombre.

Faut-il une notoriété ?

Cela arrive régulièrement dans la vie entrepreneuriale : faut-il prendre une notoriété sur un sujet ?

Le choix de rester dans l’ombre est un dilemme.

Je suis prêt à expliquer dix fois les raisons pour lesquelles je préfère rester discret, mais me voir refuser des projets à cause de cela est frustrant.

C’est un peu comme être marié avec quelqu’un qui n’accepte pas qui tu es.

Pour moi, ça ne fonctionne pas.

Soit on accepte et cherche à comprendre, soit on passe son chemin.

Pour faire simple, si tu es là, c’est parce que tu as envie de m’écouter ; sinon, tu t’en vas et il n’y a pas de sujet.

C’est logique.

Ce n’est pas noir ou blanc, mais c’est simple et fluide.

Dès lors que cela devient compliqué, je m’interroge sur les implications dans les relations professionnelles et personnelles.

Imaginez, demain je décide de me conformer. À quoi vont-ils me faire me conformer ensuite ?

C’est comme dire :

« Chérie, je n’aime pas trop quand tu ris comme ça, peux-tu changer ton rire ? »

ou

« Tu pourrais t’habiller mieux, tu pourrais mettre ceci ou cela. »

En gros, soit on accepte comme je suis, ou on s’en va. Donc, ils m’ont dit qu’ils n’acceptaient pas ma façon d’être et m’ont demandé de partir.

Pas de problème, c’est ainsi.

Je ne peux pas me permettre de rester sans notorié ou image public

Du coup, je pense que si je ne travaille pas là-dessus, je serais bloqué dans des projets vraiment de haut niveau.

Ce qui est normal.

Demain, imaginez avec des politiciens, je ne peux pas me permettre de ne pas avoir de site web, c’est logique.

Il n’y a rien de nouveau ni de compliqué, c’est normal.

Mais en même temps, ce sont les raisons pour lesquelles je le fais aussi, pour ne pas graviter dans ces cercles.

Mais en même temps, c’est aussi pour développer des projets.

Et je pense qu’en fait, la réalisation que je me suis faite, c’est que la crypto doit franchir un palier.

Maintenant, c’est déjà presque trop tard pour grimper dans ces sphères, car ces gens-là étaient à ma place il y a peut-être deux ans.

Et en vérité, c’est cela que je ne trouve pas correct, ce n’est même pas une question de justice, mais plutôt de correction.

Parce que ce n’est pas correct, en fait.

Tout simplement, les règles changent maintenant, il y a du changement de jeu, il faut être ultra transparent, et cela met des bâtons dans les roues là où ça ne devrait pas.

Donc, il y a une autorégulation qui se fait dans le monde, par exemple des cryptos, et si je ne dois pas monter dans ces projets, si je ne suis pas dimensionné pour, c’est aussi pour ça que je n’ai jamais été dans le business normal.

Il n’y a pas de raison que j’aille dans ce domaine, mais du coup, la deuxième remise en question que je me fais, c’est donc : qu’est-ce que je veux ?

Un projet crypto qui me corresponds ?

En fait, je me dis qu’il faut que je trouve mon projet dans la crypto, un projet qui n’existe peut-être pas encore, mais qui correspond à ce que je veux dans les NFT, etc.

Et le meilleur projet qui me correspond aujourd’hui, ça reste clairement le Play2Earn.

C’est vraiment le seul projet qui me correspond.

Alors, je suis dans un gros projet actuellement, dont je vous parlerai dans les semaines à venir, un projet sérieux dans lequel je me pose la question de m’afficher en tant qu’Advisor.

Je suis même « dans l’équipe de pilotage du projet ».

Apres, je vais voir si j’en parlerai et comment je le ferai.

Je pense que oui, en tout cas je vous en parlerai.

Est-ce que j’en ferai des vidéos ?

On verra quelle position je prends.

playtoearn

Pourquoi ?

Parce qu’en fait, je m’en fiche de m’afficher, si dans les grands projets on m’empêche d’y accéder parce que je ne m’affiche pas.

Rien à faire de m’afficher, car dans tous les cas, c’est un échec pour monter dans des projets comme ça.

Soit je suis l’homme de l’ombre, mais même en tant qu’homme de l’ombre, sur des projets sérieux, ça va être compliqué.

Etre un homme de l’ombre sur des projets sérieux : compliqué

C’est un peu comme être un homme de l’ombre politique.

Il y a toujours des compromis à faire, c’est un peu l’histoire de la vie.

Du coup, à un moment donné, je me dis autant partager des projets qui me plaisent, expliquer pourquoi je le fais, et je pense que ça a du sens, véritablement, plutôt que d’essayer de me cacher et d’éviter d’avoir une notoriété.

J’ai quand même participé à des projets qui ont généré beaucoup d’argent et qui ont très bien marché, dont je ne vous ai pas parlé pour les mêmes raisons.

Aujourd’hui, je me dis en fait, qu’importe, peut-être que je peux en parler, parce qu’en réalité je n’en parlais pas au cas où d’autres projets comme ça arriveraient.

Je me suis fait un noeud au cerveau et je me suis dit que j’étais complètement stupide.

À quel moment pensais-je que la façon dont je me cachais habituellement me permettrait d’accéder à des projets aussi intéressants ?

En réfléchissant, je me dis que c’est avec les compromis.

Donc, soit je m’adapte et j’accepte d’avoir une notoriété, parce qu’en vérité, si j’avais créé une notoriété et fait les choix d’afficher ce que je pensais être les bons choix, eh bien, je serais rentré dans ce projet.

Mais cela ne m’aurait pas correspondu, et je n’aurais peut-être pas participé à d’autres projets non plus.

Donc en fait, c’est acceptable, et je me dis finalement, qu’importe.

Franchement, qu’importe.

Je ne peux pas créer de notoriété via les projets pour lequel je travaille

Donc voilà, je vous parle de cette réflexion. Je pense que je vais un peu vous partager des projets dans lesquels je suis impliqué.

Alors pas tous, parce qu’il y a des projets qui restent quand même un peu secrets, et il y a des choses que je ne peux pas dire.

Mais en tout cas, je suis dans deux projets dont je pense vous parler.

En tout cas, un, c’est certain, dans lequel je suis conseiller et avec lequel j’ai progressé, c’est-à-dire que j’ai suivi l’évolution du jeu depuis le départ, etc.

Comment on a fait tout ça ?

Je n’en ferai pas de tutoriel, je n’en ferai pas de formation, vraiment je ne vais pas jusqu’à expliquer comment créer son projet.

Même s’il faudrait que je le fasse véritablement, aujourd’hui ce n’est pas à l’ordre du jour.

Mais je me dis franchement que je peux vous en parler, qu’importe s’afficher ou ne pas s’afficher.

Alors, c’est sûr, quand on voit des projets qui finissent en bain de sang, il faut comprendre une chose : tous les projets finissent un peu en bain de sang, quoi qu’il arrive.

Maintenant, toutes les entreprises disparaissent aussi.

Quand on signe des statuts, une SARL a une durée de vie limitée, on signe pour une fin.

Quand on vit, on meurt. C’est normal que cela se termine mal, la fin n’est jamais agréable.

Mais tout le monde meurt, en fait.

Le sujet, c’est plutôt de se dire : comment tirer profit au milieu ? Comment tirer profit de la vie pour être heureux ?

Comment tirer profit de l’entreprise pour gagner des bénéfices et accéder à des choses que l’on souhaite ?

En fait, c’est juste ça le sujet.

Notoriété ou non : les marchés te mettent dans la réalité

Et je pense que ce genre de chose, en fait, je me suis fait une idée du Web 3.0 où j’ai vraiment commis une erreur et je terminerai là-dessus.

Cette erreur, c’est ce que je vous dis : on ne change pas qui on est, les marchés ne changent pas, les marchés te mettent toujours en rapport avec qui tu es.

C’est-à-dire qu’ils te confrontent toujours à des choix qui sont souvent les mêmes et, finalement, je fais toujours les mêmes choix.

Donc, je l’accepte.

À partir de ce moment-là, à quel moment ai-je cru que ça pouvait être différent ?

Ce n’est pas seulement ce projet.

Ce n’est pas la première fois.

Par contre, c’est le premier projet très sérieux, extraordinaire, avec des gens incroyables et une hype énorme qu’il va y avoir, ainsi qu’une utilité incroyable.

Je me dis que si ce n’est pas dans ce projet, ce n’est nulle part. Donc, si c’est nulle part, comme je le dis souvent, quand tu ne peux pas jouer dans une cour, tu changes de cour.

Construire une notoriété… mais en continuant ce que je fais

Je vais me mettre dans les domaines que j’estime et finalement, je me dis que le territoire n’est pas mal.

Parce que j’ai des idées de systèmes économiques et autres.

En fait, je ne vais pas me concentrer dessus, mais demain, je ne pourrais pas, par exemple, créer un nouveau DEX, car les gens auraient toujours le même problème.

Donc, ça impliquerait de travailler sur mon image, chose que je déteste, que je n’aime pas, et qui en plus, pourrait fermer d’autres portes.

Je préfère rester comme je suis et faire ce que j’aime faire sans trop me prendre la tête.

Même si c’est dommage, même si on pourrait gagner énormément, même si on peut rencontrer des gens incroyables, ce n’est pas grave.

D’abord, je n’en ai pas besoin pour vivre et ensuite, c’est la vie.

Les opportunités, je ne vais pas les laisser passer pour une absurdité comme ça.

Pour faire simple, voilà. Alors on ne parle pas vraiment de cela, mais un peu quand même.

Donc, je voulais vous partager cet avis.

Donc c’est cela, je vous partagerai, je pense, dans les semaines à venir, le projet dans lequel je suis conseiller principal et presque associé, dirais-je.

On verra. Pour le discours, mais voilà.

On m’avait prévenu au sujet de la notoriété…

Pour le Play2earn, cela vous fera peut-être réfléchir.

Moi, je sais que quand je faisais du business, enfin quand j’étais dans le Web 2.0 en mode vraiment à fond, j’ai eu beaucoup de portes qui ne se sont pas ouvertes.

Je me rappelle d’un client, le Partenaire Européen LPE, ça s’appelait.

Ils avaient embauché une sorte de directeur.

J’avais eu rendez-vous avec le directeur et le mec m’avait dit que des gens comme moi qui se cachent, qui n’ont pas de sites, qui ont des sociétés, c’est très bien.

Je sais que ce sont des gens intelligents, mais sur la durée, vous ne tiendrez pas.

Mais une fois en 2015, ça va durer, vous ne tiendrez pas, moi je veux bien travailler avec vous, mais vous êtes déjà morts en fait.

Le mec d’une condescendance, quel imbécile.

Mais qui va se faire avoir ?

Parce que ce même mec, trois ans plus tard, a coulé.

Bref, donc très mauvais et très mauvais pilote, très mauvais truc.

Le LPE a coulé.

Vous pouvez regarder, le Partenaire Européen.

Je bossais beaucoup avec eux.

C’était un truc de vente d’immobilier, j’étais dans l’immobilier, c’était un gros secteur qu’on développait à l’époque.

Donc, ouais. Et c’est un concurrent direct de PAP.fr.

Et en fait, ça fait sens quand on y pense.

Tu vois, c’est logique, c’est-à-dire, tu vois enfin tu sais, les gens qui attaquent comme ça et qui te balancent des trucs comme ça, ce sont eux qui sont à bout en fait, voilà.

Et finalement, ça, c’est un truc. Alors on avait beaucoup bossé avec eux.

Alors pourquoi je dis qu’on n’a pas bossé en troisième, que je clarifie un truc ?

Sans notoriété, j’etais passé par des intermediaires

C’est que je travaillais.

La femme que j’adore, qui est devenue une amie avec qui on bossait, elle est partie et il y a un mec qui l’a remplacée et du coup le mec a voulu nous couper parce que nous n’avions pas de notoriété ou quoi que ce soit.

Quand on a travaillé avec des gros clients comme Meetic et cetera, on est passé en fait par des intermédiaires parce qu’on avait justement pas d’image.

Et donc en fait, ça a toujours eu un petit impact bloquant sur le business, sauf que je n’ai jamais voulu vendre en fait cette éthique personnelle que j’ai de mon respect de ma vie privée ou de ma volonté de ne pas être célèbre.

Ce que je fais, ce que je répète sans cesse, je ne mettrai jamais 200% pour aller monter à 150 000 abonnés ou 200 000 abonnés, ça ne m’intéresse pas.

Ça ne m’intéresse vraiment pas.

Et j’ai toujours fonctionné comme ça.

Ils me prennent comme je suis ou non

Donc finalement, pourquoi remettrais-je en question ce que j’ai construit et des années de construction, tout ça pour des clients ou un projet ?

Encore une fois, ils me prennent comme je suis ou non.

Ça ne m’a jamais empêché de faire du business, ça ne m’a jamais empêché de créer des projets sérieux.

Et je me dis que demain, sur un projet sérieux, il y a un mec qui te dira qu’il s’en fout.

Est-ce que c’est vrai ? Est-ce que ce n’est pas vrai ? Je ne sais pas, je le redis, c’est de la politique.

C’est sûr que les projets NFT ou Crypto, à partir du moment où il ne faut pas que tu aies de faille à l’image, c’est certain.

C’est de la politique pure.

Mais ça veut aussi dire qu’on va vers là, c’est-à-dire tout ce qui est blockchain et tout, vu que tout est traçable, ça veut aussi dire qu’on doit être irréprochable et donc on va très vite vers le crédit social.

Je ne veux pas trop rentrer là-dedans.

Pour moi, je subis une préférence sociale, avec un truc comme ça.

Si tu as fait une erreur, c’était le mauvais nom sur Google.

On ne te prend pas dans le projet. À méditer.

Qui de Mechachain ?

Mon analyse est la suivante : c’est tout à fait normal.

En gros, tous ceux qui sont entrés comme moi dans le projet de départ vendent, donc il y a des gros dumps.

Les dumps entraînent des paniques, des gens qui sont rentrés plus tard, qui ne veulent pas perdre leur argent, ce qui crée une grosse courbe vers le bas.

Rien d’anormal, tout est normal.

Alors ça veut quand même dire qu’il y a une petite perte de confiance, ce qui n’est pas forcément problématique pour le projet à mon sens, donc c’est plutôt cool.

Par contre, c’est sûr que le listing du token du mécanisme pour lever de l’argent est une des erreurs, je pense, ou en tout cas je ne l’ai pas vu.

Il y aura toujours des explications, ce n’est pas le sujet, mais déjà ne pas l’avoir vu en tant qu’utilisateur lambda, c’est qu’il y a un problème.

Il n’y a pas encore d’utilité au mécanisme.

Donc ils ont trouvé, et j’ai trouvé ça bizarre, d’ailleurs, un teaser pour les lands pour expliquer le mécanisme.

J’ai trouvé ça hyper bizarre puisque hier, je ne sais plus quand, ils en ont fait un pour dire que le mécanisme allait être la denrée rare et tout ça, mais c’est un peu un mois après le token. Je ne sais pas.

Au niveau du storytelling sur un truc comme ça, ce sont des choses qui auraient pu être mieux faites.

Bon, c’est facile d’arriver après la bataille et dire ça.

Toujours aucune utilité au token…

En tout cas, peu importe la stratégie qu’il y avait au départ, je pense qu’ils l’ont bien faite.

Maintenant, il n’y a pas d’utilité aujourd’hui au Token.

Il faut posséder du Meka et pour avoir du Meka, il faut jouer.

Le problème, c’est que tant qu’on ne joue pas, tant qu’il n’y a pas de jeu, tant qu’il n’y a pas d’intérêt particulier à avoir du Token, il n’y a aucune raison d’aller en acheter, à part faire du trading pur dessus.

Aujourd’hui, je n’ai pas vu d’utilité, donc on demande de staker pour avoir de l’APR.

Je ne suis pas allé staker mes Tokens parce que je n’ai pas compris l’utilité d’aller chercher un bon rendement à 40 %, 30 % ou même 20 %.

Je n’ai pas trouvé vraiment d’utilité là-dessus, surtout au prix du Token.

Cela fait sens, mais je ne serai pas impliqué pour cette raison-là, typiquement.

Je pense que j’ai bien fait. Voilà mon analyse.

Après, j’attends de voir, j’ai confiance, mais je ne sais pas ce qu’ils vont faire.

Je ne sais pas s’ils vont trouver une utilité au Token, mais c’est sûr qu’il va falloir trouver une utilité entre maintenant et l’utilisation dans le jeu.

Donc après, faire staker des tokens pour avoir des NFT.

Avoir des passes, d’accord, mais je n’ai toujours pas compris l’utilité du Token.

Donc… pourquoi en racheter ?

Donc, il n’y a pas de raison que j’en achète.

Moi, demain, par exemple, je préfère attendre que ça se casse la figure pour en racheter, pour ravoir du make-up pas cher.

Mécaniquement, je n’ai aucun intérêt à céder à la FOMO et je dis ça pour ceux qui m’écoutent. Ça ne change rien au projet si le prix baisse.

D’un point de vue fondateur, que le token soit à un dollar ou à 10 centimes, ça ne changera rien parce que le jeu n’est pas lancé.

Mais du coup, il faut trouver une utilité.

Je pense qu’il faut donner, pas forcément des accès ou des privilèges aux gens, mais trouver une utilité au Token en attendant.

Le Méchanium est rare, je pense qu’il y a un joli storytelling, j’ai quelques idées, mais je ne suis pas conseiller du projet.

Concernant le Méchanium, je trouve qu’il y a eu un problème de communication.

Autant sur d’autres aspects, tout a été bon, mais sur le Méchanium, franchement, j’ai cherché un peu, je n’ai pas trouvé.

Il y a un teaser qui sort vraiment après un événement, donc peut-être qu’ils ne s’en soucient pas, et probablement tant mieux ou tant pis.

La confiance d’investisseurs sera comblée par d’autres investisseurs plus tard, il n’y a pas de raison de s’inquiéter.

Cependant, je me demande qui va racheter du Mécanium, à part pour trader.

Quelle est l’utilité d’acheter du Mécanium aujourd’hui ?

Il n’y en a pas.