Produits : Faut-il mentir pour vendre ?

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Produits racoleurs = Beaucoup de Ventes ?

Vendre ses produits correctement, c’est un art.

Bonjour à tous.

J’espère que tout le monde va bien.

Cela fait longtemps que je ne vous ai pas envoyé de message.

Je vais en faire de plus en plus régulièrement.

J’étais assez occupé mais je ferai d’autres messages sur le sujet.

Pour l’instant, c’est pour vous parler de la capture d’écran qui est juste au-dessus, je pense.

Une personne est venue me voir avec une question qui m’a impressionné et qui est très intéressante, une question que beaucoup de gens se posent à différentes étapes et moments de leur vie.

Cette question est quelque chose qui revient régulièrement dans ma vie d’entrepreneur de 10 à 15 ans.

Depuis que je suis aussi jeune que je puisse m’en souvenir, je me posais déjà cette question quand j’avais 13 ans, et je continue de me la poser aujourd’hui.

C’est un peu l’histoire du bien et du mal, de ce que nous sommes, etc.

Finalement ce qu’on nous apprend depuis notre enfance, peu importe la religion à laquelle on appartient.

Il y a toujours le bien, le mal, Dieu et le diable.

C’est très intéressant parce que le principe du karma tourne également autour de cela.

Beaucoup de choses gravitent autour de cette question.

Je vais tenter d’y répondre, ou du moins, vous apporter mes réponses et mes éclaircissements sur le sujet.

Vendre ses produits : s’adapter au marché

On est souvent perdu face au marché, peu importe ce qu’on fait.

Être perdu, bien sûr, est une notion très large.

Personnellement, je ne me suis jamais senti inférieur.

Beaucoup de gens autour de moi se sentent inférieurs à ce qu’ils peuvent faire ou à ce que le marché peut leur apporter.

Qu’est-ce que cela signifie ? Pour moi, il y a des évolutions de marché, et certains sont prêts à les prendre.

Ce qu’on ne nous dit pas en économie, dans les gestions d’entreprise ou à l’école, c’est qu’il y a des évolutions de marché que l’on ne peut pas saisir.

Il y a des évolutions de marché dans lesquelles je suis très à l’aise, que je n’ai pas pu saisir, pour une raison ou une autre.

Que ce soit par manque de volonté, par manque de travail, par incompétence, peu importe.

Il y a des évolutions de marché que l’on ne prend pas.

Cependant, ne pas prendre une évolution de marché ne signifie pas que l’on ne peut pas s’emparer d’autres marchés.

Ce qui est très intéressant, c’est qu’aujourd’hui, si on regarde cette capture d’écran, quelqu’un me dit : « Je suis perdu face au marché » et me parle en substance de VSL, donc de produits d’information.

Très bien.

Pour autant, des compétences ont été assimilées, peu importe lesquelles, mais la personne semble bloquée et fermée d’esprit, malgré elle, sur les produits d’information.

Une VSL vendra les produits, et ainsi de suite.

Promesses marketing et qualité des produits

Finalement, on arrive à quelque chose de assez logique, c’est pourquoi la personne se sent bloquée.

Parce que la personne veut vendre des produits d’information.

Qu’est-ce que c’est un produits d’information ? C’est une transmission d’information.

Cette transmission d’information a plusieurs facettes.

Soit ce sont des informations que l’on a assimilées et que l’on restitue, soit il s’agit de compétences que l’on tente de transmettre.

En fin de compte, il n’y a pas d’autres alternatives, il n’y a que cela.

C’est soit une compétence réelle que l’on a acquise et que l’on essaie de transmettre, soit des informations que l’on est allé chercher, qu’on a apprises et que l’on restitue à un moment donné sur un papier, un audio, une vidéo, peu importe le format.

Le format n’est pas important.

Et là, on est confronté à quelque chose de classique.

La personne fait déjà une erreur sur un point très important : « J’ai l’impression que quand je fais des VSL (vidéos de vente), les produits qui sont vraiment extravagants marchent.

Et alors que quand je fais des choses qui ne sont pas extravagantes et qui me correspondent, ça marche moins bien. »

Dans le marketing, il y a des choses très importantes.

Les promesses hyper racoleuses fonctionneront toujours.

Vraiment, des affirmations du type « Comment faire quatre millions d’euros en dix secondes depuis son canapé » n’auront pas de problème à attirer.

Ce genre de promesses marchera toujours.

Cependant, la qualité du produits proposé ne pourra pas suivre.

Et donc, il y aura un gros problème de service après-vente.

Jusqu’ici, rien de nouveau, c’est le marketing de base.

Quand on propose un produits qui semble incroyable sur la promesse, s’il ne répond pas aux attentes, cela génère un important service après-vente.

Inévitable.

Il faut toujours respecter la promesse et gérer le service apres-vente pour faire de bons produits

Il y a plusieurs formules à ce sujet.

Un bon produits plus un bon service après-vente égal un produits miracle.

Un bon produits plus un bon service après-vente égal une fidélisation potentielle si on renouvelle la production, donc si on refait du produits, etc.

Bref, il y a des règles économiques qui fonctionnent toujours.

Cependant, je veux vraiment insister sur quelque chose de très important et ce n’est pas sur la qualité du produit.

C’est sur le choix de ce que l’on fait.

Ce que la personne dit dans ce message est très intéressant.

Pour le résumer : « J’ai l’impression de faire du bullshit en copywriting pour mieux vendre. » On a le droit d’exagérer un peu en copywriting, cela dépend de ce que l’on entend par « bullshit ».

Littéralement, « bullshit » signifie mentir ou dire des bêtises.

On a le droit d’accentuer certains points en copywriting, à condition que la promesse soit respectée.

Je ne crois pas que ce soit abuser, si toutes mes promesses sont réelles, il n’y a pas d’abus.

Par exemple, dans mes formations, je ne mens jamais, donc il n’y a pas de risque sur les promesses.

Un équilibre entre promesse et réalité des produits

Cependant, le problème du marketing est que nous donnons des impressions à la personne qui écoute ou lit.

Le consommateur entend ce qu’il veut entendre.

Une phrase anodine peut tout changer, car cela lui fait penser à quelque chose, on a l’impression de toucher directement ce que la personne veut.

C’est pour cela que j’affirme que les promesses racoleuses marcheront toujours.

Par exemple, la promesse « Comment faire quatre millions en 10 secondes depuis son canapé » touchera forcément n’importe qui.

Certains diront immédiatement « quelle arnaque ».

Mais si on enlève le scepticisme, cette promesse attire tout le monde.

Donc évidemment, quand cela nous parle, on se dit « Ah, mais je croyais que tu voulais faire quatre millions en un an ».

Et je réponds:

« Oui, mais regarde, en 10 secondes, je te fais faire quatre millions depuis ton canapé ».

Quatre millions, par exemple, de dollars, tu le mets sur une image, et voilà, tu as 4 millions sur une image, sur un compte bancaire.

C’est une image, bien sûr, mais la promesse est réelle.

Donc, le consommateur a l’impression de se faire duper.

Et donc, plus la promesse sera alléchante, plus l’équilibre entre la promesse et la réalité du produits sera compliqué à maintenir pour un produits durable.

Produits de merde en vision de court terme ? Ou vision de long terme

Maintenant, je reviens à l’essentiel et au plus intéressant à mon sens.

La personne est dans un combat intérieur : « Est-ce que je fais quelque chose de bien qui a du sens même si je gagne moins ou est-ce que je fais quelque chose de moindre qualité qui se vend bien? »

Et là, je vais vous expliquer le combat que je vis quotidiennement depuis une dizaine d’années.

Ce n’est pas vraiment un combat pour moi car je suis très à l’aise avec ça, mais c’est une question que tout le monde se pose et c’est une étape à franchir.

Tous nos choix définissent l’entrepreneur que nous sommes.

Si on choisit de produire quelque chose de moindre qualité, pas de souci, si on est à l’aise avec ça, on le fait.

Cependant, il faut savoir que c’est une stratégie très court-termiste qui ne fonctionne pas.

Et surtout, on n’apprend aucune compétence, si ce n’est peut-être à ruser ou à élargir notre façon de penser un peu plus malicieusement.

Mais pourquoi est-ce un problème? Parce que ça signifie qu’on est en quête de sens.

Ainsi, ruser quand on ne sait pas vraiment se positionner, c’est la pire des erreurs.

Quand on est déjà positionné dans la tête, ce n’est pas ruser, c’est réfléchir différemment, disons.

Après, chacun interprétera le mot « ruser » comme il le souhaite.

Pour moi, je n’y mets pas de connotations péjoratives ou négatives.

Ruser, pour moi, c’est être un peu plus malin en faisant des choses.

Alors, comment combat-on cela?

Toujours etre honnete dans sa vie et les affaires

Je vais vous dire, je ne me suis jamais senti aussi bien dans mon travail depuis des années qu’à partir du moment où j’ai été extrêmement honnête et où j’ai fait les choses comme cela me semblait bon.

Un associé m’a dit une fois :

« Tu ne sais pas qui pourrait te sauver dans la rue demain, tu vois ? Tu as une crise cardiaque dans la rue, tu ne sais pas qui peut te sauver, c’est peut-être la personne à qui tu as manqué de respect. »

Donc par définition, c’est bien d’être gentil avec tout le monde et de ne pas mentir.

Et surtout, ce qu’il disait, c’est que tant que je peux répondre aux questions, il n’y a pas de problème.

Si je commence à mentir ou à ruser, et que je ne sais pas que je mens, et que je n’arrive pas à répondre aux questions, ça va être compliqué.

J’ai donc toujours mis un point d’honneur à savoir répondre aux questions.

C’est-à-dire que quand je pose des questions, je sais pourquoi je les pose et je peux les expliquer.

Et je peux expliquer pourquoi elles sont bienveillantes.

Cela m’a permis, même en affaires, de répondre point par point quand on me présente des scénarios de ma vie, un storytelling de ma vie qui n’existe pas mais qui pourrait potentiellement être vrai.

Je peux expliquer chaque choix que j’ai fait, pourquoi, où cela m’a mené, quelle a été mon intention, pourquoi je l’ai fait comme ça.

Parce que je sais pourquoi je le fais comme ça.

Et cela vaut plus que de l’argent.

En quete de sens pour vendre ses produits… La fin justifie les moyens ?

Sur le long terme, faire quelque chose d’honnête, quelque chose qui fonctionne, bien sûr, ça prend du temps au début.

Mais à terme, cela apporte beaucoup plus de valeur.

Alors qu’à l’inverse, si nous faisons quelque chose de moins authentique, cela nous rapportera peut-être immédiatement.

D’accord, on va gagner un peu plus d’argent.

Mais à quel prix ? Au prix de se démener pendant deux mois, un mois ?

Et ensuite, d’avoir un produits qui s’arrête avec quelque chose qu’on est obligé de refaire quotidiennement, d’essayer de ruser continuellement, de vivre dans un monde où le travail est compliqué chaque matin, non, non.

Il faut se poser ces questions

La plupart des gens cherchent du sens, et ce sens prend du temps à se manifester.

Ce sont des questions que l’on se pose à un certain âge, et surtout après une certaine expérience.

Ces types de questions me permettent de déterminer où une personne en est aujourd’hui.

Par exemple, je pourrais déduire où cette personne en est.

Quelqu’un qui a fait du business, qui a fait de l’argent à deux ou trois endroits, mais qui a du mal à se réinventer.

Je ne connais pas la personne sur ce sujet, d’accord, mais je peux l’évaluer très simplement.

Et donc, elle se demande aujourd’hui si la fin justifie les moyens ?

Parce que je conclus que tout ce que la personne a fait l’a amenée à un endroit où elle manque un peu de sécurité.

Alors, pour obtenir cette sécurité, la personne se dit :

« C’est vrai que quand je fais des choses pas très correctes, ça fonctionne bien, donc je suis tenté. Mais au fond, j’aimerais vraiment faire quelque chose de bien. »

Donc cela permet de dessiner le profil de la personne, juste à partir de ces quelques phrases.

Cela m’aide à comprendre le profil de la personne, je ne suis pas profiler, mais je vois très bien la problématique qui est inhérente à ces questions.

Je la connais, je l’ai aussi traversée.

Equilibre entre rentabilité produits et respect des clients

Vous savez, Airbnb, qui avait commencé par « scraper » pour créer les annonces sur Airbnb avant de devenir numéro un, et de continuer à « scraper » etc.

Et dans les conditions générales, il était stipulé qu’il ne fallait pas le faire.

Une fois qu’ils ont eu de l’argent, ils ont dit : « D’accord, d’accord, dédommagement, merci, au revoir, salut. » Est-ce que c’est bien ou mal ?

C’est très difficile de trancher.

Est-ce que c’est malin ? Je ne sais pas.

J’ai « scrappé » beaucoup de choses dans ma vie, des choses dont j’avais le droit, d’autres non.

En même temps, je n’ai jamais abusé.

Je n’ai jamais agi pour ennuyer les gens.

Par exemple, je ne vends pas de produits de mauvaise qualité.

Quand je fais de l’e-mailing par exemple, j’essaie de ne pas importuner mes abonnés.

Ma règle de base est de ne pas déranger les gens.

Certes, cela peut en énerver certains, mais il n’existe pas de solution qui satisfasse 100 % des gens.

Donc, tant que 80 % des gens ne se sentent pas importunés, pour moi, il n’y a pas de problème.

C’est acceptable.

Concernant les affaires viables, disons que si sur 10 personnes, on a 5 ou 6 demandes au service après-vente, c’est une majorité et cela ne va pas.

C’est logique.

Si sur 10 personnes, on n’a aucune demande au service après-vente, c’est plutôt cool.

Pour vendre ses produits, il faut attirer les bons clients avec la bonne page de vente

J’ai plusieurs réponses à cela.

La page de vente fait toute la différence.

On peut avoir une approche très agressive avec un produits ultra pertinent.

Ce n’est pas vraiment le problème.

Après, cela dépend du type de personnes que l’on souhaite attirer.

Pour moi, le plus important, et c’est ce que j’ai fait sur Web2fou et j’en suis l’exemple incarné, c’est de ne pas attirer des personnes peu sérieuses.

Mes pages de vente sont donc très filtrantes.

Est-ce que cela me coupe d’une partie du marché ? Oui, mais je dois être celui qui a fait le plus d’argent jamais réalisé avec ses publicités Facebook sur l’info produits.

Pourquoi ? Parce que j’ai trouvé de nombreux associés grâce à mes publicités Facebook, des associés avec qui je me suis associé et qui m’ont généré des millions et des millions.

C’est une stratégie de base, mais pas à des niveaux comme ça où j’ai généré plus de 30 millions au total.

Attention, pas de rêve, car en matière de rémunération, je garde ma vie ailleurs.

C’est un autre sujet.

Ce que je veux dire, c’est que l’honnêteté et les raisons pour lesquelles on fait les choses sont plus importantes.

Cela prend du temps, certes.

Le temps est relatif, je l’admets.

Cependant, la majorité de mes messages sur Facebook, environ 80%, sont diffusés via cette plateforme.

Cette proportion a légèrement diminué depuis que j’ai réduit la diffusion de publicités.

Je devrais d’ailleurs m’y remettre.

500 ventes de produits de merde contre 30 produits « biens »

La plupart d’entre vous ont probablement vu ces publicités Facebook, celles avec ma femme et ma fille sur un balcon à Dubaï.

Mon message y était très précis.

J’attirais l’attention, je souhaitais attirer des gens.

L’approche était directe et claire.

Les visiteurs arrivaient sur une page qui ressemblait à une arnaque, ce qui pouvait sembler déconcertant.

Cependant, l’aspect marquant se produit lorsque nous commençons la vidéo.

Il est presque impossible de ne pas démarrer la vidéo sur la page de vente, on se demande ce qui se passe.

En écoutant, on réalise que l’orateur a une voix agréable, que ses propos semblent sensés, et l’opinion change aussitôt.

Cela crée une rupture de pattern, une sorte de pattern interrupt.

Je mentionne cela pour une raison.

Avec mes compétences, j’aurais très bien pu créer un produits de mauvaise qualité et vendre 500 exemplaires en un mois.

Cependant, ce n’était pas dans mon intérêt.

Avec un mauvais produits, je n’aurais jamais trouvé des partenaires, je n’aurais jamais progressé jusqu’au point où je suis aujourd’hui.

Donc oui, j’aurais pu faire 500 ventes le premier mois, mais le premier mois, je n’ai fait que trente ventes sur Web2Fou, après avoir un peu fait de publicité.

Vision long terme sur vos produits, formation

Ma toute première formation, pour autant que je m’en souvienne, était « 30 000 emails par jour ».

Cette formation a d’ailleurs été fermée assez rapidement parce que certains en ont abusé.

J’avais mal sécurisé le système.

Bref, cela fonctionne très bien sur le long terme, si on fait attention, si on fait les choses correctement.

Ce que je souhaite vraiment souligner, c’est mon retour d’expérience personnel.

Mes affaires n’ont jamais été aussi prospères qu’à partir du moment où j’ai commencé à envisager le long terme.

Oui, c’est tentant de tromper et de faire de la merde

Avons-nous tous déjà envisagé de tromper notre associé ? Assurément.

Et je trouve cette question extrêmement pertinente.

Pourquoi ? Parce qu’en nous demandant si nous voulons tromper notre associé, nous posons une question fondamentalement saine.

Quiconque ne se pose pas cette question me fait craindre.

Cependant, il existe un énorme fossé entre envisager une telle action et la mettre réellement en pratique.

C’est un aspect crucial dans les affaires.

Produits bons ou non : Il faut determiner ce que l’on veut

Donc, lors de la création de produits, pour répondre précisément aux messages précédents, l’essentiel est de déterminer le sens que l’on souhaite donner à ce que l’on fait.

Depuis que je travaille avec des personnes que j’apprécie, des personnes intelligentes, des personnes avec lesquelles il y a une véritable réactivité, avec lesquelles nous pourrions déplacer des montagnes et proposer une multitude de valeurs, cela me convient parfaitement.

Cependant, dès lors qu’il n’y a plus de valeur à proposer, que les gens créent des problèmes ou que les choses deviennent plus complexes, la situation change.

Chacune de nos actions a des répercussions.

Je tiens à souligner, et je le répéterai toujours, que n’importe qui peut venir me voir demain – un associé, un fournisseur, un client – et je peux affirmer que je n’ai jamais réalisé un travail de mauvaise qualité, que j’ai toujours été droit et honnête.

Tout ce que j’ai déclaré, je l’ai accompli.

S’il y a un sujet à interpréter, c’est que nous devons en discuter.

C’est normal.

Prenons l’exemple suivant : il y a dix voitures, et on demande de colorier la moitié en rouge.

Certains vont colorier cinq voitures, d’autres vont colorier la moitié de chaque voiture.

J’adore cette phrase, j’adore cet exemple parce qu’il est incroyable.

Et donc, certains pourraient dire que ce n’était pas l’exercice demandé, mais en fait, si, c’était bien cela.

Clé du succes dans lentreprenariat

Il y a des interprétations qui peuvent être vraiment surprenantes.

Alors, comment puis-je répondre à cette personne pour l’aider ? Je pense que vous avez compris où je veux en venir.

Personnellement, je ne m’attarderais pas sur ce point.

Si vous pouvez créer une bonne page de vente pour votre produit pertinent, c’est l’essentiel.

Peu importe l’agressivité du produit, tant que votre promesse est respectée.

Dans votre marketing, faites attention à qui vous souhaitez vous adresser.

L’idée n’est pas simplement d’avoir des clients.

Les gens confondent souvent clients, prospects et public.

Dans tous mes business, quelle que soit leur nature, une clé du succès, que je vous donne pour devenir millionnaire, n’est pas très compliquée : il s’agit d’entretenir une relation client et de faire un suivi client.

Dans l’e-mailing, nous avons construit des actifs avec des personnes qui génèrent de l’argent.

C’est ma base d’actifs, cela concerne les clients.

Aujourd’hui, j’ai stoppé l’acquisition depuis un an.

Je ne connais pas la moyenne sur un an, mais je dois réaliser entre 20 et 30 ventes par mois, excepté le mois dernier où je suis tombé à 10.

C’est normal, je n’ai rien fait le mois dernier.

En moyenne, cela tourne autour de 20, 25 ventes.

Donc cela représente environ 200 à 300 ventes par an.

Prendre du plaisir a travailler : changer de produits, de projets

J’ai coupé l’acquisition, cela fonctionne tout seul.

Je peux affirmer, par exemple, que sans publicité, j’ai réalisé 300 000 euros de chiffre d’affaires en automatique cette année.

Est-ce pertinent ? Oui et non.

Cela dépend de ce que l’on souhaite pour son business.

Encore une fois, ce n’est pas mon activité principale.

J’en parle parce que c’est le seul exemple que nous avons en commun aujourd’hui.

Mais il y a d’autres business sur lesquels je peux m’appuyer.

Aujourd’hui, je vais m’appuyer sur un business qui, en un mois et demi, m’a rapporté 200 000 euros.

C’est pour cela que je consacre beaucoup de temps à développer des structures, à mettre en place des systèmes.

Une fois que c’est fait, normalement, cela fonctionne tout seul.

Il est certain que tout dépend de l’angle que l’on veut donner à son projet et il est également certain qu’il n’y a pas d’argent facilement rapide, à part peut-être avec les NFT, et encore, cela dépend du projet que l’on souhaite réaliser derrière.

J’ai beaucoup aimé les outils proposés dans ce domaine, mais passons.

Je dirais à cette personne de prendre une pause, de prendre le temps de définir le sens qu’elle souhaite donner à son travail.

Par expérience, il n’y a rien de pire que de continuer un travail qui vous ennuie, même si c’est pour gagner plus.

Parce qu’à un moment donné, vous allez vous sentir mal, vous allez faire un burn-out, vous ne vous sentirez pas bien dans votre vie.

Aujourd’hui, plus que jamais, et je le conseillais déjà il y a cinq, dix ans, il est crucial de prendre du plaisir dans votre travail, surtout avec l’évolution rapide des technologies.

Il faut aimer ce que l’on fait, s’entourer de personnes, éviter l’isolement, et travailler en groupe.

Travailler avec des associés et se construire en communauté

Travailler en groupe peut signifier travailler avec des partenaires, des associés, des salariés.

C’est différent que de travailler avec des salariés.

Car il y a une hiérarchie qui n’est pas toujours positive.

Je ne considère pas cela comme un travail d’équipe, surtout si la relation avec les salariés n’est pas bonne, cela ne durera pas dans le temps.

Travailler avec des associés, des partenaires, c’est bien, c’est fait pour durer.

Il est important de faire des choix qui permettent de rester dans la durée, quitte à gagner moins.

Je le redis, je ne l’ai pas fait au départ pour gagner 30 000 euros par mois.

Je n’en avais pas besoin et je n’en ai toujours pas besoin.

Ce n’est pas le sujet.

J’ai entrepris ce projet pour rencontrer des gens, pour créer une communauté d’entrepreneurs autour de cela.

Mon objectif était de créer un vivier de personnes pertinentes.

D’autres ont fait mieux que moi parce que c’était leur activité principale, mais ce n’est pas un problème.

Je ne me mets pas en concurrence avec ceux qui font cela.

Mon activité principale n’est pas celle-ci, elle restera toujours liée au consulting et aux solutions pour professionnels.

Aujourd’hui, on me demande de la consultation pour le management de B2B, pour des entreprises comme Dalternegy.

Je ne comprends pas toujours ce que je fais là-dedans, mais pourquoi pas ? Les gens pensent que j’ai du bon sens, ce que je trouve absolument faux, mais peut-être qu’ils ont raison.

Essayons, on pourrait me payer pour cela.

Faire ma facturation à travers les clients me convient très bien.

Importance des compétences techniques

Peut-être que dans deux ans, je serai consultant B2B pour des sociétés, je ne sais pas.

Je m’en fiche en fait.

Alors qu’il y a trois ans, j’étais…

Enfin, pour moi, le sujet n’est pas là, il s’agit de trouver des partenaires avec qui j’aime travailler.

C’est très stimulant, même si cela n’apporte pas de stabilité.

Aujourd’hui, puis-je dire que j’ai une stabilité totale dans mon business ?

Je pensais ne pas l’avoir, mais je me suis aperçu au fil des années que j’en ai beaucoup en fait.

Je sais ce que je suis capable de faire.

Demain, je saurai comment gagner de l’argent avec des emails, peu importe d’où cela vient, je saurai le faire.

Ces compétences sont très importantes pour moi parce qu’elles sont très techniques et assez rares à trouver.

Quelle est la grande valeur ajoutée dans n’importe quel métier ? C’est lorsque des obstacles et des problèmes surviennent, être capable de les comprendre et de les résoudre.

Là, il y a une grande valeur ajoutée.

C’est tout, peu importe le métier.

Être consultant, c’est identifier des problèmes et proposer des solutions.

Proposer des solutions adaptées au client, c’est quelque chose de très simple en réalité.

L’envoi d’e-mails consiste à proposer des offres aux gens pour gagner de l’argent, afin qu’ils trouvent ce dont ils ont besoin.

Par exemple, une femme qui souhaite un parfum, nous le lui proposons.

C’est quelque chose d’aussi simple que cela.

Se concentrer sur des produits « Make Money » est voué a l’echec

Pour conclure, chaque fois que j’ai essayé de monter une affaire juste pour l’argent, cela n’a jamais fonctionné.

Jamais.

Je ne dis pas que je n’ai pas gagné un peu d’argent, mais ce n’est pas pertinent.

Il faut trouver quelque chose dans lequel on se sent à l’aise, qui nous correspond et dans lequel on est prêt à consacrer des heures pour évoluer dans l’offre et le service proposés.

Personnellement, faire de la vente de produits ne m’a jamais intéressé.

Je vois tous les élèves de Tugan qui sont là, pas tous, mais 80% ou 90%, qui proposent des produits juste pour gagner de l’argent.

Ces personnes sont déjà perdues.

Je le dis vraiment.

Évidemment, il y aura toujours une minorité qui s’en sortira, mais je veux dire qu’elles sont déjà perdues dans le sens où leur produit sera bloqué une fois que les algorithmes changeront.

À tous ces gens, je leur dis : « Laissez-moi vos e-mails, faisons quelque chose ensemble. »

Être intermédiaire est une solution qui permet toujours de se relever, peu importe le métier ou le secteur.

Ce que je conseillerais à cette personne, c’est de faire quelque chose qui lui plaît, même si cela demande six mois ou un an.

Car en prenant du plaisir à faire ce qu’elle fait, elle attirera du monde autour d’elle, elle ira nécessairement voir des gens faire des choses.

Il faut etre intelligent et prendre soin de ses clients

J’ajouterai une dernière chose : il faut aussi agir et faire des choses intelligentes et agréables.

Cela prendra du temps.

Tout ce qui est bien prend plus de temps.

Je n’ai jamais vu un business réussir immédiatement.

Cela prend du temps.

L’argent rapide n’a jamais conduit à construire des choses de qualité.

Si je peux résumer en une phrase, c’est cela.

Il faut prendre le temps de ne pas vendre de produits de mauvaise qualité, de ne pas tromper ses clients et de prendre soin d’eux.

Par exemple, avec Web2Fou, je ne m’occupe pas assez d’animer mon canal, et j’aimerais faire quelque chose que j’ai envie de faire.

Je me pose tous les jours la question de faire une vidéo YouTube, etc.

Mais je suis toujours rattrapé par mes priorités.

Ce ne sont pas des regrets.

C’est acceptable.

Mais chaque matin, je me dis que j’aimerais bien le faire.

Pourquoi? Parce que j’aimerais montrer aux gens mon évolution.

Aujourd’hui, j’ai le sentiment, qui est en réalité une certitude, que toute mon évolution depuis un an n’est pas suivie, comme elle l’était en 2015, parce que je n’ai pas le temps de créer du contenu.

Ce n’est pas une question de manque de temps pour créer du contenu, mais plutôt de l’absence de processus pour être ultra-efficace dans ce domaine, car je ne suis pas créateur de contenu à l’origine.

C’est ce qui me manque.

Ai-je envie de payer quelqu’un pour faire ça ?

Non, cela n’apporterait que des problèmes, donc je n’ai pas le processus aujourd’hui.

Pourquoi pas?

Je me triture un peu l’esprit sur le sujet, mais c’est une autre histoire.

Il faut créer du contenu de qualité et de produits de qualité

Donc oui, c’est toujours le même problème.

Je pourrais créer du contenu à la hâte, le publier et bien sûr j’aurais plus de clients et je gagnerais plus d’argent d’un point de vue très mécanique, très arithmétique.

Mais encore une fois, ce n’est pas du tout l’image que je veux donner à mon Web2fou.

Donc, si c’est juste pour créer du contenu à la hâte, pour attirer plus de clients, cela ne m’intéresse pas.

Je préfère faire quelque chose qui me correspond, même si cela prendra plus de temps.

Le contenu que je produirai aura une valeur différente, qui permettra de toucher et d’impacter des personnes différentes qui, dans les années à venir, pourraient peut-être me permettre de rencontrer encore d’autres associés.

Ma stratégie de fond, peu importe le travail ou le business, est toujours la même.

Aujourd’hui, je suis impliqué dans des domaines variés tels que le droit, le secteur bancaire complexe et bien d’autres.

Je ne vise pas ce qui se passe maintenant, je vise ce qui va se passer dans les cinq prochaines années.

Je pense aux entrepreneurs, aux infopreneurs, aux acteurs du web, à leur évolution, etc.

Parce qu’il viendra un moment où ces gens voudront sécuriser leur patrimoine, pour eux-mêmes ou leurs enfants.

Je connais bien ce processus psychologique, je l’ai vécu.

J’essaie donc de prendre de l’avance pour pouvoir dire : « J’ai la solution qui te convient ».

Et c’est vrai, je l’ai.

C’est pour ça que j’ai des clients, que ça se passe bien, que je suis passionné par ces sujets.

J’aime rendre service et instaurer de la confiance

Pas parce que le secteur bancaire m’excite, mais simplement parce que j’aime apporter un service de sécurité aux gens.

J’aime quand ils peuvent dire : « Je peux compter sur toi ».

C’est ça qui me motive.

Ce n’est même pas la gratitude du travail, ce n’est pas pour ça que je travaille.

C’est plutôt le sentiment de satisfaction que j’éprouve lorsque les gens sont contents.

Je fais du bon travail, j’apporte les bonnes solutions.

C’est sur cette base de confiance que je construis des relations, que je rencontre de nouvelles personnes et que j’avance.

C’est quelque chose que j’apprécie énormément.

J’aime avoir des clients au téléphone, j’aime les échanges vocaux ou peu importe.

J’apprécie d’expliquer les choses sans être obligé de jouer le rôle de l’enseignant, parce que l’école me fatigue.

Je ne peux plus supporter les phases où je fais trop de coaching.

Je ne pourrais pas être comme ces personnes extrêmement méticuleuses et rigoureuses que j’ai rencontrées par le passé.

C’est quelque chose qui peut me rendre complètement fou.

Alors, comment je m’organise ?

Les 3 clés de la réussite

Je suis de nature artistique et j’aime organiser mes rendez-vous à ma façon.

Parfois, cela me conduit à manquer certains rendez-vous, mais si je ne travaille pas de cette façon, je ne me sens pas bien.

Je finis par m’épuiser ou j’envisage d’arrêter tout.

Il me faut une liberté, la liberté d’agir, la liberté de faire ce qui me plaît.

C’est essentiel pour moi, c’est une chose très importante.

Pour résumer, il y a trois choses importantes pour moi.

Premièrement, créer un produit qui me plaît, avec bienveillance et honnêteté.

Prendre le temps qu’il faut pour cela.

Deuxièmement, passer à l’action.

Peu importe comment, il faut passer à l’action.

Si nous avons besoin de contacter des gens, nous devons le faire.

Ne pas hésiter, ne pas penser qu’ils ne répondront pas.

Il faut toujours essayer de les contacter.

Payer quelqu’un si nécessaire.

Créer du mouvement, faire connaître notre marque.

Faire quelque chose, rencontrer des gens.

Si vous voyagez à Dubaï, organisez des rendez-vous avec des entrepreneurs locaux.

Les gens sont ouverts dès lors que vous leur parlez.

J’ai eu de nombreux repas avec des entrepreneurs qui m’ont approché.

Je n’ai peut-être pas honoré tous mes rendez-vous, mais j’en ai honoré au moins 80%.

Enfin, troisièmement, il est important de pouvoir maintenir le rythme de vie et de travail que nous souhaitons.

Si vous êtes quelqu’un qui aime être artistique, soyez artistique.

Si vous êtes quelqu’un qui aime être ultra organisé et performant, soyez-le.

Aujourd’hui, j’ai la chance d’être en mesure de dire qu’en étant artistique, j’ai réussi financièrement.

Bien sûr, si j’étais hyper organisé, je ferais probablement plus.

Mais je ne m’en soucie pas.

J’ai été ultra organisé et performant pendant des années, et ça m’a épuisé.

Je préfère être maître de mon temps et de ma vie.

Valeur du temps pro et perso

Même si cela signifie perdre, disons, trente affaires par mois, je m’en moque.

Rien ne vaut cette liberté.

En effet, il arrive un moment où l’on se rend compte du prix de notre temps.

Par exemple, pendant les six premiers mois de l’année, je me suis investi dans des tâches spécifiques et je me suis rendu compte que le temps passé avec ma fille avait un prix.

Ce prix peut se traduire en chiffre d’affaires, en part de marché, ou en rémunération, mais le temps passé avec ma fille est précieux.

Quand on réalise cela, ça fait mal.

Je ne l’avais jamais réalisé auparavant.

Quand on est simplement en couple, on se dit que ce n’est pas grave, on fera une sortie le week-end, cela ne remet rien en question.

Au pire, on peut acheter du temps, c’est-à-dire, payer quelqu’un pour faire le ménage ou pour cuisiner.

Mais quand on est juste en couple, c’est assez simple.

On peut faire des sorties, il n’y a pas d’enjeux majeurs.

Par contre, quand on a un enfant, la situation change.

Il y a des responsabilités et du temps nécessaire à consacrer, donc cela devient une toute autre histoire.

C’est une organisation compliquée

Quand j’ai eu ma fille, j’ai compris que je ne pouvais plus me permettre d’être uniquement ultra performant dans mon travail.

Je devais l’être, mais d’une autre manière.

Ma meilleure façon d’ajouter de la performance a été de faire de ma fille ma priorité.

Tous les matins et tous les soirs, je vais la chercher à l’école.

C’est quelque chose de très important pour moi.

Je pourrais choisir de ne pas le faire, mais je le fais.

C’est par principe

Mais aujourd’hui, j’ai choisi de le faire.
Parce que c’est le principe.

Sinon, que fait-on?

On continue de travailler et on perd du temps avec nos enfants?

J’ai parlé avec Jean qui disait :

« Tu perds une heure, une heure et demie par jour, pour aller chercher ta fille. »

Je lui ai répondu : « Et alors? »

Il a continué : « C’est compliqué, dans une heure et demie de travail au fil de la journée. »

J’ai répondu :

« Combien vaut une heure et demie? Trois cents, cinq cents euros? Je préfère passer ce temps avec ma fille. Tu dis que ce sont des projets que je ne développe pas. Et alors? Il y en aura d’autres. J’en ai tellement d’autres chaque année. Vous voyez ce que je veux dire? »

Ultra organisé dans vie pro ne veut pas dire organisé dans sa vie perso

C’est à partir du moment où l’on est ultra-efficace dans notre comportement, nos réponses et nos choix, qu’on voit la différence.

Être ultra-organisé dans son travail n’est pas la même chose qu’être ultra-organisé dans sa vie.

Quand quelqu’un me met au défi sur un sujet comme celui-ci, je suis prêt à débattre pendant des heures pour expliquer que ce n’est pas que j’ai raison, mais que c’est ma réalité.

Faut-il sacrifier sa vie personnelle pour sa vie pro ?

Quand j’entends des gens aujourd’hui qui essaient de gagner leur vie, qui sont peut-être salariés et qui se disent : « J’aimerais me libérer de ce salariat, mais j’ai deux enfants, c’est compliqué », la seule solution que je vais leur donner c’est soit tu es prêt à investir du temps que tu ne passeras pas avec tes enfants, soit tu es prêt à sacrifier du temps de sommeil.

Il m’arrive de me coucher à 3 heures du matin.

Est-ce bien ou mal? Je ne sais pas.

Mais ce qui est sûr, c’est qu’aimer ma fille et l’emmener tous les jours à l’école me coûte parfois de me coucher à 2 ou 3 heures du matin.

Et c’est d’accord.

Je ne peux pas continuer sans réponse.

Je ne dis pas que c’est une solution qui convient ou non.

Mais entre passer trois heures devant Netflix, faire la cuisine, aller faire les courses, vous voyez ce que je veux dire ?

Je préfère, oui, peut-être une fois par mois, c’est un peu trop, mais voilà, je sors avec ma fille, on va à des concerts, au restaurant, je lui propose des expériences et des découvertes.

Pour moi, c’est plus essentiel.

Pour une nuit par mois, jusqu’à 2 heures du matin, le prix, encore une fois, en termes de risque-récompense, me semble correct.

Si cela ne me convient pas, je me lève plus tôt, je me couche plus tard.

Si ça me convient, je n’en fais pas toute une histoire.

Il ne faut pas se compliquer la vie.

Bons produits, perserverance et importance de s’entourer de bonnes personnes

Évidemment, plus on passe de temps sur une tâche, plus on devient efficace et plus on réussit à générer de l’argent.

C’est certain.

Maintenant, il faut des processus pour apprendre rapidement.

C’est un autre sujet.

Mais je m’égare un peu quand je dis ce genre de choses.

Donc, à cette personne qui m’envoyait ce message, j’espère avoir donné tous les éléments de réponse qui, pour moi, sont les plus pertinents.

Aujourd’hui, il faut s’entourer de gens.

Par là, je ne veux pas simplement dire qu’il faut s’entourer de personnes, mais je parle de partenaires.

Je ne parle pas de rencontrer quelqu’un dans la rue et de lui dire « salut, sois mon ami ».

Il faut aller à des repas, visiter des endroits où on peut rencontrer des gens.

Dubaï est un bon vivier, n’hésitez pas.

J’ai moi-même beaucoup investi pour aller rencontrer des gens à Dubaï.

Je vous donne ma technique, moi, j’harcèle les gens.

Quand je veux rencontrer quelqu’un, j’insiste.

Je me rappelle d’une personne en particulier que je ne citerai pas.

Je me suis dit que cette personne avait une manière de penser très intéressante et que nous devions déjeuner ensemble.

J’ai envoyé un e-mail, puis un autre, tous les jours.

Pas de réponse, pas de problème.

J’ai décidé que plus on m’ignorait, plus j’enverrais d’e-mails.

Je suis donc passé à deux mails par jour.

Vingt-quatre heures plus tard, on a fini par me répondre.

Il faut forcer et developper son réseau..compliqué si on vends de mauvais produits

Malgré la réponse, j’ai continué à envoyer des mails.

J’ai osé spammer, encore et encore.

On a finalement convenu d’un rendez-vous.

Par habitude, je ne sais pas du tout ce que je veux dire lors d’un rendez-vous et cela ne me préoccupe pas.

Il faut simplement que le courant passe en personne.

J’ai rencontré cette personne et nous avons parlé de tout sauf du professionnel.

Depuis, nous sommes restés en contact et tout se passe bien.

J’apprécie beaucoup une personne en particulier, et cela semble réciproque.

Mais je dis cela parce que j’ai provoqué cette rencontre.

J’ai fait cela de nombreuses fois dans ma vie.

La plupart des gens que je connais aujourd’hui, je les ai rencontrés de cette façon.

Le seul que je ne connais pas encore, c’est Jean Rivière.

C’est assez amusant.

Pourtant, c’est un pilier incontestable de l’infopreneuriat francophone.

Je suis même sûr que le jour où je le rencontrerai, je serai déçu.

Non pas de lui, mais déçu que le courant ne passe pas.

Pourquoi? Parce que nos univers sont différents.

C’est juste pour le plaisir de dire : « Okay, on va déjeuner ensemble », et ainsi de suite.

Je connais beaucoup de gens qui le connaissent, mais je ne force pas la rencontre dans ce cas, je ne force pas le naturel.

Le réseau est important

Il est important d’aller à la rencontre des gens, d’essayer, d’avoir des contacts dans votre réseau.

Il faut aller déjeuner avec des gens, il faut faire des choses.

C’est certain qu’entre les enfants, le travail, c’est compliqué.

Il faut donc faire les choses dans l’ordre, commencer par faire du business tranquillement.

Il y a une différence entre un travail alimentaire et un travail de développement.

Certains à Paris veulent faire des choses, mais ils ont trop de choix, ils veulent faire beaucoup de choses, mais en fait, ils ne savent pas par où commencer.

Dois-je utiliser Podia, Clickfunnel ou WordPress ?

Quel logiciel de messagerie dois-je utiliser ?

Qu’est-ce que je vais vendre parmi les soixante-dix produits que j’ai en tête ? Et ainsi de suite.

Il faut toujours se remettre en question

C’est toujours les mêmes problèmes.

Une fois que l’on a surmonté ces obstacles, en général, c’est facile.
C’est normal.

Je ne suis pas forcément passé par là car j’ai eu une éducation commerciale un peu différente en raison de mon côté autodidacte.

Je ne me suis jamais contenté de suivre les conseils de quelqu’un, j’ai plutôt appris par moi-même.

J’ai expérimenté, évalué ce qui fonctionnait ou non, et si quelque chose était trop compliqué, je passais à autre chose.

La vérité absolue est la suivante : si quelque chose ne vous convient pas ou est trop compliqué, changez de cap et trouvez quelque chose qui vous semble simple.

La simplicité restera toujours au cœur du commerce.

Les affaires qui rapportent le plus sont souvent les plus simples.

Par exemple, aujourd’hui, j’ai beaucoup investi dans la crypto-monnaie, non pas en lançant de nombreux projets, mais en tant que consultant ou conseiller pour de nombreux projets.

Qu’est-ce qui est le plus simple ? Être consultant.

Pourquoi s’embêter à créer un projet complexe ? Je ne suis pas masochiste et je n’ai plus vingt ans.

Je n’ai pas la passion, je n’ai pas l’énergie et il y a des codes que je maîtrise moins bien.

Ce n’est pas une question d’argent, c’est une question de simplicité.

J’ai gagné beaucoup d’argent, certes moins que ceux à qui j’en ai fait gagner, mais j’en ai quand même gagné beaucoup.

Tout va bien.

J’aurais pu en gagner plus, mais à quel prix ?

C’est pour cela que je me remets constamment en question.

Pourquoi le fais-je ?

Est-ce pour le bien ou pour le mal ?

Chez Disor, j’aide les gens à réussir leurs projets quand ils m’écoutent, quand ils ne font pas n’importe quoi, quand ils ne sont pas obstinés.

J’ai des centaines d’histoires à raconter à ce sujet.

0 pérennité en vendant de mauvais produits

Ah oui, pourquoi font-ils quelque chose à côté ? J’ai des histoires incroyables à raconter à ce sujet.

Ce qui fait tomber les projets, encore une fois, ce ne sont pas les conseils, ce sont les personnes elles-mêmes.

Les gens prennent parfois de mauvaises décisions et s’étonnent malgré nos avertissements.

Il y a une différence entre être fou et prendre de mauvaises décisions.

J’espère que tout cela aura permis d’aider la personne concernée et d’autres.

J’espère avoir apporté le maximum de valeur possible.

Ce n’est pas un message très percutant, mais pour moi, c’est quelque chose qui guide mon esprit entrepreneurial.

La chose à retenir est que nos choix nous définissent.

Si vous voulez être un entrepreneur à court terme qui gagne un peu d’argent, alors c’est cela.

Si vous êtes un père de famille qui a besoin d’argent supplémentaire cette année pour offrir un beau Noël, alors on va créer des produits, même si cela génère un peu de SAV.

Dans ces deux cas, il n’y a pas de pérennité.

Alors soit on construit un business pour durer, pour s’ancrer sur le long terme, même si cela signifie que ce Noël pourrait être un peu maigre.

Il faut être prêt à accepter cela.

Il faut travailler tous les jours, construire son entreprise pierre par pierre.

Si vous mettez deux semaines pour choisir le nom de votre entreprise, cela ne va pas.

Il faut bouger vite et ne pas rester bloquer

Si vous mettez trois semaines pour obtenir un logo, ce n’est pas acceptable.

Vous devez y consacrer une heure, toujours aller rapidement, tester le marché rapidement et surtout trouver ce qui vous plaît.

Une fois que vous avez trouvé ce qui vous fait plaisir, vous graviterez autour des gens qui partagent ce plaisir.

Vous vous renseignerez, vous rencontrerez des gens, un jour vous direz : « Ah, si j’ai rencontré cette personne. »

Vous ne pouvez pas aller plus vite que ça.

Aujourd’hui, c’est certain que dans certaines sphères, c’est beaucoup plus facile parce que vous rencontrez des personnes.

Maintenant, dès que j’ai besoin de quelque chose, je sais que j’ai quelqu’un qui peut me rediriger vers la personne concernée.

Il y a une époque, ce n’était pas le cas.

Mais j’ai construit cela.

Cela a pris des années.

Quand il n’y a rien, je ne ressens rien.

Par contre, j’ai une réputation dans certains domaines.

Je fais attention à certaines choses.

On s’adresse à moi en tant que consultant, car j’ai construit tout le réseau nécessaire pour cela.

Cela me rend indispensable dans de nombreux domaines, même pour des questions juridiques, on fait appel à moi.

Oui, je confirme, aujourd’hui j’ai tout ce qu’il faut, mais parce que j’ai passé des années à penser à tout cela.

Et je ne suis pas encore à la fin, je ne suis pas dans une finalité.

Aujourd’hui, je n’ai pas pour but, mais j’aimerais bien pénétrer des marchés un peu plus physiques, tels que la promotion immobilière, et je suis en train de le faire.

Cela va prendre deux, trois, cinq ans, bien sûr.

Mais pourquoi pas ?

Je travaille dans l’ombre…

Pour conclure, je m’excuse pour la longueur de ce message.

Ça faisait longtemps que je n’avais pas publié un message aussi long.

Je vous souhaite un très bon week-end.

Et je m’excuse pour le manque de rigueur sur les podcasts.

Il y a souvent des problèmes de publication, parfois YouTube pose problème avec les vidéos.

Ma problématique est que j’ai parfois des problèmes avec les podcasts.

Parfois, il y a des erreurs sur YouTube, parfois ça ne publie pas correctement, je n’ai toujours pas compris pourquoi.

Il arrive que la vidéo ne soit pas traitée, cela arrive une fois sur quatre, une fois sur deux.

Parfois, j’oublie de programmer quelque chose, il y a des oublis, donc il y a clairement un manque de rigueur sur ce sujet, pour lequel je m’excuse.

Ce qui est certain, c’est qu’une nouvelle formation arrivera, je pense, à partir de fin septembre ou début octobre.

Ce qu’il faut savoir, c’est que je travaille dans l’ombre sur Web2fou.

Je lis tous mes sujets de formation, même si je ne sais pas exactement ce que je veux faire avec les détails.

Cela ne me prend pas longtemps.

Parfois, je m’y mets pendant une heure et je vais sortir huit formations avec les idées, je sais ce que je vais faire.

J’ai donc une longue liste de formations à réaliser, maintenant il faut juste les faire.

De petits problemes avec les podcasts

Ce que j’aimais avec le format du podcast, c’était la fréquence, avec des podcasts sept jours par semaine.

Mais je pense que je vais changer un peu de format quand je serai chez moi, peut-être plus de vidéos.

J’ai une idée de ce que je vais faire.

Je réfléchis à quelque chose de plus structuré, plus rigoureux, mais dans un format plus libre.

J’ai ma petite idée sur ce que je souhaite faire, dans laquelle je me sentirai à l’aise.

Je pense que nous recommencerons les lives, mais je ne ferai pas des lives axés sur le business, je ferai plutôt des lives de questions-réponses, des discussions.

Le problème, c’est que j’avais voulu le faire auparavant, mais il n’y avait personne qui osait participer.

C’est ennuyeux, et je n’ai pas envie d’organiser des rendez-vous, de gérer des plannings.

Il faudrait presque un assistant pour organiser tout cela.

Pourquoi pas? Je pense que je serais plus enclin à embaucher quelqu’un pour cela plutôt que pour le contenu, quelqu’un qui gérerait les rendez-vous, qui s’occuperait de l’organisation.

Il me faudrait une véritable secrétaire, une assistante de gestion, de direction, je ne sais pas trop.

Je vais y réfléchir.

En fait, je pourrais recruter quelqu’un pour cela.

Je sais que je le dis depuis longtemps, mais je pense vraiment que cette fois, je vais le faire.

Je vous souhaite à tous un très bon week-end.