S’expatrier en Thailande : Une situation COVID qui complique tout
Thailande : J’arrive !
J’espère que ce message ne sera pas trop long, il sera forcément un peu long, mais voilà.
Je pense que ça va parler du Covid, car cela a été une décision importante et un vrai tournant.
Donc, je risque d’en choquer certains, ou pas, en vérité, cela n’a pas d’importance.
Ce ne sont pas des choses que l’on peut faire mécaniquement sur YouTube ou ce genre de plateforme.
On teste les eaux et montagnes en Suisse avant la Thailande
Alors, cet été, je suis parti un peu en Suisse en vacances.
On avait une idée, on voulait s’expatrier en Suisse et cetera, on voulait aller vérifier deux ou trois choses, notamment dans le Valais, une région que l’on apprécie beaucoup, soit dit en passant.
Pourquoi ?
Eh bien, beaucoup de raisons, la montagne, moi je suis un féru de montagne et de ski et le ski me manque.
Finalement, peu importe où j’aurais pu être dans le monde ces deux dernières années avec le Covid, c’était compliqué.
L’année dernière, j’ai loupé ma saison de ski en Géorgie, en Suisse, j’ai fait que des mauvais choix avec le Covid, la famille, et cetera.
Est-ce qu’on y va, on n’y va pas ?
Ça a été très très compliqué, du coup je n’ai vraiment pas pu skier.
J’ai bien skié
Donc cet été, je me suis fait plaisir, on est allé à Tignes, en Savoie et on a skié l’été, sur un glacier.
Le principe de voyager en Suisse était basé là-dessus, notamment dans le Valais, parce qu’il y a beaucoup de glaciers, enfin il y en a deux spécifiquement, ça fait pour les Suisses.
Qui me plaisent pas mal, pour plein de raisons.
Et l’idée, c’est de s’installer, on va aller acheter une maison, et cetera.
On a regardé un peu, on ne voulait pas mettre plus d’une certaine somme, mais passons.
Et le problème, c’est que la Suisse est très chère.
Pas tant dans l’immobilier, bien que quand même, l’immobilier reste un peu cher.
J’ai bien compris qu’en Suisse, c’est le projet d’une vie d’avoir une maison.
Ce n’est pas une normalité, c’est plutôt le projet d’une vie. Surtout qu’il faut être très très riche pour habiter en Suisse.
Alors, pas tellement, parce que finalement, il y a des choses à faire.
Donc je me suis renseigné sur le sujet, et cetera.
La Suisse : Un choix de coeur
La Suisse est un choix de cœur, donc j’ai consulté des avocats, j’ai payé pour des consultations afin de vérifier les bonnes installations, car je veux être bien accompagné lorsque je fais les choses.
Il ne s’agit pas de faire les choses à la légère, en mode « salut, je débarque dans le pays« .
Je suis accompagné d’une femme, d’une enfant et de plusieurs sociétés, ainsi que d’une fiscalité personnelle, donc il ne faut pas se tromper.
J’en ai profité pour ouvrir deux comptes bancaires, dont un que je ne regrette absolument pas.
Une banque incroyable qui me correspond et me concerne.
Du coup, après une longue hésitation, est-ce qu’on va en Suisse ou pas ?
L’idée, c’était oui, on a acté.
Ce qui me plaisait en Suisse, c’est le côté neutre des choses.
Bien sûr, la Suisse n’est plus neutre depuis longtemps, mais il y a une sorte de différences qui se passent en Suisse.
Et puis disons-le, les Suisses parlent quand même mieux français que les Français.
C’est plus poli, c’est plus agréable et ce ne sont pas les mêmes réflexions.
Mon passage dans la vallée m’a montré qu’il y avait beaucoup de business à faire aussi là-bas.
Opportunités Business En Suisse
Donc, même si la Suisse est un pays plutôt avec des banques, des assurances, c’est-à-dire en grandes pompes, du costume cravate et cetera, ce qui n’est pas trop mon délire, il y en a quand même de plus en plus.
Le Val est terre d’accueil de beaucoup de multimilliardaires, etc.
Le ticket des impôts en Suisse, c’est 200 000 par an au forfait, sinon je m’en sortais à peu près à 50 000, et je vous laisserai faire les calculs.
Dont 70 000 a 90 000 juste sur l’impôt sur la fortune.
Payer pour posséder de l’argent sur un compte, ça me dérange énormément.
Je pars du principe que j’ai travaillé, ce n’est pas pour qu’on me prenne mon argent simplement parce qu’il est sur un compte.
Enfin, le principe de la Suisse, c’est d’investir. Investissements éthiques ou non.
La France me gêne moins d’un point de vue impôt, puisque cela fait sens.
Je ne peux pas défendre des impôts plus que ça, mais dans le sens où on est imposé à la source, aux revenus, etc., et on ne se paye pas pour posséder de l’argent.
C’est plutôt positif. Par contre, on contrôle littéralement ton argent, ta vie, et c’est assez compliqué.
Tu n’as pas de liberté, dès que tu veux faire un virement, c’est compliqué, que tu sois résident ou non-résident.
Je pense que je vais fermer mon compte.
J’essaie toujours de garder un peu d’argent en Europe et notamment en France pour faire des choses, mais la plupart de mon argent est parti.
J’essaie d’avoir une vue d’ensemble sur la Thailande et autre part
Pourquoi je raconte tout ça ?
C’est pour que vous puissiez comprendre l’intégralité.
Du coup, une situation compliquée, mais j’ai de très bons avocats, de très bonnes personnes qui me trouvent des solutions pertinentes.
En septembre, arrive la phase sanitaire.
Passe sanitaire en Suisse, dès que c’est obligatoire.
Mais on l’étend jusqu’au 12 janvier.
À ce moment-là, ma femme me dit que le 12 janvier c’est bon, le temps qu’on arrive et tout ça.
Ce n’est pas une date prise au hasard.
Donc je me méfie.
Que faire ?
Le monde change, les restrictions sont de pire en pire, notamment en France, c’est incroyable.
Il n’y a pas que la France, mais il faut regarder un peu ailleurs aussi.
Chapeau bas à la France, vraiment, d’un point de vue violence globale.
Ça ne vaut pas les tirs dans la foule qu’on a eu à Rotterdam pour des manifestations antivax, peu importe ce qui s’est passé, on a quand même tiré à balles réelles sur des gens.
Tout va bien, on est en Europe, démocratie, on se sent en sécurité dans les rues de Rotterdam.
Tout va bien.
La vraie problématique : Quoi faire ? Aller en Thailande ?
La problématique, c’est de décider quoi faire.
Alors, on y va.
Moi, je ne suis pas vacciné, j’ai fait le choix de ne pas me vacciner, ma femme non plus.
Ce n’est même pas une question de convictions ou quoi que ce soit.
Pour moi, je reste toujours un peu mercenaire et pragmatique.
Je ne vois pas l’intérêt de se vacciner.
À part éviter d’avoir une forme grave, je crois avoir eu le Covid, j’avais été positif à un moment donné.
Si le test était bon, je n’ai pas eu de séquelles.
Tout va bien. Éviter de contaminer les autres ?
Le vaccin ne fonctionne pas très bien pour ça, donc il n’y a pas vraiment de sens à se vacciner.
Je n’ai pas trouvé d’utilité, à part s’injecter un produit qui crée des choses dans ton corps, ce n’est pas forcément mon délire.
Bien qu’il y ait d’autres vaccins qui fassent des choses très intéressantes, je ne suis pas contre les vaccins.
J’ai vacciné ma fille sur tous les vaccins, ma femme a fait le vaccin contre la grippe quand elle était enceinte.
Ça pose des questions.
Je suis assez pragmatique sur ces sujets-là.
Par exemple, ma femme a fait le vaccin contre la grippe parce qu’en effet, si jamais elle attrapait quelque chose pendant qu’elle était enceinte et c’était en plein hiver, cela pouvait être problématique.
Donc pragmatisme, on fait le truc.
Celui du Covid, je ne vois pas l’intérêt aujourd’hui. Je ne ferme pas la porte, mais je ne vois pas l’intérêt. Je n’entrerai pas dans des délires de complot, mais on en reparlera peut-être dans un deuxième message.
Voyager devient compliqué : Dubai, la terre promise ?
Du coup, très compliqué, parce qu’il faut bouger, etc.
Dubaï reste une belle terre promise, pas de problème, je veux dire, pas de passe sanitaire, vaccin ou non, vous allez au resto, tout va bien, il y a juste le masque.
Dubaï, encore une fois, est hermétique au reste du monde, c’est assez intéressant.
Donc pourquoi ne pas rester à Dubaï dans cette situation-là, en attendant de voir comment le monde évolue et comment le monde part en vrille, pour savoir comment se positionner ?
Moi, j’ai toujours dit que je ne veux pas être le premier, je veux être en second plan, toujours celui qui ajuste les positions en fonction des premiers qui bougent.
À la fin des cryptos et du Bitcoin, je ne suis pas le Bitcoin.
Je préfère être comme Pancake plutôt que comme le Bitcoin.
On va rester a Dubai pour temporiser
Dans l’idée, c’est ça. En tout cas, c’est mon raisonnement.
Du coup, qu’est-ce qu’on fait ?
On reste à Dubaï.
Sauf qu’en revenant de France et de Suisse, deux jours après être revenu, ma gamine est tombée malade, on n’a pas compris pourquoi.
On a tous fait un test, on se dit que ça a passé.
Elle toussait pendant une semaine, puis deux semaines.
Là, on commence à s’inquiéter, on va voir le pédiatre, qui nous dit qu’il y a des maladies à la crèche.
Ça nous a fait penser à la crèche, enfin, ce ne sont pas des crèches, mais des camps, c’est un peu la même chose.
Du coup, on se dit d’accord.
On retourne voir le pédiatre deux semaines après.
Il pense que c’est une succession de maladies à la crèche, mais on s’inquiète parce qu’un mois, c’est quand même long.
On est pragmatiques, alors on va consulter d’autres personnes, des allergologues.
C’est compliqué pour les allergies, car elle est trop petite.
On fait passer des tests, ça coûte cher, mais heureusement, j’ai une bonne assurance santé.
C’est remboursé, mais on n’a pas pu déterminer les allergies.
Je ne vais pas trop m’étaler sur la vie de ma fille, mais on n’a pas trouvé ce qu’elle avait.
On continue à chercher.
Des cafars encore et encore
En parallèle de ça, quand on est revenu, on s’est retrouvé avec des cafards chez nous.
Alors les cafards, je ne connaissais pas.
J’ai eu des fouines chez moi, des marteaux, des fourmis, j’ai vécu des trucs assez dingues dans mes maisons, comme des fourmis charpentières.
Il m’est arrivé beaucoup de choses, certaines probablement dix fois pire, mais les cafards, je ne connaissais pas.
Cela pourrait également expliquer pourquoi ma gamine était malade.
Alors, les cafards, on n’a pas vraiment compris, mais a priori, il y avait une petite fuite d’eau et également, je pense qu’il y avait un problème dans une clim qui ne marchait pas ou qui faisait de l’humidité, notamment dans la pièce où je travaille.
Du coup, on ne s’était pas assez préoccupé des cafards.
D’ailleurs, j’avais fait un post sur un sujet comme ça sur Telegram, où j’avais parlé des cafards et des fourmis.
Le problème, c’est qu’il y avait une fuite d’eau, et ma femme a remarqué une petite tâche sur le mur il y a une semaine.
En fait, le mur commençait à moisir.
On se sent coincé et malade
À Dubaï, c’est très compliqué d’aérer parce qu’on est dans des buildings et on ne peut pas ouvrir les fenêtres en grand à cause du risque de tomber.
Si la climatisation présente des difficultés, le taux d’humidité dans les pièces atteint environ 65-70%, voire 80% dans l’air.
Il paraît que le taux normal est de 55% pour éviter d’avoir des problèmes.
Ce qui m’a surtout inquiété, c’est la moisissure.
On a enlevé un cadre, un tableau, enfin une glace, et derrière la glace, il y avait une sorte de papier kraft qui était entièrement moisi.
Je ne sais même pas comment on n’a pas senti qu’il y avait de la moisissure, tellement il y en avait.
Et donc, grosse panique, c’est-à-dire que je travaille là toute la journée, je respire ça, ça peut être un peu toxique et tout, mais surtout ça commence à faire sens entre la moisissure, les cafards, la fuite d’eau, le problème de climatisation et cetera.
Donc on a tout réglé, problème avec la propriétaire et cetera, c’est bon.
Je passe tous les détails, tout est plus ou moins arrangé, mais même le parquet a commencé à un peu noircir, donc à la fin, ça part vraiment en vrille, ça tombe bien, en location, on se casse.
Impossible d’etre productif.
Aucun compromis pour la santé de ma fille
Le souci, c’est que quand ça atteint la santé et notamment celle de ta fille, tu te dis que tu ne sais pas si c’est ça et finalement je ne sais toujours pas, ce n’est pas grave, mais il faut peut-être quand même qu’on agisse.
Donc on s’est dit : est-ce qu’on reste à Dubaï ou pas ?
Le problème de Dubaï, c’est qu’il faut constamment bouger tous les ans. Ça me va très bien, mais il faut surtout être dans des nouveaux bâtiments, ça coûte un peu cher et cetera.
On rajoute à ça aussi l’expo et les prix ont juste été multipliés par deux au niveau des logements.
Donc on se retrouve avec un logement qui coûte deux fois son prix d’il y a un an.
Autant dire que moi, je n’y vais pas. Aujourd’hui je paye mon loyer 3 800€ à peu près, passer à 4 000€ ?
Je ne veux pas, c’est cher.
Venez à Dubaï, comprenez la vie avant de juger quoi que ce soit sur un sujet comme ça, je le dis parce que la plupart ne connaissent pas, ça revient à un loyer d’environ 4 000€ en France, pour faire simple.
Payer le meme prix pour moins bien
Du coup, on a regardé ensuite, moi je ne suis pas chaud pour payer, en fait notre seule solution c’est de payer le même prix pour deux fois moins bien.
Donc soit on paye 8 000€, soit on paye 4 000€.
Moi ça ne me dérange pas de payer si on est bien, bien travailler, bonne santé et c’est pour ça qu’on met de l’argent, donc ça me va.
Mais pas dans des conditions compliquées.
Je m’explique, je veux dire, on a acheté un appartement, enfin je passe les détails de ce qui s’est passé, ma vie est beaucoup trop compliquée pour vous raccrocher les points, donc à mon avis il y a des choses qui vous sembleront bizarres à l’oreille quand je vais les expliquer, mais il y a trop de choses à dire, ça prendrait une heure, une heure et demie.
Du coup, on se dit : est-ce qu’on achète un appartement ?
COVID, pass sanitaire, fiscalité, Thailande
Qu’est-ce qu’on devrait faire ?
Nous aimons Dubaï en soi, mais il y a des endroits où nous voudrions vivre, donc forcément, nous avons des doutes.
En outre, nous sommes préoccupés par la situation sanitaire, et le renouvellement de notre bail arrive à échéance fin décembre.
Nous nous demandons donc si nous devrions renouveler pour six mois ou bien partir et chercher un autre appartement.
Ou bien, devrions-nous nous expatrier ?
Notre situation est très compliquée, car nous ne savons pas comment le monde va évoluer.
Nous nous posons des questions sur la vaccination obligatoire, le passeport sanitaire, la fiscalité, etc.
Bien que je pense que le passe vaccinal est une réalité qui allait tôt ou tard arriver, je ne sais pas pourquoi ils ont accéléré les choses.
Dans tous les cas, nous nous demandons dans quel pays nous pourrions vivre confortablement, être en mesure de sortir, voir la mer, se promener dans les forêts même pendant un confinement.
Nous avons discuté de cela avec des avocats, qui nous ont posé la question suivante :
Est-ce que nous voulons vivre dans un endroit où nous pouvons profiter de la vie, ou rester enfermés chez nous ?
Où est-ce que nous pourrions vivre notre meilleure vie ?
Dubai a été le meilleur endroit pour vivre en confinement
Quand je dis aux gens que le confinement ne nous a pas traumatisé à Dubaï, et que nous avons enchaîné confinement et été sans souci, certains nous regardent avec des gros yeux.
Ils ne comprennent pas comment cela a été possible.
Pourtant, pour nous, Dubaï était vraiment le meilleur endroit où être pendant cette période.
Je préfère être à Dubaï pendant le confinement plutôt qu’en France, où l’on se sent contrôlé par la Gestapo et d’autres organisations.
À Dubaï, les règles sont claires, simples, fluides, et elles ont du sens.
Elles ne nous dérangent pas, surtout en tant qu’entrepreneurs.
En France, je ne saurais pas dire si c’est le cas.
Il y a des gens bizarres qui cherchent à nous embêter, c’est comme ça que je résumerais la situation.
Du coup, c’est très compliqué pour nous. Devrions-nous quitter notre logement ?
Acheter une maison ou un appartement ?
Dans le pire des cas, nous pourrions partir, mais cela ne résoudrait pas tous nos problèmes.
En tant que non-vacciné cherchant une vie normale, il y a peu d’endroits dans le monde qui nous conviennent.
Nous avons commencé à regarder vers le Monténégro et d’autres endroits en Amérique du Sud, mais cela nous éloigne de ce que nous voulions, c’est-à-dire la montagne.
La Suisse est devenue plus stricte
Je me dis que la Suisse est en train de partir en vrille.
Chronologiquement, ce ne sera peut-être pas le cas, mais le fait est que la Suisse a changé ses règles et a donné le pouvoir à la fédération, sans que les Suisses aient véritablement leur mot à dire.
Il y a eu un trucage lors de ce vote, et maintenant le gouvernement dispose de tous les pouvoirs, ce qui pour moi est dramatique et complètement fou.
Cela ne correspond pas à l’histoire de la Suisse, et c’est inquiétant.
Je ne suis pas un fervent défenseur de l’histoire de la Suisse, mais c’était justement la raison pour laquelle nous voulions y aller, et finalement, nous avons été déçus.
Actuellement, tous les pays semblent bafouer les constitutions et les lois, donc il faut revoir notre position. Sommes-nous prêts à consacrer autant d’efforts pour le ski, la neige, la montagne, et tout ce que nous aimons, ou pas ?
COVID : Liberté ou Santé ?
Une phrase résume bien le choix :
Préférons-nous nous faire vacciner, respecter les règles et vivre sans trop de soucis, ou bien vivre pleinement en prenant le risque d’avoir une vie plus courte ?
Personnellement, je ne suis pas fan de la pollution, des restrictions, et tout ce qui est en lien avec cela.
Je préfère vivre ma vie sans me prendre la tête avec des règles contraignantes, même si cela signifie prendre des risques.
En fait, cela me causerait plus de problèmes d’angoisse et de problèmes pour moi et ma famille que tout autre chose.
La situation est très compliquée.
Le temps passe et nous devons prendre une décision auprès de notre propriétaire.
Il y a des lois à respecter et il faut la prévenir.
Nous lui avons donc dit que nous voulions partir, et nous avons un mois ou un mois et demi pour trouver un nouveau logement.
Nous avons réalisé que peu importe où nous allions, le monde était en train de partir en vrille.
Ensuite, nous avons déplacé des gens en Suisse, au Monténégro, et ailleurs.
Nous nous sommes demandé ce que nous allions faire.
Pour l’instant, personne ne voit le rapport avec la Thailande, mais c’est normal.
En tant que pragmatique, je pense que le problème est que nous devons être flexibles.
Nous devons être prêts à partir à tout moment, changer de pays rapidement, en fonction de ce qui se passe dans le monde.
Nous devons être libres de vivre comme nous l’entendons, sans attaches particulières.
La liberté a un coût, et il est de plus en plus difficile à payer.
Comment devenir plus flexible ? En Thailande ?
Alors, qu’est-ce qu’on fait ? Comment devenir plus flexible ?
Alors, à propos de Dubaï, il nous reste un an avant le renouvellement des boîtes et des machins, je vous épargne les détails.
Je vais avoir environ 35k de frais de boîte aujourd’hui, peut-être même 40k, hein.
Donc, qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
Est-ce qu’on coupe des boîtes ?
Mais on a besoin de boîtes pour les visas et autres formalités.
Il y a plein de détails techniques, mais la seule chose à retenir est de savoir si on reste dans l’appartement ou pas, étant donné qu’on l’a acheté.
Est-ce qu’on peut obtenir un visa investisseur pour rester dans l’appartement ?
C’est compliqué à expliquer, car il y a de nombreuses variables importantes.
Quid des États-Unis ?
En cas de retournement de la Suisse, on avait prévu de s’expatrier dans le Nevada aux États-Unis, plus précisément au Lac Tao.
Il y a une station de ski à proximité, ainsi qu’un très beau lac.
C’est un peu Suisse et un peu riche, mais super.
La maison n’est pas abordable, mais c’est possible.
Bon, nous pouvons tester l’Amérique pendant quelques années.
Le Lac Tao a six à huit stations de ski, sans glaciers, mais c’est pas grave.
C’est cool, entre la mer et la montagne quoi.
Enfin, c’est à environ trois heures ou deux heures et demie de l’océan, ce n’est pas mal du tout.
Nous avons donc regardé les démarches à suivre, mais en même temps, la mer a fait une grosse annonce :
Tous ceux qui ne sont pas vaccinés ne peuvent pas entrer sur le sol.
Canada a également mis en place des mesures similaires.
En gros, le monde est en train de partir complètement en suicide.
Maintenant, si tu n’as pas la marque de la bête sur toi, tu vas crever. C’est un peu l’idée.
Personnellement, je reste pragmatique.
Bon, ça commence à me gonfler cette histoire.
Qu’est-ce qu’on fait ?
Donc, on me propose de partir aux États-Unis, et je commence à changer d’avis.
Je me dis que je suis le premier à dire que quand on ne peut pas combattre dans une cour, il faut changer de cours.
Donc, je réfléchis deux secondes et je me dis que c’est elle.
Tu te rends compte qu’à chaque fois que tu fais un choix ou que tu veux aller quelque part, ça finit toujours par merder.
Donc, il faut réfléchir différemment et se demander quelle est la raison de notre échec.
Inversons la Réflexion
J’adore inverser ma réflexion.
Du coup, je peux aller partout.
Peu importe où je vais, il faut que je puisse être mobile à tout moment.
C’est ainsi que je suis arrivé en Thailande.
Je m’explique, à Dubaï, la nature nous manque et tout ça.
Moi, je ne suis pas très fan des grosses araignées, des serpents et des moustiques qui te piquent à longueur de journée.
Je suis à Dubaï pour d’autres raisons et je suis très content.
C’est même flippant, enfin, d’ailleurs, c’est très très flippant.
Il y a des cours d’eau et tout, mais il n’y a pas de moustiques.
Moi, je suis un taré des bestioles, mais j’ai des petits traumatismes.
J’en ai parlé au début, j’avais des fourmis, des machins, des serpents, j’ai plein de trucs, voilà, bref.
Il faut savoir que mes grands-parents étaient fermiers et mon grand-père était chasseur.
Donc, j’ai des serpents dans les granges, j’en ai vu, je pense que ma sœur aussi.
Bref, des trucs, j’en ai vu des trucs, des serpents décapités, des vipères, des machins, enfin, il y a pas, enfin voilà, bref, des grosses araignées colossales et pas de problème.
On est arrivé sur la Thailande
La Thailande ne fait pas partie de mes destinations de prédilection, en particulier tout ce qui concerne les araignées. Je ne suis pas très à l’aise avec ces choses-là, et je ne vois pas l’intérêt de les manger.
Mais bon, finalement, à côté de l’effondrement du monde, les araignées ne sont peut-être pas si mal.
Nous pourrions peut-être les choisir à la place, mais nous devrons faire attention.
Le seul inconvénient que je trouve en Thailande, c’est que c’est un peu bordélique et pas très propre, mais je ne suis pas fou non plus.
Quand je pars de Dubaï, je trouve difficile de dire que les autres pays sont vraiment super bien.
Dubaï est un endroit particulier, il faut y vivre pour comprendre.
Au début, j’ai refusé d’y aller, mais finalement, je pense que c’est peut-être le meilleur endroit.
En fin de compte, que se passera-t-il ensuite ?
Tout me stimule en Thailande
En Thailande, ce qui me plaît, c’est avant tout les gens et leur culture stimulante.
Pour ma fille, je veux qu’elle apprenne l’anglais, mais sans pour autant perdre son français, qui est une langue importante à mes yeux.
Peut-être qu’elle apprendra aussi le russe plus tard, mais elle a encore le temps.
En ce qui me concerne, j’ai besoin de repos, après avoir travaillé dur et gagné pas mal d’argent.
En Suisse, le rythme effréné de la course au profit me pesait.
Je n’aime pas aller quelque part et perdre de l’argent, surtout quand les impôts et autres charges s’y ajoutent.
J’en ai assez de cette fuite en avant constante pour toujours gagner plus.
Maintenant, je suis en sécurité, du moins en apparence.
Mais qu’est-ce qui se passera ensuite ?
Les pieds au bord de l’eau en Thailande
Le sujet qui suit, c’est quoi ?
Eh bien, le sujet qui suit, c’est le fait qu’on peut profiter d’un mode de vie moins cher tout en ayant la possibilité de se baigner.
Finalement, ce n’est peut-être pas tellement moins cher qu’à Dubaï, hein.
Je veux dire, à part le loyer, bien sûr. Enfin, ce que je veux dire, c’est que nous sommes dans une ville occidentale avec une piscine, une vue sur la mer, et tout ça.
C’est vraiment sympa, je dois dire.
Mais ça peut aussi être un peu casse-tête, car il faut faire attention à ce que l’on fait, où l’on va, et tout ça.
Pour ma part, j’aimerais bien avoir quelqu’un pour s’occuper de tout ça à ma place.
Ça serait vraiment bien !
Je pourrais dire : « Voilà, j’ai regardé, j’ai checké tout ça, c’est bon« .
Mais en réalité, il y a toujours quelque chose à vérifier, à surveiller, et ça peut devenir vite fatigant.
J’aimerais vraiment avoir quelqu’un qui s’occupe de tout ça pour moi.
Quelqu’un qui me donne les informations dont j’ai besoin, qui me résume tout en une phrase ou deux.
Je pense que je vais finir par embaucher quelqu’un pour ça.
J’ai besoin d’un manager
En fait, je rêve d’avoir quelqu’un qui me suive partout.
Quelqu’un qui gère tous mes trucs à ma place.
Quelqu’un qui habite chez moi, même.
Mais bon, c’est juste un rêve, bien sûr.
En tout cas, je suis vraiment débordé en ce moment, et j’aimerais vraiment pouvoir relâcher un peu la pression.
C’est pour ça que j’ai décidé de partir en Thailande.
Le décalage horaire est intéressant, car ça me permettra de dormir un peu pendant les heures de travail en France.
Et puis, ça sera aussi l’occasion de découvrir une nouvelle culture, de nouvelles choses, de nouvelles personnes.
Bref, je pense que ce sera une expérience vraiment enrichissante.
Point pesant : La vie entrepreunariale est différente en Thailande
Un point négatif de la crypto, c’est que les horaires de lancement sont en UTC, et quand on est loin dans le monde, c’est difficile à gérer.
Donc c’est compliqué.
D’un autre côté, je me rapproche de certains de mes associés et de mes amis, donc il y aura des choses à faire différemment.
Le point négatif est que les entrepreneurs à Dubaï sont extraordinaires, mais en Thailande ce n’est pas la même chose.
Les personnes qui vont en Thailande ne sont pas nécessairement des personnes ayant une grande expérience, des ressources financières importantes, etc.
Je ne dis pas que ce n’est pas le cas, il y a toujours des exceptions, mais pour 80% des gens, ce sont des salariés qui veulent monter leur propre entreprise.
Ils ont peut-être une idée, mais ils n’ont pas encore réussi à la concrétiser.
C’est donc une mentalité différente, ce qui rend les choses plus compliquées.
Cependant, il y a tout de même des gens extraordinaires en Thailande que j’apprécie beaucoup.
Il faut simplement chercher un peu plus pour les trouver.
Quel visa prendre en Thailande ?
L’idée est donc de s’installer en Thailande, et pour cela, j’ai deux choix : soit prendre un visa pour cinq ans, soit renouveler mon visa chaque année. J’ai choisi de renouveler mon visa chaque année.
Pour cela, j’ai créé une entreprise qui est totalement différente de ce que je fais d’habitude.
C’est une entreprise qui nécessite beaucoup de travail, mais c’est très intéressant.
Avec cette entreprise, je peux embaucher des gens à plein temps, ce qui me permet d’avoir quelqu’un pour faire la cuisine, le ménage, etc.
C’est assez fou, mais ça fonctionne.
Je peux embaucher des Thais
En fait, je peux trouver des gens pour travailler avec moi.
Certes, leur culture de travail n’est pas la même que la nôtre, mais ça fonctionne quand même.
Je ne veux pas rentrer dans les détails, mais c’est une option simple et économique.
Pour ma famille, par exemple, les visas coûtent environ 35 000 euros, alors que pour moi, ça coûte entre 4 000 et 6 000 euros par an.
C’est beaucoup moins cher.
Je n’ai pas à débourser 40 000 euros et risquer de perdre mon argent si je dois partir dans un an.
J’ai juste à créer une entreprise pour gérer tout ça et renouveler mon visa.
Bien sûr, cela demande un peu de travail, comme ouvrir un compte en banque et effectuer quelques formalités administratives, mais ça en vaut la peine.
Ça vaut les 30 000 euros d’écart.
Je commence vraiment à être agacé par le fait que l’on puisse me voler mon argent.
J’ai donc décidé de changer de vie et de me concentrer davantage sur la crypto pour gagner de l’argent.
J’essaie de travailler sur des projets rentables qui génèrent des dividendes, et qui me permettent de financer mes projets à venir avec plus de flexibilité.
Tout cela a demandé environ six mois de travail pour arriver à ce résultat.
Ma Holding a Hong Kong va racheter ma société a Dubai
Donc, qu’est-ce qui se passe maintenant ?
Je décide de créer une holding à Hong Kong pour racheter ma société à Dubaï.
Je garde ma société à Dubaï pour garder le visa, au cas où le monde partirait en couille, ou si une vaccination obligatoire est créée, et que Dubaï serait l’un des derniers pays à l’exiger.
Dans le pire des cas, je n’aurais pas payé trop cher pour mon visa en Thailande, donc je pourrais toujours repartir à Dubaï si besoin.
En fin de compte, pour ne pas fermer la porte à Dubaï, cela me coûte environ 20 000 euros de plus.
Donc au final, je me retrouve presque au même prix que si j’avais quitté complètement Dubaï.
De notre côté, nous avons réfléchi à la flexibilité et au travail.
Travailler sur le web, c’est bien, mais il faut prendre en compte le décalage horaire.
Quand il est 9 heures du matin en France, il est 4 heures du matin en Thailande.
Ce n’est pas facile de travailler avec des gens qui ont un tel décalage horaire.
Mais bon, je vais devoir travailler un peu plus le soir, donc autant le faire dans un endroit agréable, avec une petite piscine et tout le confort nécessaire.
En tout cas, c’est ce que je me dis. Je ne vais pas en Thailande pour ça, mais ça peut être agréable.
On change de rythme
Ce qui me manque vraiment, c’est de pouvoir emmener ma fille marcher sur la plage.
Nous pouvons le faire à Dubaï, mais ce n’est pas pareil.
J’aimerais pouvoir faire un pique-nique dans la forêt, éviter les foules, et lui faire découvrir de nouvelles choses.
Elle adore les éléphants, donc le fait d’aller en Thailande est une chance pour elle. Nous allons pouvoir vivre différemment.
J’aime beaucoup les changements de rythme de vie, j’adore ça.
En outre, cela permet de répondre à plusieurs questions une fois que l’on a visité Dubaï et que l’on part en Thailande.
Je veux dire, une fois que l’on quitte la Thailande, il y a moins d’endroits dans le monde où l’on peut aller.
Cela est particulièrement vrai si l’on sait ce que l’on veut et ce que l’on ne veut pas, etc.
Dubaï est un pays qui, pour moi, répond à de nombreux critères, tels que l’entrepreneuriat et le compromis, donc c’est top.
La Thailande, quant à elle, est différente. On est un peu plus fort de la vie pas chère, etc.
C’est bien car on économise un peu sur la nourriture et tout cela, mais cela nous permet d’économiser peut-être deux mille balles par mois.
C’est un écart ridicule entre Dubaï et la Thailande en termes de qualité-prix, de qualité, etc. car ce n’est pas pareil.
La vie me coute trop chere
Il faut savoir que pour trois personnes à Dubaï, on en a pour environ 2500 balles de nourriture, voire même 3000 balles de nourriture.
Cela est dû au fait que l’on achète des bouteilles d’eau en verre, ce qui coûte très cher.
On voit souvent des personnes avec une bouteille d’eau en verre, d’ailleurs.
L’eau et la nourriture à Dubaï sont très chères, ainsi que tout le reste en général.
Enfin, c’est l’idée que je veux essayer de dépeindre.
Le seul aspect que l’on économise vraiment, c’est peut-être un peu de loyer et un peu de nourriture.
C’est parce qu’à la fin, on paie pour nos soins de santé, nos écoles, notre logement, notre nourriture, etc.
Donc, tout compte fait, c’est beaucoup.
Il faut savoir qu’une assurance santé coûte mille balles, une école coûte mille balles par mois, un loyer va monter jusqu’à environ deux à trois mille, donc on arrive à environ cinq mille.
Les transports coûtent environ 500 balles par mois, l’essence, l’assurance Montcuq, le forfait téléphone, le bidule nana, tous les petits trucs à la con comme Netflix, etc. arrivent à environ six mille balles.
Après, oui, on peut vivre plus simplement, il n’y a pas de problème.
Mais moi, je ne fais pas ce choix-là. Je suis minimaliste dans la possession, mais pas dans le style de vie.
Je veux une maison 3 chambres et un bureau
Personnellement, je veux une maison avec trois chambres et je veux avoir mon bureau.
Ce qui me manque aujourd’hui, c’est ma petite pièce.
Ça me manque vraiment, je ne sais pas où foutre mon bordel, tu vois.
Je ne le fais pas souvent parce que je suis souvent en location, mais j’ai eu une maison de trois cents mètres carrés où je n’ai rien fait en fait.
Je n’ai pas cherché à la décorer, cela m’a cassé les couilles de le faire, etc.
En fait, ça me casse les couilles de ne pas pouvoir le faire quand ce n’est pas chez moi, mais quand c’est chez moi, cela ne me dérange pas de le faire.
Bienvenue dans ma tête, mais c’est normal parce que, une fois qu’on a une maison, pour quoi faire en fait?
Mais voilà, c’est une chose personnelle.
Je suis à l’aise avec ça. Je me connais, donc c’est plutôt cool pour moi.
Alors, ce qui est extraordinaire avec la Thailande, c’est que l’on va pouvoir être beaucoup plus détendus et la cryptomonnaie s’y développe également.
Nous verrons l’année prochaine comment cela évolue.
J’ai actuellement neuf projets en cours et de nombreux autres en préparation.
Je suis généralement plutôt doué pour réussir dans les domaines qui m’intéressent, donc je ne suis pas inquiet pour l’avenir.
Nous ne savons pas ce que demain nous réserve, mais vous serez là pour le voir et moi pour le découvrir.
Le monde change trop vite et on ne sait jamais a quoi s’attendre
On verra en 2022-2023 ce qu’il adviendra.
Il y a un an, je n’aurais jamais cru m’impliquer dans la cryptomonnaie, donc les choses peuvent évoluer et changer, heureusement.
Concernant la Thailande, cela pourrait durer six mois, un an, voire trois ans, je ne sais pas, cela dépendra de la situation.
Je vais maintenant me concentrer un peu plus sur ma vie personnelle, car il y a beaucoup à prendre en compte.
Nous sommes confrontés à des choix compromis et forcés depuis deux ans.
Comme tout le monde, nous sommes contraints de rester chez nous et de ne pas pouvoir voir nos proches.
L’année dernière, en 2020, prendre un avion était extrêmement compliqué : il fallait remplir des documents, obtenir des validations et autres formalités administratives.
Le COVID rends vraiment la vie compliqué, surtout pour notre expatriation en Thailande
Pour ceux qui connaissent un peu la situation en Thailande en ce moment avec les procédures, c’était un peu pareil.
Il fallait demander une autorisation 48 heures avant, un retour de l’ambassade, et ce n’était pas sûr de l’obtenir.
Enfin, partir en vacances ou voir la famille comme ça n’était pas possible, donc on avait fait le choix de ne pas y aller.
On était resté l’été à Dubaï.
Cette année, on a pu le faire un peu, mais ça se resserre encore.
Il faut savoir que c’est très compliqué.
Maintenant, je vais vous expliquer un peu plus autour du Covid et la vraie problématique à mon sens.
On ne pourra pas y échapper, on a clairement quelque chose qui est en marche et on va payer.
Maintenant, il y aura des résistants. Moi, je rencontre de plus en plus de gens qui se soulèvent.
Ce qui est bien, c’est que le temps donne toujours raison aux choses.
Les gens étaient traités de fou !
Il ne faut jamais que ce soit trop tard. Je me rappelle qu’il y a un an, un an et demi, certaines personnes étaient traitées de fous, dont je faisais partie.
Aujourd’hui, on leur donne un peu de crédit, on leur dit que finalement, ils avaient peut-être un peu raison.
Oui, parce qu’en fait, certaines logiques ne peuvent pas être justes.
Moi, je raisonne en tant que businessman, c’est du pragmatisme pur.
J’enlève les émotions, les peurs et il y a des choix qui sont faits pour certaines logiques.
Ces logiques, pour moi, quand elles ne sont pas logiques, c’est qu’il y a un problème.
Je suis quelqu’un d’assez créatif, ce qui est assez bizarre à comprendre dans mon profil au début, mais je ne laisse pas l’émotion influencer mes décisions.
J’essaie de rester pragmatique
Donc, quand il y a des décisions prises, j’essaie de comprendre en enlevant les émotions, bien que je ne sois pas imperméable aux émotions.
En ayant fait ce choix de ne pas se vacciner, cela crée forcément des problèmes.
Bien ou mal, c’est notre choix. Je n’ai pas envie d’entendre des critiques, chacun fait ses choix.
Si vous voulez discuter, il n’y a pas de souci tant que c’est amical et non agressif.
Les avis des gens ne posent pas de problème, tant que les gens sont respectueux, on est là pour débattre.
J’essaie d’être le plus objectif possible envers moi-même, puis je fais des choix personnels.
Il y aura toujours des gens dans le monde pour discuter et des gens pour être d’accord, donc à la fin, ce sont des sujets qui ne font pas avancer, ça ne sert à rien.
Moi, ce que je vois, c’est que l’on nous restreint des libertés à l’échelle planétaire, qu’on n’a plus le choix même si on croit l’avoir, et que ça va aller de pire en pire.
Quoi qu’il arrive, à la fin, on va être perdants.
On bascule vers une dictature de science-fiction
Voilà, on y est.
Moi, j’ai un projet du Sénat qui date du mois de juin, que j’avais obtenu fin juin, début juillet, et que j’ai partagé avec certains d’entre vous.
Je me positionne un peu aujourd’hui là-dessus, où il y a clairement le texte au Sénat, c’est-à-dire à l’Assemblée nationale, qui explique ce qui va se passer.
Pourquoi on parle du pass sanitaire? Pourquoi ça n’est pas encore mis en place à la fin?
Derrière cela, je crois qu’ils appellent ça le Health Data Hub, si je ne dis pas de bêtises, un regroupement des données de santé, enfin, des données du Passe et autres, sur des serveurs.
Ces serveurs, qu’ils ont négociés en mai 2021, vont être hébergés chez Microsoft Azure.
Ces données vont être croisées, et pour en avoir besoin, ils vont devoir traiter rapidement ces données.
Incroyable, ils ont une blockchain de folie pour ça, ça s’appelle Solana, qui est parfaitement adaptée et qui fait partie du top cinq des cryptomonnaies, alors qu’elle n’existait pas l’année dernière.
On est vraiment dans un domaine intéressant, même si ce n’est pas exactement le sujet.
Une tendence qui se dessigne avec la 5 G qui arrive
Concernant la 5G et la transmission des données rapides, je ne fais pas de ponts ou de liens, mais j’ai une succession de choses et de points.
Je dessine des tendances en fonction des nuages de points.
Et il y a beaucoup de points qui dessinent une tendance.
Je me concentre plutôt là-dessus.
Peu importe si le point est bien placé ou pas, je m’en préoccupe peu.
Donc, il y a une tendance qui se dessine.
Le sujet suivant, c’est le traçage numérique et l’identité numérique.
Tracage et identité numérique
Donc, c’est déjà le cas à Dubaï.
Pas de la Thailande.
Nous avons une identité numérique, nos cartes bleues sur les téléphones et tout ce que les gens disent aujourd’hui à propos de Dubaï ne me dérange pas.
Les gens sont un peu naïfs de penser cela, et je suis désolé si tu le penses, parce qu’on a tous un téléphone.
Oui, certains disent qu’ils ont désactivé la géolocalisation, mais la batterie continue à émettre.
Donc, tout va bien.
On est d’accord pour le traçage.
Quand je suis arrivé à Dubaï, j’ai dit adieu à mes données personnelles et je suis à l’aise avec ça.
Je m’en fous, ils savent quand je sors, à quelle heure, comment je rentre, et je n’en ai rien à faire.
Pourquoi ? Parce qu’ils peuvent monétiser cela et ça ne me dérange pas. Ce n’est pas un pouvoir de contrôle qu’ils ont sur moi, en tout cas pas aujourd’hui.
Mais je parle de cela parce que c’est ce qui va arriver partout.
Crédit social ?
Ensuite, ce qui avait marqué, c’est le volet social.
Derrière cela, il y a la réflexion sur les services sociaux, ce qui se passe en Chine avec des systèmes de points pour les gens, etc.
Ce n’est pas une loi qui a été approuvée, mais je vous invite à le lire attentivement.
C’est assez long et vous verrez que même si ça n’a pas été approuvé, c’est étrangement le plan qui est en train de se dérouler.
Voilà, pour moi, les 49.3 et autres, je veux dire, ce n’est pas parce que ce n’est pas passé que ce n’est pas en marche.
Aujourd’hui, on est d’accord pour dire que c’est risible.
Il y a deux ans, on n’aurait pas dit ça, mais aujourd’hui, on le dit. On évite la vaccination obligatoire, mais en fait, on y est presque.
Il y a des entités au-dessus de nous, et c’est pas ceux qu’on croient
Concernant mes convictions personnelles, je pense qu’il y a des entités ou des forces au-dessus de nous. Pour moi, nos présidents sont un peu des marionnettistes ou font partie d’un grand groupe.
Mais ça reste des gens qui appliquent des décisions.
Chez les militaires, on dit qu’il faut trois ou quatre hommes en haut d’une chaîne pour que toute la chaîne soit respectée et que les gens appliquent des décisions, etc.
Je crois beaucoup en ce système, d’ailleurs ce n’est pas anodin.
Après, pour savoir qui, comment, pourquoi, est-ce que c’est vrai, je m’en fiche un peu.
Je veux juste skier et apprécier la vie
J’aimerais juste aller en montagne.
Mais ça semble compliqué aujourd’hui, je ne peux même pas aller dans les montagnes.
Ça n’a pas de sens, car finalement, les économies que l’on ferait pour notre budget mensuel, on pourrait les dépenser en avion pour aller skier.
Moi, j’adorais prendre ma voiture, faire une heure de route et être en station, vraiment je kiffe.
Je connais beaucoup de gens dans les stations, surtout en Savoie, mais pas en Haute-Savoie.
Je ne sais pas pourquoi, j’aime vraiment la Savoie.
Mais du coup, c’est vrai que ça me manque beaucoup et je pense qu’il va falloir tirer un trait là-dessus pendant longtemps. Et ça, c’est dommage.
Donc après, il y a la Géorgie pour aller skier, la République Tchèque, que j’aime bien. J’adore notamment Prague, c’est vraiment une ville que j’ai appréciée. La République tchèque me plaît, même si, gouvernementalement parlant, c’est autre chose. Je reviens toujours vers la Thailande.
On reporte notre expatriation en Thailande
Pour l’instant, la Thailande sera mise de côté pendant quelque temps, je vais me reposer un peu.
C’est théorique, car trois mois de repos, je vais vite m’ennuyer.
J’aime bien être toujours dans l’action et la rapidité, mais là, j’ai envie de prendre le temps d’être contemplatif et de regarder le temps passer.
Les dernières années sont passées beaucoup trop vite pour moi.
Donc, je veux prendre le temps de faire mon petit déjeuner le matin, attendre que le soleil se lève au bord de la plage, couper le téléphone et juste attendre.
Je suis constamment dans l’action et c’est ce qu’il faut faire pour avancer, sinon je ne ferai pas d’argent, je n’y arriverai pas et je ne trouverai pas de nouvelles opportunités.
Mais là, je freine des deux pieds, car il faut garder la tête froide pour ce qui va arriver, être alerte, mobile et flexible.
Tout sera bientot controlé
Je ne vous demande pas d’être d’accord avec moi, je ne demande rien.
Je n’ai pas d’avis sur la façon dont le monde est dirigé, sur ce que les gens regardent ou font, car cela ne sert à rien.
D’une part, on ne le saura jamais et d’autre part, on s’en fout.
Par contre, concernant les tendances, je veux dire, quand le pass sanitaire est arrivé, on savait très bien qu’il évoluerait en passe vaccinale, n’est-ce pas ?
Dans la vie, le contrôle sera forcément appliqué avec la monnaie numérique, comme la blockchain, les bitcoins et l’euro numérique qui arrive.
Au début, il était prévu pour 2025-2026, mais ils ont accéléré pour 2023.
Donc, avec la blockchain, Solana, la 5G et la transmission des données, cela va devenir une réalité.
Je n’ai pas abordé le sujet des vaccins, des puces et autres technologies, mais je crois beaucoup à l’intelligence artificielle et je suis convaincu qu’on aura des puces à un moment donné pour la même raison.
Même si cela semble fou aujourd’hui, tout ce qui se passe actuellement me semblait déjà fou il y a deux ans.
Une cohabitation avec l’Intelligence Artificielle.. possible ou forcée ?
Je crois qu’il va falloir cohabiter avec les intelligences artificielles.
Alors, je ne suis pas forcément fan de Laurent Alexandre, mais j’admire sa compétence et son analyse sur l’intelligence artificielle.
Je suis à 100% d’accord avec lui sur ce sujet.
Que je l’aime ou non, force est de constater que ses conférences sont pragmatiques.
C’est mon avis et je m’engage là-dessus.
On vivra avec la puce, que ce soit dans la tête ou ailleurs, on verra.
De toute façon, je pense que la puce est déjà actée.
Je me rappelle de cette photo où Zuckerberg passait dans les allées avec les casques des gens sur la tête, c’était en 2015.
Je veux dire, c’était déjà là, enfin ça existait déjà, enfin ça existe depuis longtemps.
Donc, moi, ce que je vais regarder, c’est comment garder au maximum ma liberté.
Mon message final sera celui-là :
C’est que je ne suis pas pour un vaccin à vie, ni pour une politique à vie.
Je n’en ai rien à faire.
Moi, je suis un libertaire dans mon cœur, et je ne veux pas qu’on m’entrave dans ma liberté.
Je suis capable de déclencher cette révolution et de mettre le monde à feu et à sang si l’on entrave ma liberté.
Je veux garder un maximum de liberté : choix vers la Thailande
À partir du moment où on impose des choses, je ne dis pas que je ne suis pas d’accord avec les règles, je ne dis pas que je ne peux pas faire de compromis.
Mais je suis d’accord pour faire des compromis quand il y a une relation gagnant-gagnant.
Aujourd’hui, cela n’existe pas, c’est une obligation, on nous impose des choses et je ne peux pas être d’accord avec ça.
On nous impose certaines choses, et forcément, une résistance va se lever, qui commence déjà toute petite.
Je pense que l’on n’est qu’au début de tout ce qui va se passer.
Je pense qu’aujourd’hui, c’est encore gentil, donc il faut en profiter un peu.
C’est pour cela que je veux un peu me reposer, car je pense que les combats à mener dans les prochaines années seront encore plus durs que ceux d’aujourd’hui.
Je n’ai pas vu ma vie à un moment où c’était moins difficile.
J’ai vu que de la complexification.
Il faut que je fasse une pause
Donc, je pense que c’est le moment un peu de faire une pause, un moment charnière dans lequel on peut se poser et être alerte sur les futures technologies.
Finalement, le truc que je remarque du haut de mes trente-deux ans, c’est que les nouvelles technologies sont toujours présentes.
J’étais trop jeune pour le Bitcoin, mais maintenant, je fais attention.
C’est un message amical :
Faites très attention aux nouvelles technologies.
Quand quelque chose se crée, je pense qu’il faut s’y intéresser et ne pas le manquer.
Je pense que les prochaines technologies ne devront pas être manquées.
Après, on verra, cela passe peut-être par le numérique.
Il y aura sûrement des opportunités d’affaires.
Même si on n’est pas d’accord, réfléchissons à comment cela peut nous servir.
Aujourd’hui, je suis mercenaire.
Je crois beaucoup en la communauté et je suis quelqu’un d’assez bienveillant envers les gens.
Je les aide, j’essaie au maximum, je prends du temps, je réponds sur WhatsApp, enfin, je suis comme je suis.
L’un n’empêche pas l’autre.
Comment tirer profit des choses avec lesquelles on n’est pas d’accord ?
C’est toujours un bon sens pour moi, et je considère cela comme du bon sens.
On ne peut pas discuter avec des personnes qui ont des convictions absolues
C’est c’est c’est pas parce qu’on aime pas que c’est pas pertinent ou intelligent.
Je moi je je déteste les gens qui ont des convictions absolues sur des choses.
Voilà je bon moi le premier j’ai pas de conviction hyper absolue.
D’ailleurs ça peut rendre fou les gens en mode euh putain mais mais si mais bah non donner l’avis contraire, je peux même ah en fait ce qui est terrible avec moi c’est que je peux argumenter l’inverse de ce que je pense et argumenter ce que je pense et du coup c’est c’est dur, c’est dur, alors ça veut pas dire que j’ai pas pas d’avis surtout mais c’est c’est vrai que selon les discussions, c’est compliqué quoi.
C’est-à-dire que moi si on vient me voir en me disant mais si c’est rose, je veux dire t’es sûr que ce n’est pas bleu?
Et sans me dire bah c’est bleu.
Une specificité francaise ?
Ah non, peut-être un Français assez insupportable.
Je plains ma femme des fois, moi ça va je suis un peu moins comme ça avec ma ouais bon c’est surtout qu’elle a plus d’armes euh elle hein pour euh pour me démonter la gueule.
Hum voilà à force c’est faire donc c’est mon groupe en faible euh ma femme euh et voilà donc après euh après voilà on fait ces choix-là l’année prochaine on on reste mobile euh ce qui est pas plus mal non plus c’est qu’on fait finalement on trie un peu les merdes, vous savez qu’on accumule au fur et à mesure du temps, bon moi j’avais tout vidé chez moi, j’avais des machins, mais on a encore accumulé quand même mine de rien de trois merdes quoi.
Ce n’est pas parce qu’on n’aime pas quelque chose que cela n’est pas pertinent ou intelligent.
Personnellement, je déteste les gens qui ont des convictions absolues sur des choses.
Je n’ai pas de conviction absolue moi-même. D’ailleurs, cela peut rendre fou les gens.
Parfois, je peux donner l’avis contraire, je peux même argumenter l’inverse de ce que je pense et argumenter ce que je pense.
Du coup, c’est difficile, cela ne veut pas dire que je n’ai pas d’avis, mais selon les discussions, c’est compliqué.
Par exemple, si on vient me voir en me disant que c’est rose, je pourrais dire : « t’es sûr que ce n’est pas bleu ? »
Sans me dire que c’est bleu.
Je peux être assez insupportable.
Je plains ma femme des fois. Moi, ça va, je suis un peu moins comme ça avec elle, surtout qu’elle a plus d’armes pour me répliquer.
On va essayer de rester mobile entre l’Asie (Thailande) et l’Europe
À force, c’est mon groupe en faible, ma femme, et on fait ces choix-là.
L’année prochaine, on reste mobile, ce qui n’est pas plus mal non plus.
Finalement, on trie un peu les choses inutiles qu’on accumule au fur et à mesure du temps.
Moi, j’avais tout vidé chez moi, j’avais des choses diverses, mais on a encore accumulé quand même pas mal d’objets inutiles.
Finalement, en accumulant ces objets inutiles, le plus dur est pour ma fille.
Mais elle a même donné des choses que je ne pensais jamais qu’elle donnerait.
Sa chambre devient vide et cela ne la dérange pas, c’est assez incroyable. Bref, on reporte trop de choses sur ça.
Donc, voici mon avis sur l’ensemble de tout cela et comment ma vie se dessine actuellement.
Je referai des messages plus tard, car je sais que je n’ai pas été assez précis et c’est déjà beaucoup trop long. Je suis triste de quitter Dubaï, mais je pense que c’est important de bouger et je pense qu’on y reviendra.
Pour cela, je garde la société sur une nouvelle base.
Comment je m’organise administrativement : Dubai, Hong Kong, Thailande
Et pour la petite histoire, j’explique un peu mon organisation au niveau des montages.
Ma boîte achète une entreprise à Dubaï, et puisque nous sommes arrivés à Dubaï, je peux faire un rachat de crédit vendeur.
Je passe tous les détails techniques, mais en gros, cela me permet d’avoir un crédit vendeur qui correspond au rachat de la boîte, peu importe où je suis dans le monde.
Pour faire simple, ma boîte va me payer pendant des années et peu importe où j’habite dans le monde, je suis exempté d’impôts.
En fait, un bon père de famille, c’est un peu comme si j’avais 40 ans, un peu pépère mais tout de même dans l’action et gérant l’argent tout en préservant ce qu’ils gagnent pour le laisser à ses enfants.
Finalement, c’est un peu l’héritage, c’est la base, je pense. Je ne suis pas à la rue.
Je veux mon chez moi en Suisse, en Thailande, peu importe
Le vrai problème qui me préoccupe personnellement, c’est que j’aimerais bien avoir mon chez moi, acheter mon logement, mais je ne le ferai pas en Thailande.
J’aurais bien aimé le faire en Suisse, mais c’est mort.
Du coup, je me retrouve toujours avec de l’argent sur mes comptes et ce pognon est problématique parce qu’il faut que j’investisse.
À un moment donné, il va falloir avoir un pied-à-terre, car quand ça tourne mal, on serait bien content d’avoir une maison quelque part.
Peu importe, ce sera à moi. Même aujourd’hui, je me dis « oui ou non ? », mais même si je devais tout payer, je ne sais pas.
En tout cas, je garde suffisamment sur mes comptes pour pouvoir acheter une maison où je veux, n’importe où dans le monde, pour le jour où je me décide.
Ce qui est certain, c’est que j’aimerais bien avoir un deuxième enfant, et dans ce monde actuel en constante évolution, c’est très compliqué.
Ce n’est pas en étant flexible en Thailande que l’on peut mener une vie sereine avec un deuxième enfant.
Donc le prochain sujet sera celui-là, c’est où est-ce qu’on est? Est-ce qu’elle est vraiment pendant quelques années?
La Suisse reste pleins de bon sens malgré tout
Malheureusement, pour moi, pour nous, la Suisse revient souvent en tête.
Donc on va se laisser un peu de temps pour voir.
En attendant, en tant que pays de transition, je pense qu’on va apprécier la Thailande.
J’espère rencontrer des gens.
Je sais qu’il y en a quelques-uns, mais j’espère vraiment faire de nouvelles rencontres.
Je ne veux pas dire où j’habiterai précisément, simplement parce que ce n’est pas important.
Si je dois rencontrer des personnes, vous pouvez m’envoyer des messages sur WhatsApp.
Laissez-moi tranquille en janvier et février, mais en mars, prenez note.
Pendant la saison des vacances, on essaiera de bouger un peu.
L’avantage en Thailande, c’est qu’on pourra prendre un logement à l’année, pas trop cher, et pouvoir voyager. Parce qu’à Dubaï, quand tu payes 4 000 euros de loyer et que tu pars pendant un mois, ça te coûte encore 4 000 euros de loyer.
Mes vacances de cet été m’ont coûté entre 15 000 et 20 000 euros pour un mois et demi.
Ce n’est pas grave, on a les moyens, tout va bien, mais quand ça débite sur mon compte, mon banquier m’appelle ou bloque mes cartes.
C’est un autre problème : avoir de l’argent et ne pas pouvoir le dépenser.
Qu’on soit en Thailande ou a Dubai.
Conclusion : La Thailande, pour bientot
Bref, voilà pour l’intégralité plus ou moins exhaustive de tout ça.
J’espère avoir répondu à vos questions, n’hésitez pas si vous avez d’autres questions.
Je pourrai vous répondre.
En vrai,je ne fais pas souvent des notes personnelles, peut-être une fois, mais si vous avez des questions sur certains choix ou autres, je répondrai avec plaisir.
Je pense que j’en fais une en fin d’année, donc pourquoi pas ? N’hésitez pas et je vous souhaite une très bonne soirée.