Perte Crypto : Bien fait pour ta gueule !
Perte Crypto de 400 000 euros.
Bonjour les amis, vous êtes complètement détarés, non ?
J’ai reçu je ne sais combien de messages du genre
« ouais, bien fait pour ta gueule », « de ne plus avoir d’argent », « d’avoir tout perdu » et autres.
Oh, les gars, c’était une vanne ! Vous êtes fous ou quoi ? Je ne comprends pas.
D’abord, se réjouir du malheur des gens, ce n’est pas sympa, ce n’est pas du tout dans mon esprit.
Je suis choqué de ce que j’ai lu aujourd’hui.
Le principe, c’était juste que c’était ma boîte en Thaïlande que j’étais allé créer, avec quatre salariés locaux et tout, et c’était surtout le décor qui était complètement « what the fuck ».
J’ai dû enfiler un costume dans un cagibi avec des rats et tout, c’était n’importe quoi.
C’était pour montrer que c’était un peu cheap, quoi, c’était la plaisanterie du « maintenant que j’ai perdu de l’argent en crypto, on recommence à zéro ».
Mais vous êtes complètement fous !
C’est toujours incroyable et ça me fait toujours rire !
C’est complètement aberrant, ceux qui me disent ça, je ne comprends pas ce qu’ils font sur ce canal, parce que, déjà, vous savez que c’est une plaisanterie et, ensuite, c’est tellement malveillant ce que j’ai reçu.
Parfois, il y a des moments dans l’année où il y a des « haters » qui se réveillent et je ne sais pas, ça n’a pas de chance, mais ça me fait rire.
Je ne comprends pas le délire.
Franchement, se réjouir du malheur des autres, ce n’est pas cool.
Mon Voyage a Bankgog pour régler mes visas
Si cela m’était vraiment arrivé, je l’aurais partagé sincèrement.
Mais il y aurait des imbéciles qui m’auraient attaqué.
Ce n’est pas cool.
Donc, rassurez-vous, je vais très bien, je gagne beaucoup d’argent en cryptomonnaie, mon capital est préservé.
Ne vous inquiétez pas.
Je sais que vous voulez des captures d’écran, j’en fais ou j’en fais pas, telle est la question.
Bon, avant d’aller me coucher parce que j’ai peu dormi, je vais vous expliquer tout ça.
J’ai dormi une heure l’année dernière et j’ai presque fait une nuit blanche.
Journée de dingue.
Alors je ne vais peut-être pas tout détailler parce que ça prendrait 30 minutes et ça risque de vous ennuyer.
Mais j’essaie de faire ça en cinq minutes.
Donc, j’ai pris un avion hier pour aller à Bangkok pour régler des histoires de visa.
C’est toujours cette histoire de visa, mais là, c’est un peu plus concret.
En deux semaines, j’ai fait plus qu’en cinq mois, donc ça a bien avancé.
Situation complètement ubuesque aujourd’hui : j’ai appris que je devais faire signer, légaliser, je ne sais même pas par où commencer.
Notarisation, attestations et paperasse a Bangkok
Je pars hier et au moment où je réserve mon taxi pour aller à l’aéroport, j’ai mon agent de Dubaï qui m’appelle pour me dire qu’il faut que je fasse notariser, attester, légaliser des documents.
En gros, c’est un notaire devant qui on doit signer, il notarise, mais on doit être face à face.
Ensuite, il légalise, je ne sais pas ce qu’il fait, puis il atteste, c’est-à-dire qu’en gros on va à l’ambassade ou dans le pays et on fait tamponner le papier.
Mais c’est un papier qui date de janvier, avec tous mes problèmes depuis le mois de janvier, il y a eu plein de trucs lents, bloqués, etc.
Donc là, vu que ça se débloque un peu, c’est cool.
Toujours au dernier moment…
Le problème, c’est que j’ai mon agent qui m’appelle hier et qui me dit qu’il faut que je vienne, je lui dis que je suis déjà parti en Thaïlande.
Il me dit « ah, mince » et tout, il faut notariser, légaliser les documents et tout, et j’ai 72 heures pour le faire.
C’est sympa de m’informer au dernier moment, et en plus je ne peux pas, parce que là, je commence mes démarches de visa et tout, et je ne peux pas, j’ai tout, j’ai rendez-vous pris, etc.
Il dit « oui, mais c’est bon, faut que t’ailles à Bangkok et tout », je dis « bah, oui, coup de bol je vais à Bangkok, mais je n’ai pas le temps de prendre rendez-vous à l’ambassade et tout ça ».
Heureusement, j’ai un avocat assez extraordinaire qui m’a aidé, et ce qu’on m’a demandé de faire était déjà faux, donc je vous passe les détails à la con de toutes les emmerdes du mec qui me dit « machin attends j’appelle je truc je bidule ».
Bref, ça c’était la partie de Dubaï, et du coup à l’ambassade, il fallait faire tamponner les papiers.
Finalement, je n’y suis pas allé, mais j’ai missionné mon avocat pour le faire.
Rencontre avec mes salariés thais
Quelque chose d’assez rigolo : aujourd’hui, j’ai vu mon avocat et on allait faire les démarches.
Je suis allé rencontrer mes quatre salariés thaïlandais, je suis allé dans mes bureaux.
Incroyable, il y avait une vieille clim qui tournait vraiment comme dans les films et il y avait 4 étages dans la maison, tout était en travaux, c’était dégueulasse, il y avait des serpents par terre.
Enfin, il n’y avait pas de serpents, mais c’était vraiment sale.
Du coup, je devais absolument mettre un costume.
Alors, pareil, je n’avais pas de costume sur moi, donc mon avocat m’a prêté son costume avec la chemise et tout.
Bref, vraiment une situation complètement ubuesque.
Du coup, j’arrive avec mes salariés, on prend tous une photo ensemble, en mode c’est super, c’est génial.
Et en fait, il est arrivé un truc qui n’arrive jamais : vu qu’on a enregistré la sécurité sociale hier, enfin avant-hier, où je ne sais plus, eh bien…
Controle de securité social : wtf
Le contrôle de sécurité sociale s’est pointé quand on faisait des photos, ce qui arrive quasiment jamais et qui peut être vraiment problématique.
C’est là où j’ai bien compris.
Donc j’ai commencé à poser des questions :
« Qu’est-ce que vous faites comme activité dans une société de consulting ? »
Et comment c’est ? Il me disait
« Vous connaissez vos salariés ? »
Alors pour le coup, je ne les connaissais pas.
Puis, non, puisque je viens de les employer.
Là, je ne me rappelle pas.
Et « Comment ça, vous avez fait des entretiens d’embauche ? »
Enfin, le mec m’a un peu embêté.
Je lui dis « Mais de toute façon, on ne commence pas encore, on a fait les bureaux, mais… » Il commence à poser plein de questions.
J’aimerais résumer.
J’ai essayé de dire en cinq minutes.
En fait, les mecs, c’était une sorte de mini contrôle fiscal, alors que la boîte venait d’être créée.
En gros, ils ont embêté pendant une heure, ils nous ont bloqués, vraiment.
Le truc que je n’avais pas compris, enfin eux, c’était clair, mais mon avocat est très éthique.
En fait, il voulait juste prendre un billet.
Du coup, on a un mec et c’est là où on voit l’importance du réseau encore une fois.
Le mec qui gère la domiciliation de ma boîte, c’est un mec assez connu, il fait de la télé et tout, enfin je vous passe les détails.
En fait, c’est lui qui a calmé le jeu pendant 30 minutes avec la sécurité sociale.
En gros, ce qu’ils veulent, c’est quoi ? C’est savoir que je ne fais pas de blanchiment, savoir que ça ne va rien créer de louche, c’est tout.
Et puis surtout, il a vu ma bonne tête de blanc avec des lunettes et il s’est dit « Bon, voilà… »
Importance du réseau : j’ai grillé la queue et sorti d’un chantage
Heureusement, il y avait un ancien mec de l’immigration avec nous dans les bureaux, probablement missionné par mon avocat.
En fait, il a pris les passeports, les papiers, j’ai signé 80 feuilles, je n’ai rien compris à ce qui était marqué dessus.
Enfin, le truc à ne jamais faire, c’est si vous n’êtes pas en confiance.
Je me fais balader par les gens, je ne comprenais rien, il y avait des photos, « Allez pour la photo, d’accord ? »
Casse-toi, va pisser, reviens, enlève la veste, c’était n’importe quoi.
Vraiment, je me suis laissé balader et en fait, on est allé donner le passeport à l’immigration ensuite, c’est pour ça qu’on avait besoin des photos et qu’il y avait un mec au milieu qui avait des contacts à l’immigration parce qu’il avait travaillé pendant 10 ans à l’immigration.
Du coup, il avait des contacts.
Il nous avait dit de nous retrouver là-bas à treize heures, donc on s’est pointé vers midi, on a mangé un peu et on arrive à treize heures.
Je n’avais pas vu la queue, mais il devait y avoir un kilomètre de queue.
Je ne plaisante pas, le bâtiment est énorme et il y avait un kilomètre de queue.
En fait, je n’avais pas compris, mais je grille tout le monde et il me met devant un poste pour prendre une photo pour mon visa.
La personne responsable de ma photo dit que c’est bon, j’ai grillé tout le monde.
Je ne vous raconte pas comment les gens m’ont regardé, en mode « C’est qui lui ? ».
Je déteste cette sensation, pour le coup, un gros privilège.
C’est là où on voit encore une fois l’importance du réseau, parce que je n’ai pas attendu, il y en a qui doivent y être encore.
Bref des rebondissements surrealistes
Donc, on voit déjà les différences de niveau et de compétences par rapport à mon ancien conseil.
Ce n’est pas possible, en fait, je n’aurais jamais pu y être.
Tout ce qui s’est passé aujourd’hui, c’était n’importe quoi.
Je me suis retrouvé, je vous le dis quand même, à aller aux toilettes, il n’y avait pas de toilettes, il n’y avait pas de trucs, du coup j’ai dû uriner dans le lavabo, dans mes propres bureaux.
C’est complètement surréaliste, en costume.
Imaginez la scène, je suis en train de pisser dans le lavabo, je me regarde dans la glace, en costume, avec des piles de papier dégueulasse derrière, avec le toit qui s’est effondré et tout, je me regarde et je me dis:
« Mais qu’est-ce que je fais là ? »
Voilà, c’est juste pour la petite blague, ça m’a fait rire.
Sinon, c’est cool, ça a avancé.
Il y a eu des rebondissements, je vous les épargne, mais toute la journée ça a été des petits couacs, des petits problèmes avec la sécu, le mec à l’immigration qui bloque parce qu’on avait besoin du passeport.
Plein de petits détails comme ça, mais je suis très bien accompagné et ça fait énormément de bien.
Donc, c’est bon, je pense que ça y est, je crois qu’on va pouvoir s’installer définitivement, ça va être plutôt cool.
On verra, je vais peut-être refaire un petit saut à Dubaï, j’ai quelques trucs à régler.
J’imagine les haters là, mais oui, des trucs réglés, des trucs de scam.
Et voilà.
Perte Crypto : parfois je gagne, parfois je perds
Sinon, que dire de plus ? Je vois beaucoup, et il y a un sujet sur lequel on fait mépris et je tiens à le dire : j’ai perdu 40 000 euros en crypto la semaine dernière.
Mais j’aimerais quand même dire un truc.
J’ai déjà perdu cent cinquante mille, mais j’ai gagné environ 200 000 à côté.
Là, j’ai perdu quarante mille euros, et ce mois-ci, j’ai dû prendre presque trois cents, 280 au total.
Je n’ai pas fait des comptes exacts.
Donc, en fait, j’ai perdu quarante mille euros, mais tout va bien.
Vous voyez ce que je veux dire ? Tout va bien, c’est acceptable.
Le problème, c’est que je ne veux pas afficher comment je gagne de l’argent en crypto.
Je ne veux pas être perçu comme faisant partie d’un groupe élitiste.
Le groupe privé me convient pour ceux qui ne sont pas dedans, et je ne partage toujours pas cela publiquement.
C’est trop compliqué, et la crypto peut être dangereuse.
Maintenant que je suis en Thaïlande, je dois faire attention.
Donc, dans les groupes privés, je partagerai l’argent, mais pas dans le canal général.
Je préfère rester un peu discret.
En général, si je perds, c’est aussi parce que je gagne beaucoup.
Bizarrement, c’est corrélé, et je ne pourrais pas dire pourquoi.
J’ai quand même fait un gros bénéfice, presque de deux cent cinquante mille euros moins six, ce qui est énorme.
Pour moi, cela me paraît un peu normal maintenant, mais c’est énorme.
Je ne me suis jamais payé autant mensuellement que ces derniers mois en crypto.
C’est colossal, vraiment colossal.
Alors, on peut perdre 40 000 euros, c’est sûr, mais quand on en fait 300 000 à côté, c’est cool.
Perte Crypto et découverte d’un nouveau monde
J’ai écouté, je ne sais plus qui, je crois que c’était Laurent Alexandre, qui disait qu’en gros il y avait deux types de cerveaux qui allaient dominer un peu les membres d’après : il y avait des cerveaux un peu malins, c’est-à-dire dans le high-tech, dans les liens, l’intelligence artificielle et cetera.
Et les autres, en gros, les ouvriers et cetera.
Ça fait un classement vraiment terrible, mais ce n’est pas tant l’intention de cela que je veux signaler.
C’est que je suis à peu près certain qu’en fait, si on ne prend pas les marchés qui correspondent au monde dans lequel on est en train d’évoluer, on ne peut pas faire de l’argent rapide.
Pourquoi pas la crypto?
Aujourd’hui, peut-être tout le monde cherche à monter un business en ligne, et on se dit tous qu’on veut peut-être gagner de l’argent en ligne.
Mais quand on voit combien on gagne en crypto, la question c’est : pourquoi ne pas s’intéresser à la crypto ?
Moi, je sais pourquoi, j’ai mis six mois pour me décider, puis j’y suis allé.
J’ai quasiment suspendu toutes mes activités, et maintenant, cela représente quatre-vingt-quinze pour cent de mes revenus.
Je n’ai pas fait de calcul en pourcentage, mais on se comprend.
Je ne me sens pas cryptoboy, ni dans l’âme ni dans le cœur.
Encore une fois, je suis entrepreneur, avec des projets entrepreneuriaux.
La crypto, je m’en fous, ce n’est pas quelque chose qui m’anime.
Je ne me sens pas investi d’une mission divine sur ce sujet, je n’aurais strictement rien à faire.
J’imagine les gens à l’époque qui ont switché leur business à l’internet, cela devait être l’eldorado.
Ça doit être l’Eldorado de l’internet, et je me sens un peu dans ces mêmes conditions.
Ce n’est pas normal de faire autant d’argent, franchement, avec ces trucs comme ça, sans trop forcer en plus.
Se protéger des perte Crypto : Changer de Blockchain
Quand je dis sans trop forcer, je force tout de même.
Je me couche à 4 heures du matin, je suis épuisé et je n’ai pas dormi depuis l’année dernière, car j’ai monté un nouveau service grâce à mon avocat, sur des sujets spécifiques, des choses qui n’ont rien à voir avec les institutions bancaires.
C’est une autre corde à mon arc dont je ne vous parlerai pas pour l’instant et qui, de toute façon, n’intéressera que très peu d’entre vous.
Mais je cherche des solutions pour créer des comptes de réserve, pour des lignes de change, enfin des choses compliquées.
Un truc assez incroyable s’est passé :
Je l’ai quitté à une heure du matin et ensuite, je ne sais pas si je dois faire des choses comme ça à 2 heures du matin, mais je me suis retrouvé à faire un bridge entre Harmony et la BSC, ou je ne sais plus quelle blockchain maintenant, et Wax.
Donc un bridge, c’est quand on change nos USD ou nos USDC, on les envoie de la blockchain A vers la blockchain B.
On est obligé de faire un bridge, un pont en français.
Faut attention aux scams du « support »
En fait, je ne recevais pas l’argent.
Donc je suis allé voir le support, je passe par Rivo Dify, et je suis allé voir le support et tout.
En allant voir le support, le mec m’a répondu, il m’a contacté, il m’a dit des choses et tout ça.
Mais en fait, je n’avais pas vu que c’était un méga scam.
J’ai failli me faire avoir.
Le mec m’envoie un lien, j’arrive sur un live support et là, je me dis que ce n’est pas possible, ça ne marche pas comme ça.
Les mecs me demandent de connecter le wallet, et là, j’ai compris.
J’ai dit « ah, d’accord, laisse tomber », j’ai dit « oui, non, désolé », et du coup, il m’a bloqué.
J’ai dit « oui, bon, c’est sûr que ce n’est pas lui ».
Perte crypto : une erreur, de la fatigue et c’est fatal
En fait, j’ai fait une erreur à 3 heures du matin environ, toujours à cause de la fatigue.
Tout ce qui se passe après deux heures du matin est complètement étrange, il ne faut pas faire des choses comme ça.
Je prends des décisions mauvaises et j’ai perdu à peu près 5000 euros.
Où sont-ils passés ? Finalement, heureusement, le vrai administrateur m’a aidé, mais j’ai passé une heure et demie à régler le problème.
Donc en fait, je me suis couché à 4 heures et demie et je devais me lever à 6h20.
Du coup, je me posais la question :
Est-ce que dormir seulement deux heures est pire que de ne pas dormir du tout ?
Quand on se réveille le matin, on est complètement épuisé, on a mal à la tête et tout.
Ce matin, ça allait, mais du coup j’ai dormi exactement une heure et dix minutes.
L’année dernière, j’ai fait une nuit blanche et c’était complètement fou.
Je dis ça parce que ces deux jours ont été assez intenses et que, malheureusement, le temps n’attend pas.
Demain, je vais devoir bien travailler pendant que je suis épuisé, et il vaut mieux que j’aille me reposer, chose que je vais faire tout de suite.
Je ne sais pas exactement ce que j’ai fait.
Enfin, si, j’ai répondu à mes messages, je me suis mis à jour sur mes affaires, et voilà.
Pour que tout le monde comprenne, est-ce que j’ai vraiment basculé complètement dans la crypto ? Est-ce que je suis devenu quelqu’un qui ne va parler que de crypto ?
Un entrepreneur qui surmonte les défis et les perte Crypto
Non, non, parce qu’en fait, encore une fois, c’est de l’entreprenariat.
Maintenant, le problème c’est que c’est peut-être un peu nébuleux pour vous.
J’ai subi des perte crypto.
Donc j’ai eu une idée, j’ai eu plein de choses et en fait il va y avoir une sorte de formation gratuite.
Ce n’est pas tout à fait ça, mais vous verrez, une sorte de formation gratuite où vous allez pouvoir suivre l’intégralité des choses et je me dis que ça peut être pas mal.
Comment construire un projet, qu’est-ce qu’il y a dedans, comment peut-on faire ? Vraiment, je pense que ça peut être très intéressant, une sorte de road map détaillée.
Je ne pourrais pas donner les idées des gens, je n’oserais pas prendre vos idées, mais par contre je peux vous expliquer de quoi vous avez besoin et quelles sont les branches.
Vous allez voir qu’en fait, c’est compliqué.
Je vous dis ça parce que cela fait quelques mois maintenant que je fais ça et en vérité, tout l’aspect technique, moi, j’ai eu du mal.
J’ai mis deux mois à me rendre compte que ce n’est pas de la crypto, c’est une start-up.
On crée des start-up, des projets sont des start-up.
Le vrai problème qui perturbe les gens, c’est la technique.
En vérité, la technique, il faut juste un défi.
Vous connaissez mon associé Flo de QTT.
Il n’y a que du marketing : communauté, communication, acquisition, fidélisation, monétisation d’offre, proposition de valeur, créer de l’engouement autour d’une offre, c’est que du marketing.
En fait, vous enlevez la partie technique, j’essaie de vous simplifier aujourd’hui, et tout va bien.
De la Perte Crypto a la Thailande
Alors, ceux qui diront toujours, et moi je fais partie de ce genre de gars :
« Oui, on a eu la partie de là, mais c’est facile de dire ça. »
Du coup, comment tu fais la partie ?
Eh bien, tu payes des mecs.
Tu payes, donc c’est sûr que si tu as 20 000 euros sur ton épargne, ça va être compliqué parce qu’ils prennent cher.
Après, tu peux les payer en partie, tu peux les payer dans le projet.
Tu as plein de façons de faire.
Moi, il y avait une formation de business que je vais faire, de très bonnes nouvelles également.
Je suis en train de rechercher ma maison.
Enfin les amis, enfin, j’ai envie de dire, je n’ai pas envie de pleurer.
C’est quoi ça ? Waouh ! J’en suis presque ému, vraiment, je suis tombé sur qui essaie, je suis bien accompagné, ça fait plaisir.
J’ai trouvé des bons contacts, je suis en train de faire mon réseau en Thaïlande, je suis très content.
Je me suis mis cette mission il y a deux ans, quand j’y avais été la première fois, je m’étais passé cette mission et là, je me suis fait cette mission de me dire, faut que je fasse du réseau et c’est parti tout de suite.
Des gens qui ont présenté des gens, qui eux-mêmes présentent des gens.
Je pense là, mais je ne sais pas, en l’espace d’une semaine, j’ai construit un réseau pour beaucoup de choses.
Que ce soit business, bancaire, partenaires, même au niveau de l’immigration, du visa, de la police, enfin des trucs vraiment, vous n’imaginez même pas.
Difference entre infopreneurs et entrepreneurs, meme pendant les perte crypto
Vraiment, c’est à la fois bien et à la fois pas bien, parce qu’encore une fois, c’est comme moi des barques et qu’il y a autant de réseau et de contacts comme ça.
Je ne sais pas si c’est le syndrome de l’imposteur ou une connerie comme ça, c’est que c’est forcément accessible et c’est accessible, c’est qu’il n’y a pas de valeur ajoutée là-dedans en fait, il y a forcément autre chose.
C’est ça que je veux dire.
Si je suis bien payant aujourd’hui et je donne beaucoup d’argent, c’est tout, c’est une grosse valeur ajoutée.
Alors je fais le mec, « ouais, c’est facile », non, mais sérieusement, il faut avoir des idées, il faut savoir les appliquer, faut avoir du recul, faut savoir analyser, ce n’est pas donné à tout le monde.
Je ne peux pas dire ça, mais la crypto ce n’est pas donné à tout le monde.
Ce n’est pas que ce n’est pas donné à tout le monde, c’est que les projets ne sont pas donnés à tout le monde.
Faire du business en ligne, les gens font l’amalgame à cause des infopreneurs, faire du business en ligne, c’est accessible à tout le monde.
Mais être entrepreneur ce n’est pas accessible à tout le monde.
On peut faire de l’argent sur le web sans etre entrepreneur…
On peut très bien gagner sa vie sur le web sans être entrepreneur.
Freelance, responsable de soi-même.
Et pour moi il y a vraiment une différence entre entrepreneurs et infopreneurs.
C’est colossal.
Un scepticien m’avait dit :
« Toi, t’es pas un infopreneur, t’es un entrepreneur. »
Cela m’a fait réfléchir à l’époque.
Mais c’est exactement ça.
Dans la crypto, c’est exactement la même chose.
Si tu n’es pas entrepreneur, tu apprends à l’être dans la crypto.
Tu es obligé de gérer des équipes, de gérer différents postes, d’investir et de faire face à des obstacles quotidiens qui t’empêchent d’avancer.
C’est un accélérateur d’entrepreneurs.
Malgré les perte crypto, des millions sont a faire…
Franchement, tu mets quelqu’un dans un projet crypto, tu sais comment il est.
Vraiment, tu sais.
Mais en fait, il y a tellement d’obstacles que c’est super intéressant parce qu’on voit beaucoup de profils différents.
J’adore, vraiment, je kiffe les gens et je crois que je vais ouvrir des espaces de coaching parce que j’adore ça.
Par contre, des espaces de coaching, mais pas pour des débutants.
Si vous voulez gagner mille euros par mois, désolé, ce n’est pas moi qu’il faut aller voir.
Faut aller voir les mecs qui vous expliquent 85% de leur formation sur un bouton.
Moi, si je fais du coaching ou des trucs comme ça, de l’accompagnement, même groupé, ça peut m’intéresser.
Genre des réunions toutes les semaines ou toutes les deux semaines, vraiment avec une valeur, un point, débattre autour d’un sujet, expliquer les choses.
Ça m’animerait beaucoup, mais avec des gens pertinents.
Je ne veux pas dire que tout le monde n’est pas le bienvenu, bien sûr, mais on ne sera pas là pour traiter « oui, mais je n’arrive pas à avoir mes 500 e-mails par mois », ça ne sera pas du tout le même sujet.
On parle d’aller faire des millions, on parle de personnes qui investissent sur des budgets publicitaires, comment est-ce qu’on met en place nos offres, comment fidéliser, créer et fédérer des communautés, des choses comme ça, vraiment globalement.
J’ai subi des perte crypto.
Et je passe a autre chose.
Comment gère-t-on des problématiques entre associés ? Vraiment quelque chose d’un peu plus structurel.
J’ai beaucoup de valeur à apporter là-dedans et même dans le domaine bancaire.
Dois-je ouvrir plus d’accompagnements ?
Mais c’est sûr que 95% des gens ici ne seront pas intéressés, force est de constater que dans mon avenir j’ai quand même des gros entrepreneurs et infopreneurs qui me suivent.
Je dis ça, mais à force je me rends compte qu’en fait la plupart des gens qui m’écoutent de manière régulière sont des gens assez bien placés.
Je sais que vous ne voyez pas qui sont les gens qui sont dans le groupe, bien entendu, et je ne divulguerai rien de personne, mais ça, c’est cool.
Du coup, je me dis qu’il y a des choses à faire.
Un billet tous les mois
Puis lâcher un billet tous les mois pour avoir des trucs comme ça, ça vaut le coup.
Si jamais c’est une question de prix, c’est plus dans le sens du partage.
Après, bien évidemment, il y a un temps, il faut un prix.
Des accompagnements pour gérer les perte crypto ? Encore une fois, on est entrepreneur, on n’est pas je ne sais quoi.
Mon avocat, quand il m’envoie des papiers, une facture, il faut payer.
C’est pareil, en fait, c’est du bon sens pour moi, les gens travaillent, il faut les rémunérer.
Donc, je me tâte et je dis ça parce que je commence à ouvrir de plus en plus des accompagnements.
Alors je les ouvre vraiment qu’à des entrepreneurs aguerris ou avancés, ou s’ils ne sont pas avancés, avec des problématiques de remise en question simples mais où les gens sont un peu perdus envers eux-mêmes.
C’est plutôt ce type de profil.
Et parce qu’il faut accepter que dans l’accompagnement, on est sur 70% de psychologie, 20% de stratégie et 10% d’action.
L’action, en vérité, est fine.
C’est bien pour ça qu’on dit de déléguer, car l’action n’a aucun impact en vérité, si la psychologie est bonne et la stratégie est bonne.
La vérité, l’action, il faut la faire, mais ce n’est pas important.
Coaching de Groupe Crypto ?
Ce qui est important, c’est : qu’est-ce qu’on fait ? Comment on le sait ? Ce n’est pas de le faire.
Donc, je vais voir si j’ouvre des accompagnements ou non.
Je ne sais pas, j’hésite.
En fait, le problème, c’est que si j’ouvre des trucs comme ça, je n’ai pas envie de me retrouver à devoir des choses.
Ça se transforme en un produit, du coup il y a des gens qui voudront le prendre, et il faudrait chercher des clients, ce qui ne m’attire pas.
Moi, je veux des gens de bouche à oreille, des gens de confiance que j’apprécie.
Pas de groupe de soutien pour les perte crypto.
Donc, j’ai envie de tester le format groupe.
Je ne peux pas dire coaching de groupe, mais accompagnement de groupe, ça pourrait être sympa.
En débat, on met des points clés, on décide tous ensemble de ce qui pourrait être fait après, quel est le sujet de la prochaine fois, en laissant la parole libre à ceux qui veulent parler des sujets, donner des avis, open bar, en mode grosse réunion entre potes autour d’une table avec une bière et à discuter entre entrepreneurs.
Ça pourrait être sympa, c’est plus l’idée.
Pas quelque chose de sérieux, où on devrait construire un réseau et tout ça.
Non, vraiment quelque chose en mode conseil, consultant.
En tout cas, c’était pour vous dire ça.
Bonne soirée.
Je vais me reposer.
Vraiment, je suis épuisé.
La dernière fois que j’ai fait une journée aussi intense, ça remonte à des années.
Ça fait 48 heures que je suis debout.
Je sens que quand je vais arriver demain chez moi, je vais simplement m’effondrer.
Et en plus, j’ai plein de choses à faire, donc ça ne s’arrête jamais, mais c’est cool.
Meilleure vie en Thailande
En tout cas, je suis content.
Il y a un truc qui est vraiment bien, c’est que là, pour la première fois de ma vie, je vais le dire, je vis ma meilleure vie.
Je me sens bien, l’argent est là, j’ai le temps pour ma famille, vraiment plus que qu’avant.
J’ai réussi à créer ces espaces en gagnant plus, en étant dans un spa, en retrouvant un peu la nature et cetera, la plage, la mer, la piscine.
Vraiment, là, pour le coup, je n’ai pas besoin de plus pour être heureux.
C’est déjà énorme, mais c’est cool.
Alors ce n’est pas l’effet Thaïlande, je ne suis pas en train de vendre la Thaïlande, je ne suis pas en train de dire que c’est un pays parfait.
Je connais les étapes, c’est comme une nouvelle relation amoureuse, il y a la lune de miel, etc.
Donc je sais que je ne suis pas dupe, je suis malheureusement trop conscient de ce genre de sujet.
Par contre, ce qui est bien à Bangkok, c’est qu’il y a de l’accessibilité à beaucoup de choses et aux voyages.
Je sais que je peux prendre un avion interne, je peux bouger, je peux aller à la plage, c’est cool.
Et puis bizarrement, ce que je ne voulais pas, c’est d’aller dans des Airbnb pendant des mois, mais ça m’a formé à pouvoir travailler comme ça.
Donc en fait, je me dis presque aujourd’hui que j’ai envie de me caler, mais je pense que j’aurai vite envie de bouger à nouveau.
J’ai une petite appréhension de comment je vais vivre le fait de me recaler.
J’essaie de passer outre mes perte crypto.
De nouveaux défis a gérer en Thailande
C’est quelque chose que je désire beaucoup, un peu trop, un peu trop obsessionnel.
Du coup, une fois que je vais l’avoir, ça va être « et après ? » Et c’est là que je sais, je suis trop professionnel, je suis trop passionné.
Je retrouve les objectifs, ce n’est pas le problème, mais je sais que ça va me faire un coup.
C’est tellement obsessionnel que je l’attends depuis longtemps et là ça arrive.
Je sais très bien que personnellement ça va être dur à gérer.
Je ne sais pas comment je vais le vivre.
Vraiment, je ressens une certaine anxiété.
Ce n’est pas une anxiété par peur, c’est une anxiété par connaissance.
Je ne sais pas comment je le vivrai, honnêtement, mais c’est cool, c’est ce que je veux.
Le truc, c’est que j’ai développé une vraie peur d’avoir fait autant d’Airbnb avec autant de problèmes.
Aujourd’hui, je crains de louer des maisons à l’année.
Je me dis que je préfère opter pour du court terme.
Sauf que parfois, on est obligé d’avoir au moins six mois de location, il y a plein de trucs à faire.
Autre que du trading ou des perte crypto.
Donc, je suis un peu perdu sur des trucs comme ça.
On va faire entre les deux en fait, on va commencer par voir comment ça se passe et si c’est bon, on renouvellera, on fera des trucs comme ça.
Comme ça, je pourrai surtout commencer à construire mon bureau.
Je crois que je vais payer un gars, je ne sais pas qui, je ne sais pas comment, je ne sais pas où.
Mais je vais payer un gars, il va me faire mon bureau idéal, avec des lumières et tout.
Comme Céline Dion, JE RENÉ
C’est un endroit où je me sens bien, j’ai envie d’avoir ma propre pièce, où je me sens comme dans un cocon.
Alors je tournerai des vidéos, des trucs comme ça, enfin si de temps en temps je veux dire.
Ce n’est pas le sujet, je ne suis pas un youtubeur à la légère.
Mais j’ai envie d’avoir mon espace vraiment un peu sacré, parce que j’ai vraiment perdu toutes les valeurs liées à un point de chute.
Je me sens carrément infidèle envers mes propres points de géolocalisation, mais par nécessité, enfin par la force des choses.
C’est comme si je choisis d’être monogame et qu’à un moment donné, tu te dis que par la force des choses, tu es obligé d’être polygame.
Là on va dire, ce n’est pas un très bon exemple, mais c’est un peu l’idée de se dire que je n’ai plus de point d’attache, je n’ai plus d’émotions sur le fait de bouger de département.
J’ai vu des hôtels, des machins, je n’ai plus de plaisir à aller dans les hôtels.
Le seul truc que j’ai, c’est hyper étrange maintenant, c’est-à-dire, je serais prêt à faire ça pour voir un peu comment les gens décorent d’une manière un peu plus analytique en fait.
Les gens vont dire que c’est pour se poser, moi c’est tout l’inverse, je n’ai jamais pu me poser dans un Airbnb.
Jamais !
À part là, avec la piscine et tout, vraiment, mais j’ai l’impression de renaître !
JE René (Céline Dion, ceux qui auront capté cette petite vanne de merde…)
Une quarantaine bizarre
J’ai l’impression de renaître et de me dire que c’est amusant, je vais mettre en vivant.
Je suis en train de renaître et de me dire que, ouais, il n’y a pas de problème dans l’Airbnb, il y a trois chambres, il y a un bon salon, il y a une belle piscine, on est tranquille.
J’ai fait quasiment 10 jours de quarantaine dans ma villa, je n’ai pratiquement pas bougé.
Mais ça fait tellement de bien.
Alors c’est étrange, c’est débile, mais je m’en fiche parce que c’est mérité.
Donc j’ai fait une quarantaine qui est bizarre.
Parce que finalement je voulais absolument pas de quarantaine.
Il y a tellement de contradictions.
Mais ça m’a fait du bien et c’est cool.
Le petit regret c’est que je voyage beaucoup avec ma famille et là je n’ai pas pris ma femme et ma fille pour des raisons logistiques et budgétaires, ça coûte aussi cher que de partir seul et louer une chambre.
Donc ça n’avait pas de sens, surtout que ma famille n’était pas nécessairement obligée d’être là pour quoi que ce soit, donc autant qu’elles restent tranquilles toutes les deux.