Projets Cryptos Rentables, Thailande et Airbnb
Projets cryptos rentables mais avant ca…
Salam aleykoum.
Étant dans un pays arabe, beaucoup m’ont demandé si j’étais musulman.
Je ne comprends pas cette confusion. Est-ce que c’est la barbe et tout?
Hier, dans le taxi, j’ai même eu un gars avec qui je parlais qui a demandé si j’étais musulman.
Alors, je ne sais pas, c’est toujours un truc qui me fait marrer.
On me prend pour un arabe, un juif, un espagnol, ça me fait toujours rire.
Et donc, contrôleur des impôts aussi, enfin témoin de Jéhovah pardon.
Ça me fait toujours marrer, la question c’est : pourquoi certains pensent que je suis musulman ?
C’est-à-dire qu’aujourd’hui une religion est basée sur le physique, si je comprends bien ?
Ça m’échappe un peu.
Je connais des arabes qui ne sont pas musulmans, je connais des Indiens qui ne le sont pas, même si c’est beaucoup plus rare.
Enfin, je veux dire, il n’y a pas de logique.
Vraiment, c’est l’histoire de ma vie, ça fait des années, ce n’est pas récent, mais ça me fait toujours marrer et surtout je ne comprends pas pourquoi.
Alors, du coup, j’ai presque envie de voir un peu qui ça fait fuir si on parle de ce genre de sujet.
Ça me ferait marrer.
Bon, après, je n’irai pas chercher le diable non plus, mais voilà quoi.
On change d’AirBnb pour la 28eme fois
Enfin, ça me fait marrer, je ne comprends pas.
Sinon, beaucoup de choses à dire ou à la fois pas tellement.
Je change l’Airbnb aujourd’hui pour, je crois, la vingt-huitième fois si je ne dis pas de bêtises.
En faisant les comptes, on n’a pas eu de problème avec le dernier, il y a eu un problème encore, mais ce n’était pas méchant.
Les prix ont remonté, fin du ramadan.
Ce n’est pas aujourd’hui la fin du ramadan, mais sur les temps de location, c’est bientôt.
J’ai une bonne nouvelle aussi, je vais enfin véritablement pouvoir partir en Thaïlande.
Ça commence à se resserrer, on arrive vraiment donc en mai, ce sera bon.
Nouvelle mesure au premier mai, du coup, il n’y a plus besoin de quarantaine pour les non vaccinés, donc je suis plutôt content.
On doit juste avoir un test PCR négatif et il y a tout ce qu’il faut. C’est top.
Le Covid, ca me fatigue
Donc je pense que je vais y aller dans tous les cas avant que ça ne change.
Je pense qu’ils le font aussi pour la saison des pluies qui arrive, en mode « tant qu’à faire », ils vont voir comment ça se comporte.
Il y a quand même beaucoup de cas en Thaïlande, les Thaïlandais sont plutôt fébriles là-dessus.
Et moi, je vous avoue que j’ai chopé le covid là-bas. Je l’ai ramené à Dubaï, c’était quand même pas mal.
Il est un peu carabiné, ce n’était pas les autres petits covid que j’avais.
Rien de fou, mais ça te flingue un peu, physiquement et mentalement.
En fait, le problème que j’avais quand j’ai eu le covid, c’est que j’étais tout le temps fatigué, vraiment, et ça m’a un peu desservi.
Ça m’a un peu affecté, j’ai passé pas mal de temps au lit, mon cerveau n’arrivait pas à se concentrer, je n’arrivais pas à travailler, j’étais un peu aux fraises.
Comment je trouve des projets cryptos rentables ?
En plus, avec toute la charge mentale que j’avais pour les trucs de la Thaïlande qui ne me sont pas arrivés, j’ai traversé une période très difficile dans laquelle j’ai eu du mal à travailler.
J’ai loupé pas mal de projets pendant ce temps-là.
Les projets, ça va, ça vient, il ne faut pas s’inquiéter pour le business, mais après 15 ans d’expérience dans le business en ligne, j’ai vu plus d’opportunités et il y en a 15 autres qui arriveront derrière.
Le vrai sujet, c’est le réseau.
On me demande très souvent comment je fais pour trouver des projets en crypto, comment je participe dans des projets, comment ça se fait que j’ai autant de ressources, surtout dans les projets de crypto, etc.
Ce sont des questions de base un peu naïves, que je comprends.
La question n’est pas comment trouver des projets cryptos rentables..
C’est comme le mec qui fait 10k par mois sur du business en ligne et qui demande comment tu fais pour faire des vidéos YouTube ou des formations ?
C’est une sélection un peu naïve.
Ils sont critiqués, attention, je donne mon avis, pur et franc.
Je pense que ce ne sont pas les bonnes questions.
La question, c’est comment on arrive à décider quel projet tu vas choisir et si tu l’as choisi, par quel biais ça t’est arrivé ?
Ce sont des questions complètement différentes, pourtant ça donne les mêmes réponses en fait.
C’est important, et je vois beaucoup de personnes se tromper quand ils rencontrent des gens un peu connus ou des trucs comme ça, qui ne se posent pas les questions dans le bon sens.
Je ne sais pas, j’avais vu un sketch avec des Miss France, je crois, où il y a l’un qui lui disait :
« Alors, t’es Miss France ? Ben alors, Miss France, c’était bien ?«
C’est complètement débile, on ne pose pas ce genre de question.
C’est vraiment idiot.
La personne, c’est sa vie, elle a envie de parler de tout sauf de ça.
C’est un peu le même truc.
Moi, quand je rencontre des gens connus ou très bien placés dans le milieu de la crypto ou du business, je parle de tout, sauf de business.
D’abord, on parle de choses personnelles, on essaie de voir si on s’entend bien, on essaie de plaisanter un peu, on voit comment ça se passe, on essaie de créer un lien, même au niveau des passions, c’est ça.
On n’est pas en phase de séduction, on est en phase de découverte.
Donc, c’est important de parler sans trop se prendre la tête.
Alors comment me viennent les projets cryptos rentables ?
Alors, comment viennent les projets crypto ?
Bah, c’est pareil. Moi, du coup, je suis dans beaucoup de trucs différents.
Et à la fin, c’est une question de réseaux. C’est pour ça que j’ai écrit un service.
En fait, je vais vous l’expliquer.
J’avais fait une vidéo YouTube dans laquelle je parlais de « ketchup » depuis janvier.
L’idée, c’était d’aider ceux qui avaient du mal à cash-out la crypto, parce que c’est quand même très compliqué de le faire sans avoir de problème, selon où on est dans le monde.
Ça m’a fait rencontrer des gens, ça a été un accélérateur qui était voulu, pensé, réfléchi et stratifié pour ça, donc ce n’est pas anodin.
C’était d’aller trouver des mecs qui ont fait des millions, que ce soit en NFT, en tout cas, ou en autre chose, et qui passent par moi pour le faire.
C’est très simple, je n’ai jamais eu autant d’argent de ma vie entre les mains qu’en faisant du « cash-out ».
Je vous parle de dizaines de millions de dollars, de mecs sérieux, pas de scam ou de truc comme ça.
Parce que je fais mon propre travail, je me réserve le droit de dire non si la personne ne me donne pas la preuve de ce qu’elle a fait et des projets auxquels elle a participé, en toute transparence et discrétion.
Bien sûr, il faut faire confiance ou ne pas faire confiance, mais la question est de savoir si l’on a le choix.
Les projets cryptos rentables oui, surtout en terme de connexion
Cela m’a permis de rencontrer des gens très intéressants, car cela devient progressivement viral grâce aux recommandations, et les personnes viennent me voir.
Depuis le mois de janvier, j’ai dû travailler avec une trentaine de clients, peut-être plus.
Cependant, je ne travaille pas sur de gros projets, plutôt sur des projets de 200 000 – 300 000.
Parfois, je rends service.
Ensuite, je travaille de différentes manières.
Parfois, je travaille gratuitement, donnant deux ou trois idées ici et là.
Les clients apprécient, et ils me le font savoir.
Parfois, ils prennent mes idées, parfois non.
Au fil des années, j’ai appris à me faire confiance sur ce point.
La confiance est simple à obtenir : si vous êtes celui qui a l’idée, les autres peuvent vous la prendre, mais quand ils échouent, vous devez être présent.
C’est comme l’inventeur d’une idée qui est écarté pour que quelqu’un d’autre prenne possession de son invention.
Le processus de réflexion du cerveau de celui qui a l’idée est le plus important, pas l’idée elle-même.
C’est l’expérience qui nous l’apprend.
Donc, je ne m’inquiète pas si certains prennent mes idées ou les appliquent sans moi.
Le fait est que les gens deviennent dépendants.
Imaginons qu’une personne prenne une de mes idées gratuitement, l’applique et réussisse.
Quand elle reviendra, car elle reviendra, elle essaiera de refaire l’idée, mais cela ne fonctionnera pas.
Ensuite, elle reviendra en admettant son échec.
Cela m’est déjà arrivé.
Puis certains me sollicitentpour de nouveaux projets
Pour une idée, certains me sollicitent de nouveau, souhaitant que je rejoigne leur équipe.
Cependant, il y a des personnes un peu malveillantes, et je les mets de côté.
Je ne les conseille pas de la même manière, mais je profite de leur volonté à me réintégrer pour obtenir une rémunération conséquente.
Ces individus sont coincés, ils ont besoin de mon esprit et de mon cerveau.
Ce réseau ne me plaît pas trop, car ce sont des projets médiocres, tels que des NFT mal conçus.
Ce ne sont pas des personnes que j’apprécie, mais j’aime récupérer mon dû.
Ensuite, il y a des gens qui me font confiance naturellement et me recommandent.
Je suis quelqu’un qui donne de bonnes idées et avance sur les projets sans trop réfléchir.
J’essaie d’analyser les gens et leurs profils, et je choisis ce que je fais en fonction de cela.
Selon mes choix, je sais à peu près avec qui je vais travailler.
Travailler sur un mauvais projet avec des personnes moyennes ne m’intéresse pas, car cela peut causer des problèmes de communication.
J’ai vécu des situations où nous étions trop nombreux pour un petit projet, c’était l’enfer.
Je préfère éviter cela, en toute honnêteté.
En fin de compte, tout cela crée un réseau, car lorsque les projets réussissent, les personnes impliquées souhaitent encaisser leurs gains.
Des projets cryptos rentables… et des projets médiocres
Pour les personnes qui réalisent des projets médiocres, je leur dis que je suis d’accord pour les aider, mais à condition qu’ils me réfèrent à quelqu’un d’autre.
Je prends ma commission, bien sûr, et je m’appuie sur ces recommandations pour avancer.
Ensuite, le troisième point est que je rencontre des gens qui me parlent de leurs projets, je leur donne des idées gratuitement et parfois, on me propose d’être conseiller.
C’est moi qui ai proposé cela au départ.
Parfois, on m’ajoute à des groupes et j’ai de nombreux comptes Telegram différents, ainsi que plusieurs noms, car je ne veux pas que l’on sache qui je suis réellement.
Cela peut paraître schizophrénique, mais j’ai toujours fonctionné ainsi, même dans le business en ligne.
J’étais à l’aise avec plusieurs comptes Skype, plusieurs entreprises et en me faisant passer pour différentes personnes.
Je réitère les mêmes processus que je maîtrise et qui m’ont permis de progresser.
Il faut faire attention aux personnes avec qui l’on travaille, car cela me permet de pénétrer différents réseaux.
Les gens savent que je travaille sous un pseudonyme et, à la fin, ça fonctionne.
Soit ça marche, soit ça ne marche pas, et si ça ne marche pas, ce n’est pas très grave.
Si le projet était bon et que l’équipe s’est donnée à fond, j’ai envie de projets dans lesquels les personnes sont engagées, pragmatiques et déterminées, même si cela ne réussit pas.
On doit echouer, et avancer
C’est un peu comme une entreprise : on a le droit d’échouer avec un produit, puis d’en créer un autre.
Un produit peut être une collection NFT ou autre chose, on a le droit d’échouer et de réitérer, il n’y a pas de problème.
Cela me semble logique.
Ce qui est bien et ce qui ne l’est pas, c’est que les gens voient cela comme une histoire d’argent et qu’on prend l’argent des gens.
Ce qui me dérange, c’est notamment dans les tokens et tout ce qui s’y rapporte.
Le truc qui est bizarre, c’est que bien sûr qu’on s’enrichit parce que les gens payent.
En fait, il n’y a rien d’étrange.
Tu as un produit, tu l’achètes, la personne en face gagne.
Si Amazon gagne de l’argent, c’est parce que tu lui achètes des produits.
Donc, il n’y a rien de nouveau.
Maintenant, la question est de savoir si tu crées un produit sans valeur et que tu fais croire qu’il en a une, et que derrière, tu trompes des gens.
Dans ce cas, c’est malhonnête, et je ne m’implique jamais dans ce genre de projets.
Il faut toujours une proposition de valeur.
Je ne travaille que sur des projets qui ont des propositions de valeur.
Après, que les gens réussissent ou échouent, c’est comme lorsqu’on lance une formation, que les gens achètent et ne sont pas satisfaits.
Faut-il rembourser ou pas?
Cela dépend de l’honnêteté des personnes impliquées.
Il faut vraiment un SAV dans le web3
En général, les gens avec qui je travaille, si vraiment ça ne fonctionne pas, ils remboursent ou trouvent des solutions intelligentes.
C’est-à-dire qu’ils offrent d’autres avantages ou s’investissent davantage pour résoudre le problème.
Ce qui manque aujourd’hui, c’est du service après-vente.
Je pense qu’il faudrait créer une agence de service après-vente dans la crypto, qui se chargerait de revoir les projets pour assurer un suivi.
Pour moi, cela semble essentiel, car il y a un manque de satisfaction client dans la crypto.
Où est le service client?
Il n’y en a pas, il y a des community managers, mais il n’y a pas de service client. Je trouve donc cela pertinent. Pour obtenir tous ces projets, je mise surtout sur les recommandations.
Quand un projet me plaît, il est rare que je contacte les gens directement, car on ne peut pas s’imposer en disant : « J’aimerais être conseiller de ton projet ».
Ce n’est pas une approche appropriée.
Il y a des conseillers et des conseillers, car je vois certains qui franchement ne sont pas très compétents.
Les réussites des projets dépendent de toutes les équipes, y compris les conseillers.
Ce ne sont pas les conseillers qui font les projets, mais leur but est d’aider les gens à atteindre leurs objectifs.
L’Advisor n’est pas responsable de la réalisation du projet ou de son succès, il peut donner son avis pour augmenter les chances de succès.
Cependant, c’est l’équipe et ses membres qui vont réaliser le projet.
L’impact d’un advisor dans les projets cryptos rentables
L’Advisor peut avoir un rôle important, car il y a un impact psychologique et humain, qui est non négligeable mais difficile à quantifier.
Ensuite, selon la manière dont les gens ont travaillé et écouté, mon objectif est de travailler avec des personnes qui mènent des projets sérieux sur le long terme.
Généralement, je propose une rémunération plutôt modeste pour le premier projet, en restant bienveillant.
Si le projet fonctionne bien, on peut envisager une rémunération plus importante, en accord avec le porteur du projet.
Car il faut comprendre que les gens qui gagnent de l’argent sur un projet vont, quoi qu’il arrive, réitérer l’expérience et auront toujours besoin de toi.
En fait, c’est un gagnant-gagnant, c’est un jeu de négociation.
De base, j’ai eu des études commerciales, je reste dans cette logique de win-win, je reste dans cette logique de bienveillance.
Je suis prêt à accepter une rémunération plus basse la première fois, mais si ça marche, il faut revoir les conditions.
Après, il y aura ceux qui n’iront pas jusqu’au bout, ça va arriver, mais ce n’est pas un problème, c’est la vie.
Dans ces cas-là, bonne chance sur les prochains projets.
Franchement, dans 80% des cas, les gens qui sont mauvais comme ça font peu ou font de la médiocrité, ils sont repérés et grillés dans le milieu.
Bien sûr, on ne se connaît pas tous dans tous les pays, mais on gravite toujours autour des mêmes personnes et on est toujours à un contact de quelqu’un.
C’est pas vraiment compliqué de bosser sur des bons projets cryptos rentables.
C’est une question qui revient souvent, je voulais y répondre ici.
J’espère y avoir répondu de manière exhaustive. Sur ce, je vais faire ma valise et changer d’Airbnb.
Voilà, à bientôt.