Partenaires Internationaux, Visa, Banques : Déblocage !

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Partenaires Internationaux, Visa, Banques : Ca avance

Partenaires Internationaux et mise au point.

Bonjour les amis, j’espère que tout le monde va bien.

Je commence à respirer, ça fait plaisir. J’ai plein d’autres bonnes nouvelles qui sont arrivées aujourd’hui concernant mon audit de Dubaï et les problèmes que je vous ai épargnés.

Ça se résout plutôt bien, les mecs commencent à répondre.

Alors, qu’ai-je fait pour qu’ils répondent?

C’est bête, mais je les ai suivis et relancés trente fois. Je les ai harcelés.

La semaine dernière, j’ai coupé les réseaux sociaux et j’ai appelé, appelé, appelé, envoyé des e-mails, appelé, appelé, envoyé des messages, appelé, appelé.

Je les ai harcelés. Je m’y suis mis sérieusement, ça m’a pris plusieurs jours.

Pour tous mes sujets, je les ai harcelés.

Résultat, quand j’ai réussi à les avoir, j’ai pris 15-20 minutes avec chacun pour leur expliquer la situation difficile dans laquelle je me trouvais.

J’ai expliqué, expliqué, expliqué, en mode machine, en mode masse.

Impossible d’automatiser des relances  personnelles

Sauf que là, on ne peut pas automatiser ça.

Donc, j’ai pris du temps. Ils ont tous écouté et je leur ai tous dit le gros problème, comme quoi personne ne me répondait ou me compliquait la vie.

À chaque fois, j’ai dit au partenaire que lui, ça allait, mais j’ai utilisé les autres problèmes pour expliquer à chaque partenaire que les autres étaient moins bien.

Si vous voyez l’idée. Les autres me compliquaient la vie.

J’ai eu des excuses presque partout, sauf de ma banque pro à Dubaï.

C’est compliqué, puis je crois que culturellement, les Indiens ont un peu de mal à s’excuser.

Ce n’est pas grave, je ne suis pas là pour les excuses.

On est occidentaux, donc on attend des excuses, mais je veux dire, culturellement, en face, ce n’est pas ça.

Attention, je ne dis pas que c’est jamais, mais ils ne se sont jamais excusés auprès de moi.

Tous les partenaires internationaux et la banque me répondent

Donc, résultat, qu’est-ce qui se passe ?

Eh bien, maintenant tout le monde me répond.

Finalement, on va arriver sur quelque chose d’assez simple : il faut expliquer les choses qui ne vont pas.

Il faut quand même l’expliquer de manière stratégique, pas simplement dire que c’est la galère.

Je les ai juste expliqué clairement en disant que j’étais au bout.

Que je n’en pouvais plus.

Et j’ai pris le temps au téléphone pour leur expliquer tous mes problèmes.

Les mecs ont tous été compréhensifs. Ils ont dit qu’ils ne savaient pas comment je faisais.

Mais oui, c’est compliqué.

La bonne nouvelle, c’est que les mecs avancent.

Je reçois des emails maintenant, ça avance.

Alors, maintenant c’est l’inverse. Tout le monde me répond et il faut traiter.

Ce n’est pas grave.

22 emails, 132 WhatsApp : je gere beaucoup de choses

Vraiment, je ne sais pas si vous savez.

Mais il faut comprendre à quel point j’ai énormément de choses à gérer.

Par exemple, ce matin j’avais 22 mails à traiter. J’ai passé 2h30, voire 3h entre appels et autres.

Je précise cela car sur WhatsApp je dis que je vais répondre. Mais en fait j’ai du mal, car il y a des priorités.

Je n’ai pas le temps de traiter WhatsApp et vos messages. J’ai commencé à y répondre.

J’ai répondu à quelques personnes, mais il y en a depuis longtemps. Je sais que j’en ai qui datent du premier mars.

Hésitez pas à me suivre pour remonter dans les priorités sur WhatsApp.

Je vais vous répondre, je n’ai pas pu ces dernières quarante-huit heures.

Donc, priorité oblige, mais je voulais vous dire que c’est plutôt cool, les choses s’arrangent.

Pareil pour mon visa, ça je vous l’ai dit hier.

Il y a plein de choses qui s’arrangent, comptablement et administrativement.

Et surtout, au-delà du fait que ça s’arrange, on m’apporte des solutions, et ça c’est un plaisir.

Mes partenaires internationaux redeviennent compétents

Donc, surtout ça.

Les mecs redeviennent compétents depuis la semaine dernière, j’ai trois personnes qui sont rentrées dans ma vie qui vraiment m’aident et me trouvent des solutions, donc ça c’est plutôt chouette.

Ce qui est très étrange, et je vous le dis d’un point de vue très personnel, très humain, très individuel, c’est que les gens qui m’aident le plus, ce sont les nouvelles personnes.

Ce ne sont pas des amis, ce ne sont pas des partenaires internationaux avec qui je travaille depuis des années, ce ne sont pas mes associés. Alors, forcément, ils ne peuvent rien faire, on est bien d’accord.

Moi, j’ai déjà des associés et qu’est-ce que tu veux qu’ils fassent, tu vois ?

Ce n’est pas ce que je veux dire, je ne dis pas qu’ils ne m’aident pas et que ce sont des enfoirés.

Je dis simplement qu’ils ne m’aident pas et je précise qu’il n’y ait pas d’amalgame.

À l’inverse, comment ça se fait que j’ai des nouvelles personnes qui rentrent dans ma vie et qui, eux, peuvent m’aider ?

Changement personnel vers une vie internationale

Je pense que je suis en train d’opérer un changement dans ma vie de businessman international qui ne peut plus rester sur du business local, c’est-à-dire mes associés français, mes boîtes françaises.

Je suis en train de me dire, vraiment, je me pose la question : tous les partenaires internationaux et français et tout, c’est trop loin. Ils ne pourront jamais m’aider en fait.

C’est-à-dire que demain, mes problèmes, ils ne les auront pas en France, ils n’ont pas les contacts, ils n’ont pas les ressources.

Et je me dis que finalement, il faut opérer des changements.

Je ne pense pas que ce soit le moment, mais je suis en train de me dire qu’en fait, j’attends peut-être et il y a un décalage.

Ça me rappelle quand j’ai commencé à être entrepreneur et que, naturellement, il y a des amis qui ne comprennent pas et avec qui on change de point de vue.

Tous ceux qui se sont lancés le savent très bien.

On perds des amis et partenaires locaux au profit de partenaires internationales

On perd des amis, des relations. Je me rappelle d’un mec qui me traitait de mytho, alors que c’était un ami que je connaissais depuis des années, avec qui j’avais monté un groupe de musique.

Mais du jour au lendemain, il est venu chez moi, m’a insulté en me disant que j’étais un gros mytho.

Le mec ne t’avait pas complètement compris, mais peu importe, c’est pour ça que je ne l’ai plus jamais revu depuis.

Donc, il y a forcément des tris qui se font en fonction de tes évolutions de vie.

Et c’est bête, mais ça paraît évident, je le sais, j’ai juste pas pensé à ça. Je ne me suis pas dit que, quand tu t’expatries, le travail numéro un, ce n’est pas de te faire des amis, c’est de trouver des partenaires internationaux.

C’est bête quand tu le dis.

Alors, j’en ai : j’ai des avocats fiscalistes internationaux, j’ai des comptables internationaux, j’en connais, mais en fait, il faut que tu gères tout ça et que tu sois le seul à pouvoir faire face à ça.

Il te faut une personne qui t’aide.

Il me faut un manager / partenaire international

En fait, il faudrait un associé international qui comprenne ta situation, avec qui tu travailles sur l’ensemble de tes entreprises, et qui lui-même ne soit pas bloqué dans un pays, mais soit comme toi.

Et finalement, dans un cas comme ça, bizarrement, ça marche.

Et même en le disant là, en le matérialisant verbalement, je me rends compte que parmi les gens que je connais ou avec qui je suis associé, c’est un peu les dispositions qu’ils ont.

Donc en fait, je me dis qu’il y a un moment donné, il y a une phase dans laquelle je suis.

Je ne sais pas, ça correspond à beaucoup de choses.

Je vais en Thaïlande, ça va être la fin de mon visa à Dubaï.

Il y a un changement en train de s’opérer et je suis en train de me dire :

Comment trois personnes que je rencontre en deux semaines peuvent autant avoir un impact sur ma vie que des gens qui sont là depuis 10 ans avec qui je me suis développé ?

Comment des personnes rencontrés y a quelques jours peuvent changer ma vie ?

Ça, c’est une vraie question et, franchement, ce n’est même pas une question philosophique, c’est une vraie question de réflexion : comment c’est possible ?

Comment des gens que je ne connaissais pas il y a un mois, quand j’étais en Thaïlande, aujourd’hui ont des solutions, les clés pour mes problèmes, pour ma vie, pour mon développement, ont tout ce qu’il faut alors que tout ce que j’ai construit depuis 10 ans avec des gens, personne n’a ces solutions ?

Vraiment, je n’explique pas.

Alors, je veux dire, je ne demande pas une explication à votre métier normal parce que ce sont des gens d’explication rationnelle, c’est-à-dire qu’il y a des gens qui ont des compétences, voilà, etc.

Mais quand même, trois personnes qui entrent dans ta vie et ont un impact colossal, c’est inexplicable.

Mon meilleur partenaire international : mon avocat fiscaliste

J’en ai une personne qui a eu un impact durant ces huit dernières années, c’est mon avocat fiscaliste.

Je pense que c’est le partenaire de ma vie numéro un, mon avocat fiscaliste qui a aussi eu un impact dans la vie d’autres personnes que je fréquente et qui écoutent ce canal, qui se reconnaîtront.

C’est clairement une personne qui m’accompagne dans ma vie.

Quand j’étais en difficulté, il a pu m’aider à un certain endroit.

À l’époque, je pars en Thaïlande, il a pu m’aider.

C’est un partenaire de vie et évidemment, il commence à être un peu vieux et je commence à me dire que rien n’est immuable.

Je sais qu’il va falloir que je trouve un autre avocat fiscaliste.

J’en connais une qui est en Suisse, qui a mon âge, et avec qui ça se passe bien.

Elle pourrait être ma partenaire pour les 30 prochaines années de vie d’expatrié et de vie professionnelle.

Les choses bougent.

Il faut constammer renouveler son réseau et trouver des partenaires internationaux

Donc, il faut continuellement être en mouvement et plus j’avance, plus je trouve des partenaires internationaux, plus je me rends compte qu’il faut des personnes encore au-dessus, des gens qui comprennent tous les processus et qui ont le réseau de ces gens-là.

Alors tout ce que je dis, je l’ai déjà dit, je ne découvre pas la vie, mais là je me rends compte que la vie me pousse à faire des changements de contacts et de réseaux.

Je vais vous donner un exemple tout bête, mon banquier français avec qui je suis depuis une dizaine d’années, change et évolue, ça se remplace.

Ma comptable part à la retraite, elle a revendu ses parts dans les prochains mois, donc c’est le dernier des derniers bilans qu’on fait avec.

Mon agent à Dubaï a changé de métier.

En fait, d’un coup, tout change en même temps.

Donc, il y a une page qui est en train de se tourner et de changer, et ça me fait plaisir de parler de ça parce que ça veut dire qu’on parle d’avancée et de développement.

Ça signifie que tout commence à tourner dans un autre sens et c’est plutôt chouette.

Une nouvelle page se tourne

Donc, vous avez vécu avec moi un peu les galères et les complications, mais je trouve ça important ce que je suis en train de vous dire, parce que je m’en rends compte.

Ce n’est pas quelque chose que j’ai fait traîner, c’est assez naturel.

Mais c’est inexplicable de savoir qu’il y a trois personnes qui entrent dans ta vie qui ont toutes les solutions, qui ont les réseaux.

Et qui en plus sont cool, ne demandent pas grand chose, ou alors c’est naturel, c’est fluide, c’est assez rare.

C’est simple, ce n’est pas compliqué.

Ils disent :

« Tiens, le contact lui va t’aider pour ça, appelle-le, attends, je l’appelle tout de suite pour toi, regarde. »

Et après on voit comment on s’arrange.

J’aime bien renouer un peu avec le business des gens de bon sens.

Une impression d’etre enfermé

J’avais l’impression de m’être enfermé avec des gens qui cassaient les pieds, c’est-à-dire des personnes qui ont des idées, mais qui n’avancent pas parce qu’il faut tout organiser.

Et c’est toi qui dois être dans l’opérationnel, avec des gens qui attendent après toi alors qu’en fait ils n’ont pas demandé qu’ils s’avancent pour toi, qu’ils créent des problèmes.

Ce n’est pas seulement une question de partenaires internationaux ou autres, bien sûr un peu,.

Mais je veux dire, en fait la vérité c’est que par exemple, si vous allez en France et cherchez un comptable autour de chez vous, vous habitez à Nancy, trouver un comptable à Bordeaux ne paraît pas évident.

Vous allez être content ou pas content de vos comptables à Nancy?

Vous avez changé pour un comptable à Nancy ou alors dans la région.

Jusqu’au jour où vous allez rencontrer quelqu’un qui vous dit « mon comptable, il est là, de toute façon, je travaille sur le web, donc prends son comptable », et ainsi de suite.

Une limite en France aux niveaux des partenaires

Finalement, le réseau que vous allez avoir en France, pour un comptable, vous allez essuyer trois ou quatre échecs, deux ou trois personnes avant de trouver le bon.

Mais l’audience du comptable est limitée en France, disons qu’il y a peut-être 10 000 comptables en France, c’est limité.

Dès lors qu’on monte à l’international, on passe quand même tous les niveaux, c’est-à-dire trouver un avocat fiscaliste international, qui existe dans tous les pays. Il y en a combien dans le monde?

Donc forcément, on a beaucoup plus de chances actuelles de tomber sur des gens qui ne vont pas convenir, que sur des gens qui vont être comme mon avocat fiscaliste.

Pour avoir celui qui me suit dans ma vie, j’en ai essuyé dix avant et j’en ai bavé pendant des années, je vous le garantis.

Donc, pour avoir mon avocate actuelle, qui pour moi est une perle incroyable, bien qu’ils soient un peu chers, elle est partenaire de ma réussite et de ma vie, clairement.

Comment trouver des partenaires internationaux ?

Comme mon banquier, finalement, tu te poses quand même ces questions : comment trouver des gens à l’international ?

Par exemple, aujourd’hui, j’ai besoin de personnes qui trouvent mes structures, peu importe de quoi j’ai besoin, mais forcément, j’ai le monde à ma portée.

Cependant, je sais que si je choisis certains partenaire internationaux, je vais être embêté, et il y a une majorité de chances que cela arrive.

Donc, je sais que mes critères de sélection que j’avais en France m’obligeaient à avoir un futur de sélection pertinent.

Je m’explique : en France, j’ai toujours été exigeant, c’est-à-dire que je posais dix mille questions, je regardais comment ils réagissaient, je challengais trois ou quatre partenaires internationaux, mais à l’époque, j’avais un peu plus de temps qu’aujourd’hui.

À l’époque, je n’avais pas une maison, une famille, une entreprise à gérer, donc j’avais le temps.

Je n’avais pas quatre entreprises à l’international, je ne faisais pas de la crypto, je ne proposais pas des services, il y a plein de choses qui se sont rajoutées et qui ont comblé le temps.

À l’époque, j’avais le luxe de pouvoir challenger et tester plusieurs partenaires internationaux, de les mettre en concurrence, et c’était plutôt cool.

C’est compliqué de nos jours de trouver des gens compétents

Alors qu’aujourd’hui, ce n’est pas possible, parce que je n’ai pas de temps. J

e ne me vois pas prendre quatre partenaires internationaux, c’est impossible.

En plus de ça, je crois que je suis trop vieux, c’est-à-dire que je n’ai plus la patience.

Et si tu ne le fais pas, quelle est la solution ?

C’est de rajouter des filtres et des critères.

En fait, c’est un filtre que je n’ai pas fait à l’international, c’est que je suis resté dans mes processus français et je n’ai pas rajouté des filtres.

Je n’ai pas re-challengé des critères internationaux qui sont forcément différents puisqu’il y a des nouvelles barrières culturelles, des nouvelles barrières temporelles, de fuseaux horaires, d’équipes avec qui il faut travailler.

Par exemple, quand on travaille avec des sociétés à Hong Kong qui elles ont des collaborateurs qui ne sont pas forcément si débrouillards, ça peut poser problème.

Des problemes de mains d’oeuvres a Dubai

Quand on travaille, par exemple, à Dubaï où il y a de l’emploi à bas coût avec des travailleurs indiens et pakistanais, forcément, on rencontre d’autres problèmes.

En vérité, ce sont d’autres critères de filtre que je n’ai jamais re-challengé et je me rends compte, en parlant avec ces trois personnes qui sont rentrées dans ma vie récemment, que c’est tellement évident.

Si tu continues sur tes processus et tes habitudes français, nationaux, que tu connais et dans lesquels tu as été éduqué pendant des années, des dizaines d’années, tu ne te donnes aucune chance de trouver des personnes qui vont t’aider.

Quand l’un d’eux m’a dit ça, je me suis dit : « mais oui, en fait ».

Les entreprises en France ont du mal a se lancer sur la scene internationale

La dimension internationale est souvent sous-estimée.

Je pense à tous ceux qui ont des entreprises en France et qui veulent aller à l’international.

Je me rends compte à quel point il faut que leur business fonctionne bien, parce qu’ils sont en construction.

Plus je parle avec des entrepreneurs, idéalement français ou francophones, qui ont vécu des difficultés avec des entreprises à l’international, plus je réalise que ces personnes sont rares.

À Dubaï, par exemple, on ne les rencontre pas forcément.

On y croise plutôt des jeunes de 25 ans qui travaillent dans la crypto ou d’autres domaines.

Ou sont les entrepreneurs expérimentés ? Comment en faire des partenaires internationaux ?

Ce ne sont pas des personnes qui ont construit pendant 10 ans des business, qui ont subi l’international, qui ont une famille, etc.

Alors, il y en a toujours, je ne dis pas que cela n’existe pas, mais c’est rare.

Trouver des gens qui peuvent comprendre tes situations et qui sont passés par les mêmes critères que toi est quasiment introuvable.

Aujourd’hui, je vois les gens autour de moi, sur YouTube par exemple, et je ne trouve personne avec mon profil.

Des entrepreneurs avec 10 ans d’expérience, qui ont de l’argent, qui sont installés dans des pays, qui ont des salariés, qui travaillent en famille, qui s’expatrient, je n’en ai pas trouvé.

Il y en a toujours un ou deux, mais ont-ils 10 ans d’expérience ou en ont-ils seulement trois ?

Parce qu’on ne vit pas les mêmes obstacles, il y a des obstacles temporels.

Le temps est irremplaçable.

Ce que je vis aujourd’hui, ce que j’ai vécu, tu ne peux pas le vivre dans ta première expérience.

Tu ne peux pas le vivre si tu n’as pas eu plusieurs entreprises, tu ne peux pas le vivre non plus.

Plusieurs facteurs sont importants

Donc il y a plein de facteurs, ça ne veut pas dire qu’à 20 ans on ne peut pas réussir.

Mais à vingt ans, on ne peut pas avoir dix entreprises, ni s’être expatrié trois fois de manière autonome, sans les contacts de la famille, ce n’est pas possible.

Donc il y a des choses comme ça, c’est très compliqué.

Et pourquoi je dis ça ?

Parce que pour trouver ces personnes-là, c’est difficile, très difficile.

Il doit y avoir des Suédois, par exemple, mais je ne parle pas suédois.

En anglais, on peut se rencontrer, j’en ai rencontré quelques-uns, mais le langage n’est pas le même.

Je ne suis pas bilingue natif, donc parfois je comprends seulement 80% de ce qu’ils disent.

Et peut-être que les 20% restants sont très importants.

Cela ne m’empêche pas d’avoir des partenaires internationaux anglophones, de parler en anglais, mais pour des sujets de vie sérieux, il y a des barrières linguistiques et culturelles.

Il faut filtrer des le depart vos partenaires internationaux

C’est très intéressant parce que ça me confronte à la réalité du filtrage, un filtrage que j’avais fait au départ.

En fait, il faut des gens qui trouvent des contacts.

Parce que moi, j’arrive à trouver des contacts. Rt à avoir du réseau.

Mais je ne peux plus me permettre de rester dans un réseau local ou national.

Je suis obligé de m’orienter vers un réseau international.

Et forcément, les gens qui sont dans un réseau national, comme mes associés en France, restent dans un réseau national autour d’eux.

Et donc les compétences peuvent être limitées.

Par exemple, si demain j’appelle un avocat fiscaliste français comparé à mon avocat actuel, il y a une différence de compétences.

Évidemment, sur 10000 avocats, il y en aura deux ou trois très compétents.

Mais il faut les trouver parmi les dix-mille.

Et sans les appeler un par un, c’est impossible.

Donc, à part chercher des recommandations et avoir un réseau.

Il n’y a pas d’autre solution.

Je voulais partager cela avec vous.

C’est quelque chose sur lequel je ne ferai jamais de vidéo.

Parce que cela ne parlera à personne.

Et c’est très spécifique, très niché comme problématique.

Je voulais vous le partager parce que, d’une part, je suis content que les choses s’arrangent, et voilà.

Je retourne bientot en Thailande avec de nouveaux partenaires internationaux

Donc je devrais retourner en Thaïlande, pour information, pour ceux qui suivent, fin mai.

Qu’est-ce que je raconte, début mai ? Si tout va bien.

Il y a quand même des fêtes sérieuses au milieu.

Mais en tout cas les choses avancent, c’est en cours, c’est bon.

Au pire, dans une ou deux semaines, normalement c’est bon, et tous les processus sont en place.

Ensuite, j’aurai le temps de m’occuper du reste.

Donc c’est cool, ça va bien se passer. Je suis bien accompagné. Et franchement, je suis assez content.

Pour mes business, je pense que d’ici ce week-end, probablement cette semaine, je vais pouvoir reprendre des formations.

Me consacrer à mon développement.

Ce n’est pas grand-chose.

Ca peut se résoudre en une ou deux semaines.

Mais après, tout n’est pas résolu. Je n’ai toujours pas de chez moi.

Et il me faut toujours quelque chose pour mes visas.

On retourne sur des problèmes qui étaient déjà très lourds avant, mais qui sont beaucoup moins importants que ces dernières semaines.

Cela ne veut pas dire que je vais gagner du temps, malheureusement.

Je retourne bientot a une vie normale

Le jour où je serai chez moi avec ma fille à la crèche, ma femme qui peut travailler et une vie dans laquelle on commence à avoir une routine, je rêve d’avoir ce que j’ai quitté il y a longtemps : une maison, une vie normale.

C’est très particulier parce que je sais pourquoi je ne le voulais pas.

Je sais pourquoi, même aujourd’hui, cela m’ennuierait. Je vais vous expliquer une réflexion que j’ai eue, qui est intéressante, car elle n’était pas évidente à trouver.

Depuis longtemps, je dis que l’immobilier, c’est pénible, les maisons sont embêtantes.

Il faut s’en occuper. Il y a toujours un problème.

Un chauffe-eau, une fuite d’eau, le plancher qui gonfle, la centrale de gaz où il y a le chauffage, etc.

Bref, il y a toujours quelque chose.

La piscine doit être réparée, le sauna, etc. En fait, je me dis, tu as raison, c’est une perte de temps énorme.

Autant être en location.

Et quand il y a un problème, appeler son propriétaire et lui dire de se débrouiller.

À Dubaï, ça marche comme ça. Et même dans beaucoup de pays, même si en France, c’est un peu différent.

Finalement, est-ce que la vie normal me convient mieux ?

Mais là, particulièrement, je me rends compte d’une chose.

Comparons cette réflexion que j’avais et que je défendais bec et ongles, et que je défends toujours…

Avec le fait d’être dans des Airbnb pendant quatre mois et demi.

Est-ce qu’aujourd’hui je préfère gérer une fuite d’eau, des câbles internet défectueux ou un volet roulant de piscine à changer ?

Plutôt que de batailler et galérer comme ces derniers mois ?

Je pense que la réponse est sans appel.

En fait, c’est comme les muscles.

Plus tu fais face à des difficultés…

Plus tu te rends compte que ce qui te paraissait vraiment pénible à l’époque devient finalement quelque chose de cool. Parce que tu as vraiment subi plus.

Je vais redonner cet exemple que j’ai donné dans un article précédent.

Un enfant tombe et se blesse au genou, il va pleurer.

Toi, à ton âge, quand tu tombes, tu as mal, mais tu ne pleures pas.

Il y a donc quelque chose qui se crée. Un muscle émotionnel.

Un muscle physique.

Des douleurs physiques qui sont de moins en moins lourdes, etc.

Finalement, même ceux qui subissent des peines de cœur… La première est ultra violente.

 Mais ensuite ça diminue.

Et plus tu en as, plus tu arrives à les gérer.

Évidemment, certaines sont plus violentes que d’autres.

L’argent n’empeche pas les problemes de vie et les pertes de temps

Et c’est un peu la même chose : avec ce que j’ai vécu, je rêve d’avoir des problèmes de piscine et de chasse d’eau.

Pourquoi ?

Parce qu’à la fin, ce n’est que de l’argent.

Alors qu’aujourd’hui, malgré mon argent, ça ne m’empêche pas d’avoir des problèmes.

C’est ça qui est horrible.

En fait, le fameux adage que personne ne dit chez les multimillionnaires, c’est que tout le monde est égal face aux problèmes.

Parce qu’on dit qu’il y a des problèmes de riches, des problèmes de pauvres, etc., ce qui est faux.

Les riches ont plus de problèmes, attention, je ne dis pas qu’ils sont plus importants.

Je ne mets pas de valeur dans les problèmes, je dis juste que les riches ont plus de problèmes.

Parce qu’il y a plus de choses à gérer, tout simplement.

Puisqu’ils ont plus d’argent, ils possèdent ou ont plus de diversification, etc., donc ils ont forcément plus d’ennuis.

Un homme qui a 10 000 euros sur son compte, dans une banque et qui est salarié, c’est sûr, il a peur.

Ses problèmes sont de payer ses courses et de garder son travail.

Mais en terme d’égalité, ton ami peut avoir un cancer, ton partenaire, peu importe l’argent.

Je prefere avoir des problemes dans ma vie normale que dans ma vie de nomade

Ce que je veux dire, c’est que plus tu fais face à des galères, plus tu te rends compte que les choses simples, même si c’étaient des galères avant, te paraissent toujours plus simples en fait.

Donc aujourd’hui, je me dis peut-être que j’achète une maison, je me pose la question d’acheter une maison en Thaïlande pour m’y installer, même si j’y reste deux ou cinq ans.

Juste pour me dire que c’est cool, c’est ta maison, tu n’as plus de loyer, tu as investi, mais plus de loyer, plus de contraintes.

Si tu veux payer un truc, tu le fais sans réfléchir.

Plutôt que de préférer avoir des problèmes de chasse d’eau dans ma maison en Thaïlande qu’au début dans un Airbnb.

Et même ma maison en France où j’avais une piscine, un sauna et tout, je rêve en fait d’avoir des problèmes de volets roulants, de fuites, de reremplir la piscine.

Il y avait un truc qui me saoulait dans la piscine, c’était de mettre les galets de chlore, de faire les circuits fermés, de passer le balai dans la piscine avec ton robot, de t’occuper de ta piscine.

C’était agréable, mais ça me cassait les pieds parce que tu passais vraiment du temps.

En plus, j’avais le système d’eau de la piscine qui était dans mon sous-sol.

Et j’avais la piscine à l’extérieur. Donc fallait que je fasse des allers-retours.

C’est long et ça me saoulait d’avoir ces problèmes à gérer.

Je tire un trait sur les AirBnb

Aujourd’hui, je me dis que je rêverais de changer l’eau de ma piscine en étant assis sur mon canapé le soir plutôt que de changer d’Airbnb dans trois jours parce qu’il n’y a plus de disponibilité et qu’il faut réparer une fuite d’eau.

Ce n’est pas à toi de la réparer, mais tu n’es pas chez toi, donc tu es obligé de subir.

Parce que quand tu es chez toi, tu ne laisses pas une fuite d’eau apparaître, tu la répares, tu t’en occupes.

Dans les Airbnb, il m’est toujours arrivé plein de problèmes.

Pourtant, je filtre les Airbnb, mais je n’ai pas de chance.

On verra avec les prochains, j’ai réservé deux nouveaux Airbnb, on va voir.

J’espère que tout se passera bien pour moi ici à Dubaï, sans aucun problème.

Je reste ici jusqu’à la fin avril ou début mai pour ceux qui aimeraient me rencontrer.

Malheureusement, je n’aurai pas de temps disponible à partir de la semaine prochaine.

Toutefois, je sais qu’il y a des personnes ici à Dubaï.

Et j’aimerais les rencontrer autour d’un repas ou d’une activité. Si cela vous intéresse, n’hésitez pas à me contacter.