Formations, Insultes et Expatriations : je quitte enfin mon appartement a Dubai
Formations : Non, je n’en vis pas.
Bonjour à tous, j’espère que tout le monde va bien.
Journée assez mouvementée avec plein de déménagements.
Il y a certains messages WhatsApp et mails que je n’ai pas encore traités et qui datent de mi-décembre.
Ne vous inquiétez pas.
Je serai productif ce week-end, je vais m’occuper du sujet. Beaucoup de choses à dire.
Dans 16 heures, je quitterai l’appartement dans lequel j’ai vécu pendant un an et demi.
Ce n’est pas plus mal.
On avait hésité à prendre un autre appartement en juillet.
Les choses se sont passées d’une certaine façon qui n’est pas forcément celle que j’aurais voulue, mais au final, le résultat est le même.
C’est très intéressant, car j’aime bien les différents chemins qui amènent au même résultat et parfois, cela n’a aucune importance quelle sorte de chemin on emprunte.
Une histoire de fiscalité
Alors, beaucoup de choses à dire.
La première, c’est quoi ?
J’ai eu beaucoup de choses très compliquées à expliquer.
Je vais raconter une petite histoire : quand je suis parti de France, je suis arrivé à Dubaï, et le fisc est tombé sur moi.
J’ai pensé que c’était normal, car j’avais dépensé beaucoup d’argent en arrivant à Dubaï pour la société, pour payer un an de logement, pour diverses choses, pour l’école de ma fille, pour l’hôtel et l’enquête.
Tout était en avance.
Le truc très intéressant, c’est que sur mes sociétés, j’avais fait des virements professionnels pour voir s’il y avait, par exemple, des possibilités de créer une société à l’étranger et ainsi de suite.
Beaucoup de paperasses pour pas grand chose
En perso, j’avais payé des consultations de résidence fiscale et autres auprès des avocats.
La banque avait demandé quelles étaient mes relations avec cette personne et pourquoi il y avait des virements.
J’avais déclenché une sorte de procédure, pas exactement à cause de cela, et j’avais dû répondre à une vingtaine de questions qui ont nécessité plusieurs pages de texte Word.
Ce qui est très intéressant dans ce processus, c’est que j’avais compris qu’ils avaient réussi à faire une interprétation de ma vie qui était totalement étrange, mais théoriquement possible.
C’était difficile à réfuter, et mon seul mécanisme de défense était de prouver que ce que je disais était vrai, mais pas que ce qu’ils pensaient était faux.
C’est assez amusant, car jamais de ma vie je n’aurais pu imaginer qu’il y aurait des gens qui s’inventent une théorie de ma vie, en l’occurrence les impôts et le système anti-blanchiment des banques, et de ne pas pouvoir dire que l’interprétation est fausse.
Il y avait des éléments qui étaient présents, mais pas dans le sens qu’ils disaient, les fameux sujets à double interprétation.
Par exemple, si on vous demande de colorier la moitié des voitures en rouge, et qu’il y en a 10, vous en coloriez 5.
C’est toujours cette interprétation qui est très étrange, parce qu’en soi, oui, ce n’est pas faux, mais c’est là où je me fais un peu avoir.
Je suis trop honnete et ca me coute beaucoup
Ce que j’essaie de dire, c’est que je suis trop honnête dans mes explications, en laissant toujours une part de doute.
Cette franchise peut être une vraie faiblesse, car à force d’être objectif sur certains sujets, cela peut parfois créer des problèmes.
Mais pourquoi est-ce que je parle de cela ?
Quel rapport avec cette petite histoire ?
J’ai reçu des messages qui m’ont surpris. Plusieurs personnes sont venues me voir pour me dire que je quittais Dubaï parce que je faisais des arnaques en crypto.
J’ai été stupéfait.
Ils ont même été capables de me dire que j’avais fait une vidéo, notamment sur ring et ainsi de suite.
J’ai trouvé cela incroyable.
Les fameuses interprétations
J’aime bien analyser des histoires comme celle-ci, en me demandant ce qui pousse les gens à penser cela et quels éléments les amènent à cette conclusion.
Finalement, nous sommes sur des éléments qui sont, disons, insignifiants.
Nous ne sommes pas au cœur du problème, c’est sans fondement.
Et du coup, c’est oui, mais parce que j’ai fait une vidéo dessus.
Ah, je suis le seul à faire des vidéos dessus.
Enfin, ce sont des réflexions qui sont un peu nazes en fait, il n’y a pas de réflexion au-delà de ça. Donc j’essaie de creuser, il n’y a jamais rien.
Avant de croire quoi que ce soit, pose la question.
Si tu poses la question et que je te réponds, libre à toi de choisir si c’est vrai, faux ou quoi.
Je veux dire, on s’en fout, mais n’interprète pas ma vie alors que tu ne la connais pas.
Enfin, je veux dire, et puis pourquoi tu fais ça?
Laisse les gens vivre ma vie, je veux dire.
Tu t’es fait une lubie de vouloir comprendre ce qui se passe dans ma vie?
Mais enfin, on va faire autre chose, on s’en fout.
JE NE VIS PAS DES FORMATIONS WEB2FOU
Et ce qui est très intéressant, c’est que j’ai quand même un mec qui a été intelligent et qui a dit un truc qui a réussi à faire des ponts de liens de certains sujets qui n’ont absolument rien à voir, en mode :
« Oui, les formations machin donc ton objectif c’était de pouvoir récupérer un max de fric. Arnaque. »
D’ailleurs, quand t’as parlé de ça et que le machin, mais j’ai un fidèle là qui m’a retourné le cerveau, c’est la première fois vraiment.
Un mec qui écoute tous mes audios, qui ne se prononce pas, qui va écouter celui-là et qui est capable, qui a été capable avec des éléments que j’ai donnés et de machin d’interpréter un chemin de vie qui est bien sûr faux, mais putain, et pourquoi pas en fait?
Alors moi, je ne doute pas de ma vie, mais je me dis que c’est plausible ce qu’il dit.
Ce n’est pas ce qui s’est passé, mais c’est plausible.
Lui, il serait très très bon au fisc d’ailleurs, c’est contrôleur des impôts mec, parce que t’es capable d’envisager des trucs qui sont très bizarres pour des sujets qui en fait n’en sont pas.
Je dois tout reclarifier
Donc, non, moi je le redis, j’ai l’impression que les gens n’ont pas compris. Donc moi, je vais reclarifier ça.
Déjà, je ne suis pas encore parti de Dubaï.
Je quitte mon appartement, c’est un premier point.
Vivre en appart-hôtel, en hôtel ou en hébergement chez des amis, je ne sais pas. Avec une gamine, c’est un peu compliqué, donc plutôt en hôtel.
Je prévois de rentrer en France pour aller faire du ski, je crois ne pas l’avoir dit auparavant.
Je garde ma résidence fiscale et mon visa, donc je ne suis pas limité car je peux partir ailleurs.
Par exemple, je peux partir 5 mois en Thaïlande et revenir, étant résident à Dubaï.
J’ai un visa de résidence, c’est un autre sujet, mais je souhaite garder ce visa pour conserver mon statut de résident et revenir une fois tous les six mois.
Je quitte Dubait physiquement
Je quitte Dubaï physiquement, mais je ne quitte pas Dubaï sur mes comptes bancaires et mes sociétés. Personne ne connaît mon montage de société.
Est-ce que ma société à Dubaï n’est pas une holding ?
Personne ne pose cette question, car personne n’a les informations nécessaires.
Si je parle de Dubaï, ce n’est pas pour dire que c’est simple d’y avoir un compte en euros et dollars ou un visa de résidence.
Il est vrai que certaines personnes mettent au moins six mois à comprendre certaines choses, notamment pour obtenir un visa à Dubaï.
Beaucoup se retrouvent dans des situations compliquées, car ils n’arrivent pas à prouver qu’ils vont vivre là-bas pendant six mois.
Moi-même, je serais malade si je devais relever ce défi.
Le problème, c’est que beaucoup de gens ne vivent pas à Dubaï et ne peuvent donc pas comprendre ces difficultés.
Ils restent dans leur garage, leur chambre ou leur grenier, chez eux pendant les vacances de Noël, et pensent comprendre des choses qu’ils n’ont jamais vécues.
Je ne juge pas et j’essaie d’etre ouvert d’esprit
Je comprends qu’on puisse interpréter les choses, mais personnellement, je ne juge pas.
J’interprète, j’ai un a priori, j’ai le droit d’avoir un avis, mais je mets en question mes idées préconçues.
Par exemple, si quelqu’un me paraît stupide, je discute avec lui pour en avoir le cœur net.
On a le droit d’avoir un a priori, mais il ne faut pas juger sans connaître les faits.
Bien sûr, personne n’est maître du jugement absolu, et le fait même d’y prétendre est déjà un problème en soi.
Pour en revenir à mon expérience à Dubaï, je possède un visa, une société, des comptes bancaires et une assurance là-bas.
Ce n’est pas seulement dans les papiers, les documents ou les sociétés, mais aussi dans la réalité physique que je suis présent à Dubaï.
Arretez les vieilles histoires et les spéculations
Alors, je précise car certaines personnes m’ont dit que je suis en train de faire un « exit » de Dubaï, que j’ai peur et que je veux partir.
Mais peur de quoi ?
Tout ça parce qu’un article est sorti.
Vous avez suivi mon parcours, je suis allé en Suisse et il y a des choses que je ne comprends pas.
À quel moment cela a-t-il un rapport ?
Je tiens à préciser que ceux qui me suivent savent que je suis un intermédiaire, un homme du milieu.
Encore une fois, je ne suis pas celui qui crée des projets, mais plutôt celui qu’on consulte, qui peut relayer et avoir de très bonnes idées.
Je suis capable d’amener un changement à 90 degrés dans un projet grâce à mon raisonnement presque infaillible.
Cela fait réfléchir mes interlocuteurs et je peux influencer leur manière de penser.
C’est ce qu’on appelle du « brainforming ».
Je suis libre et je fais ce que je veux
Sur ce sujet, il y a des personnes qui me demandent conseil, qui ont des projets, et j’apporte des éléments nouveaux grâce à mon bagage et mes compétences croisées.
Certains me consultent pour des projets de cryptomonnaie, d’autres pour des NFT.
Et alors ?
Je fais ce que je veux de ma vie.
Que j’aide des personnes sur des sujets de NFT ou autres, qu’est-ce que cela peut faire ?
Si vous voulez savoir combien de fois je salue quelqu’un dans la journée ou des détails de ma vie privée, cela n’a pas d’importance.
Bref, pourquoi je dis tout cela ?
Parce que je voulais aller en Suisse et j’ai expliqué dans un long message les raisons pour lesquelles c’était compliqué : la situation liée à la COVID, les vaccins et autres.
Mais pourquoi parler de cela maintenant ? Quel est le rapport avec mon type de visage ?
Vous allez me donner mon type de visage.
Normalement, on s’en moque.
Je vais même expliquer quel type de visage j’allais avoir.
Je suis assez transparent, sans raconter ma vie.
Faut pas rever, je ne dirais pas où je vais vivre, je vais commencer dans certains endroits, puis bouger à d’autres, parce que c’est ma vie privée. Je me sens plus en sécurité à Dubaï qu’en Thaïlande, tout simplement, car je ne sais pas de quoi demain est fait. Je vis ma vie comme je le souhaite et je n’ai de compte à rendre à personne.
J’ai aucun compte a rendre a personne
Même à mes clients, je n’ai pas de comptes à leur rendre.
Je leur délivre un service, j’assure le produit et le service à ce sujet, mais mes clients n’ont pas à connaître ma vie.
Vous voyez ce que je veux dire ?
J’essaie de remettre un peu les pendules à l’heure sur ces sujets.
Ce n’est pas parce qu’on m’a donné mon WhatsApp et qu’on discute que nous sommes amis.
Chacun est libre de faire des interprétations, mais au final, chacun vit sa vie.
Laissez les gens tranquilles, vraiment. Je comprends qu’il y ait quelques personnes énervées sur certains sujets.
Pour ma part, j’ai toujours été honnête, j’ai remboursé les gens et j’ai toujours répondu.
Parfois, il faut me relancer, car je suis humain, désolé, je ne suis pas une machine.
De plus, j’assure moi-même mon service après-vente, donc forcément, cela implique ce que cela implique. Il y a des moments plus compliqués que d’autres.
D’ailleurs, je remercie au passage mes affiliés qui attendent leur appel à facturation de novembre et de décembre, qui sera début janvier.
Programme affiliation Web2fou
Concernant mon programme d’affiliation, je n’ai pas fait les mises à jour pour le mois de novembre car le mois de décembre était chaotique pour moi.
Et c’est bien.
Mes affiliés ne m’ont pas importuné car ils savent que je les paie, je leur envoie les statistiques.
Je veux dire, le mec est au courant.
Nous allons attendre un peu, à part pour ceux qui sont vraiment en difficulté et qui ont insisté, je peux comprendre.
C’est important pour eux, car il s’agit de revenus, et ainsi de suite.
Cependant, j’ai toujours payé mes dettes.
Ce n’est pas parce que je dis cela que je fais partie de ces personnes-là.
J’ai également reçu ce genre de remarques.
Tu dis que tu paies tes dettes, c’est pourquoi tu as fait cette note pour Monsieur.
Les gens ne sont pas très compréhensifs.
Bien sûr, théoriquement, c’est vrai, ce n’est pas faux.
Mais je n’ai rien à voir avec ces gens-là.
Oui, je paie mes dettes, je confirme.
Cela s’appelle faire des affaires, c’est tout.
Mais cela me fait sourire, car les gens deviennent vraiment fous dans leur tête.
Il y a quelque chose qui touche un interrupteur et qui rend les gens fous, vraiment, mais dans la débilité totale, vraiment. Je ne comprends pas.
Un interrupteur qui s’active avec l’égo
Après tout, je reste toujours avec une vision d’affaires, donc pour moi, c’est la même chose.
C’est censé être pragmatique, simple et ainsi de suite.
Mais il y a un aspect émotionnel qui est amplifié.
Les gens ont une plus grande aversion à la perte, et cela affecte leur ego et leur porte-monnaie.
Cela fait mal, cela fait très mal, et je peux comprendre.
Ce n’est pas une raison. C’est comme le mec qui est énervé et qui frappe sa femme.
C’est comme le mec qui est énervé et qui va dans la rue pour défendre quelqu’un.
Il faut arrêter, quoi.
Je veux dire, sérieusement.
J’ai envie de secouer les gens.
Allô ?
Je comprends que le confinement et tout ça ont un impact, mais le monde part en vrille.
Je ne sais pas, j’ai l’impression que c’est un peu chaotique à tous les niveaux, enfin bon.
Il n’y a plus vraiment le droit à l’erreur ou quoi que ce soit.
Ce qui m’énerve, c’est qu’on ne pose pas la question.
Je crois que j’ai toujours répondu à toutes les questions.
Quelqu’un m’a dit des trucs du genre « tu fais de la concurrence à untel », des mini-clashs de business en ligne et tout ça.
Je suis arrivé sur le marché de l’infopreneur, mais je ne suis pas arrivé comme ça.
Regardez comment j’ai d’abord construit Web2fou
J’avais tout pour me faire casser.
Il y avait un mec qui ne montrait pas son visage, qui faisait des podcasts, qui avait un logo étrange, qui faisait de la publicité avec une fille tournée de dos à Dubaï, avec un texte incisif, et puis un gros bouton rouge.
J’ai inversé les codes du marketing.
L’objectif était de dire :
« Si tu penses que je suis une arnaque, fais tes recherches, et tu verras que je ne dis peut-être pas que des bêtises »
C’était mon point de départ, qui a plutôt bien marché, même très bien, mais je n’ai pas voulu trop pousser, parce que je ne veux pas arriver à des endroits où l’on me casse les pieds.
Et pas seulement ça, car il y a différents types de clients, et il y en a que je ne veux pas.
Je préfère m’adresser à un type de clientèle qui me convient, voilà.
Il suffit de regarder les discours, il suffit de regarder les lives sur Discord, pour se rendre compte qu’il y a des déchets de l’humanité, et je ne veux pas de personnes comme ça chez moi.
Quand je dis déchets de l’humanité, c’est parce qu’il y a des gens pour qui rien ne sera jamais assez bien.
Mais restez dehors, gérez votre stress, faites des tachycardies, créez des infrastructures, mais ne me cassez pas les pieds.
Je n’ai rien a voir avec Ring ou Meta Islands ou n’importe quel autre « Nodes »
L’autre chose, c’est que je n’ai rien à voir avec Ring.
Non, je n’ai rien à voir avec Meta Islands.
Non, je n’ai rien à voir non plus qu’avec toutes les autres nodes.
Le seul lien que j’ai, c’est que les idées pour les nodes sont apparues de nulle part.
Des nodes appelées « StrongBlock », un concept pas trop connu à l’époque, mais qui a réussi à se transformer en ETH avec des NFT, des machins et tout ça.
Enfin bon, moi, les choses comme ça, je crois que je l’ai déjà dit.
C’était en 2016 ou 2017, et c’est Flo de QTT qui m’en avait parlé…enfin bon.
C’est pas la même chose, mais à l’époque, c’était des connaissances vagues, bien sûr, qui m’a fait gagner de l’argent, mais aussi en perdre, d’ailleurs.
J’ai investi deja en 2016-2017
Donc voilà, j’ai investi dans des nodes, j’ai fait des trucs.
C’était en 2016 ou en 2017, je ne sais plus, il y a quatre ou cinq ans, quoi. Je ne comprends pas le rapport.
En fait, nous sommes français, nous sommes sur un marché où il y a des gens qui font des choses, donc forcément, on est de mèche, quoi.
Je ne sais pas.
J’apprécie tous les infopreneurs français.
En tout cas, ceux qui restent, ce n’est pas que j’apprécie, c’est que je ne suis pas contre. Il y a des gens, voilà.
Je ne suis pas forcément d’accord avec tous, loin de là.
On a des divergences et tout ça.
Pour moi, les infopreneurs ne sont pas des entrepreneurs.
Ça, je ne cesserai jamais de le dire.
Il y a des entrepreneurs qui peuvent devenir infopreneurs, il y a des entrepreneurs qui ne seront jamais des infopreneurs, il y en a vraiment de toutes sortes, et pour beaucoup, ça ne veut rien dire ce que je viens de dire.
Pour moi, c’est 90 % de toute ma réflexion autour de ça.
10 000 euros en plus ne change pas ma vie
Je ne suis pas un mec qui va vous faire des formations pour vivre, et je crois que ça a toujours été clair.
J’insiste parce que j’ai sorti une offre qu’on m’a reprochée ce week-end, avec des abonnements et des trucs.
Vous pensez vraiment que 10 000 euros de plus par mois vont changer quoi que ce soit dans ma vie ?
C’est pas les vacances tous les jours.
Vous ne savez même pas combien je gagne par mois, vous ne savez même pas combien de chiffres je fais.
Si vous lisez entre les lignes et que vous comprenez certains trucs, vous le savez.
J’ai jamais dit qu’on s’en bat les couilles, mais je veux dire, bref.
Je sais que beaucoup aimeraient avoir cet abonnement qui leur rapporte des milliers d’euros par mois, donc je sais que toi, tu en as besoin.
C’est faux.
Ce n’est pas pour ça que je le fais. Et les gens oublient, enfin je veux dire, il y a un truc qui me fait marrer.
Par contre, j’ai des leçons commerciales et marketing.
Il faut animer les clients, il faut sortir des produits.
Si possible, le plus de produits.
Mais ça, moi, c’est ma déformation commerciale.
J’y peux rien, enfin je veux dire, ça fait partie de moi.
J’envoie des emails, putain !
Vous savez combien d’e-mails par jour ?
Donc je sais que plus on en envoie, plus on peut, enfin, c’est de l’animation commerciale.
Pour moi, c’est l’essence du business.
Ce n’est pas moi qui l’ai inventé.
Après, je suis sensible à ça, bah j’anime, j’anime, j’anime, mais désolé, je sais pas.
Si je voulais plus d’argents, j’aurais fait 40 000 produits
Mais putain, si je voulais faire plus de tunes, j’aurais déjà sorti ma formation crypto, j’aurais déjà créé quatre formations, j’aurais déjà remis plein.
Je veux dire, si j’étais un putain d’infopreneur à la con, j’aurais déjà sorti 40 000 produits.
Si c’était mon métier et que je n’avais que ça à faire, et si c’était ce que j’aimais faire, alors ce que j’aimerais faire, c’est avoir une communauté en ligne dédiée au football, où nous pourrions avoir des discussions intelligentes et partager nos expériences.
Récemment, j’ai vu un message qui était à la fois intelligent et pertinent.
L’auteur disait que certains se forment en crypto, puis demandent de l’argent pour partager leurs connaissances.
Mais en réalité, tout le monde se forme en crypto, personne ne possède la vérité absolue.
C’est comme si vous cherchiez une formation sur Facebook : vous pouvez l’acheter chez moi ou chez quelqu’un d’autre, et nous aurons tous des points de vue différents.
Par conséquent, ce n’est pas une question de se former ou pas, mais plutôt une question de différences dans nos façons de faire.
Ceux qui font partie du groupe privé le savent mieux que quiconque.
D’ailleurs, je n’ai pas eu de mauvais retours sur mon groupe privé de crypto.
Je suis fier de dire que j’ai eu de très bons retours.
Nous avons maintenant une compréhension commune et un engagement qui dure depuis un an, et le Play2Earn est un sujet différent qui ne concerne pas tout le monde.
Je sais que le groupe est moins actif ces derniers temps, car il n’y a pas toujours des projets super intéressants à partager.
Mais voilà, je ne vais pas m’attarder sur ce point.
En conclusion, je n’ai rien à voir avec les projets de crypto.
Je suis multi-expertise et je reste discret pour les personnes qui m’engagent
Oui, je peux faire du consulting pour des personnes qui font des NFT, pour celles qui font du Play2Earn, ou encore pour celles qui travaillent sur des projets crypto, des transactions blockchain, ou qui souhaitent en savoir plus sur de nombreux autres sujets.
Cela m’arrive souvent, mais pas nécessairement avec des gens que vous connaissez, car ils restent souvent cachés ou ne s’affichent pas publiquement.
Peu importe, cela ne regarde personne.
Ce qui me dérange le plus, c’est qu’il y ait des personnes qui tirent profit de cela.
Comme je l’avais anticipé, je savais que cela allait attirer des personnes peu recommandables.
Mais cela me permet de renforcer mes positions et de mieux comprendre pourquoi je fais les choses d’une certaine façon.
Je vais même rappeler aux personnes qui me suivent depuis le début quelque chose que je dis régulièrement : il n’y a pas de problème.
Cependant, si on part du principe que je suis malveillant sur un sujet ou un projet, alors je ne vois pas pourquoi ces personnes restent là à m’écouter.
S’ils pensent cela, alors qu’ils dégagent !
Enfin, qu’ils s’en aillent, car cela ne fait pas sens que de continuer à m’écouter s’ils ont des doutes sur ma sincérité.
Personne ne te retient : fais ce qu’il a de mieux pour toi
Si tu penses que c’est la meilleure chose à faire, alors pars.
Je te respecte et je ne vais pas t’en empêcher.
Mais ne viens pas déverser ta colère sur moi et prétendre savoir qui je suis ou ce que je fais.
Tu ne me connais pas, tu ne sais pas comment je suis et ce que je fais, alors pourquoi essayer de m’expliquer qui je suis ?
Pourquoi est-ce qu’on essaie toujours de trouver des intentions malveillantes chez les autres plutôt que de chercher à comprendre leurs intentions positives ?
C’est vraiment stupide, non ?
Plutôt que de se demander quelles sont les bonnes intentions de quelqu’un, les gens veulent immédiatement le condamner. C’est dommage, mais personnellement, ça ne me dérange pas.
Je suis à l’aise avec moi-même.
Il s’est passé quelque chose aujourd’hui, mais je ne m’en soucie pas vraiment. C’est même plutôt drôle. En plus, la personne qui a fait ça n’avait pas de mauvaises intentions. Je vais la bannir parce que c’est ce qu’il faut faire, mais je n’ai aucun problème avec elle.
Mon seul problème, c’est que les gens condamnent sans chercher à comprendre.
Hallucinant : « Non, t’es un voleur, c’est trop cher »
Avant de regrouper des informations, imaginez si, dans le monde des affaires, on arrivait et disait :
« Tu ne devrais pas vendre à ce prix, tu es un voleur ».
Personnellement, je n’ai jamais dit ça à un client ou à un prestataire.
Nous pourrions plutôt poser des questions pertinentes, telles que :
Qu’est-ce qui justifie ce prix ? Pourquoi penses-tu que ton prix est meilleur que celui d’un autre ? Quels sont les avantages de cette offre ? Pourquoi cela te préoccupe-t-il maintenant et pas avant ou après ?
Il y a tellement de questions intelligentes que nous pourrions poser autour de ce sujet.
Je n’ai jamais évité de répondre à des questions importantes.
Ce que j’évite, ce sont les questions inutiles ou stupides qui ne mènent nulle part.
Parfois, je réponds à des questions juste pour le plaisir, comme lorsque je suis sur mes toilettes ou dans le train.
En fin de compte, la clé est de poser des questions réfléchies et pertinentes, plutôt que de condamner les autres sans même essayer de comprendre.
Cela permet de construire des relations plus solides et plus fructueuses, tant dans les affaires que dans la vie personnelle.
Nous sommes humains ou non ? Pourquoi tant de violence ?
Il n’y a rien de fondamentalement différent, si ce n’est que les gens deviennent de plus en plus étranges, dangereux, violents et agressifs.
Pourtant, je ne suis pas l’un d’entre eux.
Enfin, je connais des personnes qui ont vécu des histoires incroyables.
Pour ma part, tout va bien.
Je reste le médiateur, l’homme objectif et pragmatique qui ne prend pas parti pour l’un ou l’autre.
Moi, je suis ami avec tout le monde, enfin non, je ne suis l’ennemi de personne, pour être plus précis.
Je ne me fâche pas facilement avec les gens, je n’ai aucune raison de le faire.
Si je le fais, c’est soit parce que j’ai commis une erreur, soit parce que les gens n’acceptent pas que ce que je dis est vrai.
C’est l’un ou l’autre, c’est obligatoire.
Je ne suis pas malveillant, je ne fais pas de choses négatives, que ce soit dans ma vie personnelle ou professionnelle. Je ne dérange pas les gens.
Il n’y a pas de raison pour moi de le faire.
Certes, il y a des gens que j’apprécie moins que d’autres, mais je les considère tous comme des êtres humains. Il y en a que j’apprécie plus que d’autres, nous sommes tous humains. Les valeurs que nous partageons sont essentielles, peu importe qu’elles soient bonnes ou mauvaises.
C’est l’essence même du commerce.
Il faut poser des questions intelligentes
Je ne sais pas.
Enfin bon, le truc que je veux souligner, c’est que peu importe les interprétations que l’on peut faire face à des personnes que l’on peut penser être folles, il faut leur poser des questions intelligentes. Et toujours partir du principe que c’est positif.
Vous allez voir que l’interprétation en disant :
« Tiens le mec, il essaie de vendre sa formation à 2000 balles, son coaching à 2000 balles, putain, il a raison le mec, c’est intelligent, pourquoi ferait-il ça ? Quel est l’intérêt ? Pourquoi ses clients paieraient 2000 balles pour du coaching plutôt que 200 balles pour une formation ? »
Ici, il faut positiver les choses, juste pour trouver des réponses.
Alors c’est difficile, c’est très très difficile, mais c’est comme ça que ça commence, on reprogramme son cerveau ainsi.
Personnellement, j’aime me dire « ok, voilà pourquoi ce doit être le pire des enculés et voilà pourquoi le mec doit être le meilleur ».
Enfin, le meilleur d’entre tous.
Pourquoi ?
Parce que je me positionne.
Les actes sont plus importants : Soyez toujours bienveillant et respectueux
Et il y a une chose qui compte plus que le reste, ce sont les actes.
Quand on m’accuse de mauvaises choses, j’aimerais bien qu’on me dise quelles sont ces mauvaises choses que j’ai faites, sur lesquelles je me suis dérobé, sur lesquelles je n’ai pas répondu.
Moi, je suis franc, je suis droit dans mes bottes.
Je peux comprendre qu’il y ait des doutes, c’est humain, c’est normal.
Même mon plus grand client peut douter de moi quand je fais des choses, oui, il n’y a aucun problème à partir du moment où l’on me pose des questions, je réponds.
Si tu n’es pas d’accord, ce n’est pas grave, tant que tu es respectueux.
Tu acceptes ou tu n’acceptes pas, tu es d’accord ou pas d’accord, tu me crois ou tu ne me crois pas, après moi, je ne suis pas un tribunal, je m’en fous, si tu me crois, ça dégage.
Ce n’est pas méchant, c’est simplement dégage.
Pourquoi commenter et dire « Je n’aime pas » ?
Mais qu’est-ce que tu fais là ?
Vraiment, il y a des choses et des gens que je n’aime pas, je ne les suis pas. Je ne vais pas les suivre pour me faire du mal, je veux dire, à part créer de l’animosité.
Si je n’aime pas le contenu, je m’en vais.
C’est là où le podcast freine beaucoup et permet vraiment aux gens d’avoir des choses.
Le podcast est extraordinaire, on n’a plus la forme superficielle, on est purement sur du contenu pur. J’aime beaucoup les audios, on écoute, on imagine, c’est comme lire un livre mais différemment.
On imagine ce que je dis dans des situations différentes, je ne pose pas de décor, c’est comme la différence entre lire Harry Potter et voir le film.
Ça ne veut pas dire que le film est mauvais, mais ensuite, on a forcément l’image du film.
On ne peut plus imaginer, on ne peut plus essayer de varier les conditions.
Je suis tres creatif, que ce soit sur mes formations ou d’autres projets
Moi, je suis quelqu’un de très créatif et très libertarien sur beaucoup de choses et pour ça, l’imagination c’est le truc essentiel.
D’ailleurs, dès que je mets un peu de vision, je fais trois à quatre vidéos, tu dis que tu es à Dubaï, mais as-tu vu l’arrière-plan que tu as devant un hôtel miteux ?
Bon, merci, c’est chez moi.
Je sais que ça ne part pas d’une mauvaise intention.
Désolé pour la tapisserie, c’est celle de ma propriétaire, je ne vais pas la refaire car je m’en fiche.
Si je ne me sentais pas bien, je la referais. Je n’arrête pas de penser à la tapisserie, je l’oublie.
Moi, je suis très terre-à-terre, je suis difficile à vivre.
Vraiment, personne n’aimerait avoir ma vie.
Si je regarde un mur, une glace, après il y a une glace, du coup ça ajoute un peu de profondeur.
Et à mon écran, ma vision est dans le monde. Tu sais, je suis presque déjà intégrée dans le métal, comme un MacBook.
C’est vraiment, je suis vraiment dedans.
Donc, pour moi, Google Chrome, c’est un peu comme ton stylo.
Chez moi, il y a des choses que je ne savais même pas qu’elles existaient, mais maintenant je me dis : « On avait ça, je ne savais même pas, c’est incroyable ! »
Vous savez, cela crée des situations pour ma femme aussi, parce que nous avons tous des défauts et des qualités.
Avec le temps, cela devient de pire en pire, parce que j’oublie de plus en plus de choses et j’ai de plus en plus de choses en tête, en même temps.
Je ne pars pas de Dubai pour me cacher, c’est ridicule
Mais arrêtons de croire que je me barre de Dubaï pour une raison futile.
Je rappelle que ma fille était malade, et aujourd’hui elle va mieux, mais elle a attrapé autre chose, un truc avec des boutons, sur les pieds, les mains, la bouche.
Cette crèche, elle attrape plein de trucs.
Ça ne s’arrête jamais, c’est insupportable.
Les enfants, tout le monde le sait.
Me reposer en Thailande
Moi, je vais en Thaïlande pour me reposer.
J’ai bossé pour un ingrat ces dernières années, et maintenant je vais me poser un peu dans ma petite villa, avec vue sur la mer, pas trop chère, parce que sinon je m’en fiche, je prendrais un appartement.
Pas trop cher, bien entendu.
Une petite vue sur la mer tranquille, une petite piscine chez soi, se poser à l’extérieur avec ta gamine et ton MacBook pour faire deux trois trades, se renseigner, tester des choses, suivre une formation ou deux, continuer à gérer mes entreprises, mes associés, mes employés, à la cool, en mode mojito.
C’est vraiment le principe.
Peut-être un an, peut-être deux ans, peut-être pour toujours, en fait, je ne sais pas.
La crypto, c’est pas mal, ça donne des intérêts très intéressants.
Il faut faire attention, mais il y a des solutions. J
e ne vais pas en Thaïlande pour des raisons fiscales, j’ai entendu ça aussi.
Les gens lisent deux articles sur internet, déjà ils ne connaissent même pas les sources, c’est amusant.
« Dubai et la lois sur les cryptos et les arnaques »
Je pense à quelqu’un qui a donné une information vraie, mais à qui j’ai dit qu’il me donnait un lien qui est proscrit.
L’article disait que la loi numéro 41 à Dubaï sur les arnaques crypto allait être intégrée, mais je dis non, elle n’existe pas, et puis c’est proscrit aux Émirats arabes unis.
Montre-moi le texte de loi du gouvernement.
Elle n’existe pas puisqu’elle sort en janvier.
Donc, factuellement, ça n’existe pas.
La personne a raison, pas de problème, mais factuellement, non, ça ne change rien.
Pourquoi mon cerveau est comme ça ?
Il faut arrêter d’aller chercher des sources à Dubaï, l’information est contrôlée.
Il y a une portion du toit du Dubaï Mall qui s’est écroulée il y a quelques mois, la photo et les infos ont duré une heure, une heure après on ne trouvait plus rien.
Donc, quand ils disent quelque chose, il faut regarder les sources au départ parce que les gens qui se fient à des sources, je pense par exemple au petit-journal.com.
Il y a beaucoup de choses fausses qui y sont écrites.
Ce n’est pas que les rédacteurs sont mauvais, il y a juste des erreurs, et pourtant c’est un site de référence.
La source doit etre gouvernementale
Mais Dubaï n’accepte pas ces réalités-là.
Ils veulent que la seule source soit la source du gouvernement et ils ont raison médiatiquement, parce que c’est la seule chose fiable.
Le Twitter, les machins et tout, je respecte les lois ici.
Quand on me sort un article d’un journal new-yorkais, peu importe ce qu’il dit, vrai ou pas, c’est de la merde.
Est-ce que l’info est à Dubaï?
Non, alors si elle n’y est pas, ça n’existe pas.
Je suis du pays, je m’applique dans les autres pays et c’est tout!
Mais on me dit que ce sont des sources officielles, je ne vais pas chercher plus loin.
Je ne vais pas chercher le nouvel-ordre-mondial.com, en disant « regardez, ils ont dit que Dubaï… »
Aucun intérêt.
Donc oui, je pars en Thaïlande, ma famille a fait un choix avec ma femme. Il y a un autre truc que les gens oublient et je sais que c’est quelque chose que je rappelle, mais ça passe beaucoup à la trappe: j’ai une famille, j’ai une femme et des enfants, enfin un enfant pour l’instant.
À quel moment pouvez-vous croire que je vais arnaquer les gens ?
Petite frayeur personnelle
Je vais raconter un tout petit truc.
J’avais des entreprises, elles étaient chez moi et chez mon associé, à mon adresse personnelle.
On a toujours dit qu’on fait les choses bien, on a le bois de chez nous.
La seule peur, c’est qu’il y ait un mec qu’on ne paye pas, par exemple, et s’il n’est pas payé, qu’il vienne avec une barre de fer devant chez nous pour nous péter les genoux.
C’est le seul truc qu’on savait faire.
Le deuxième truc, c’est qu’on fait les choses bien auprès de l’administratif, parce que je ne veux pas qu’à 6 heures du matin, les flics débarquent et fouillent ces ordinateurs devant ma fille.
Et qui m’embarque avec les menottes, donc j’ai toujours ces deux critères-là : qu’il n’y ait pas de gens qui viennent nous péter les genoux chez moi et qu’il n’y ait pas de flics qui viennent me saisir des trucs.
Donc je respecte les lois, je respecte les règles et pour moi, c’est la base du business.
Je ne suis pas un bandit.
Mais voilà, ça coûte de l’argent.
Mais c’est comme ça.
Au moins, on respecte les règles.
Je vais me faire passer pour un voleur pour de la crypto ? Des formations ?
Donc si vous pensez que je suis prêt à arnaquer pour gratter quoi ? Quatre, cinq millions ?
Je ne sais même pas de combien on parle.
En fait, je ne sais pas quelle hauteur financière on évoque pour l’arnaque.
Je ne sais pas.
Les gars, je n’ai pas besoin d’arnaquer pour faire de l’argent.
Déjà, je n’ai pas besoin d’avoir plus d’argent que ce que j’ai.
Par contre, j’ai des projets professionnels, et il faut que les projets pro donnent des résultats, ce qui est totalement différent.
J’insiste.
Ce n’est pas la même chose.
Je vous dis, je n’ai pas besoin de 10 000 euros de plus pour vivre.
Mes projets ne sont pas censés me financer quoi que ce soit dans ma vie, et j’en fais un point d’honneur.
Peut-être qu’un jour ce sera le cas, mais je le dirai.
Maintenant, si je vis avec les revenus de mes projets, je l’annoncerai de sorte à ce que je puisse générer tant.
Si vous voulez voir combien, je ferai un truc.
Mais ce n’est pas le cas, donc on s’en fout.
J’insiste vraiment parce qu’on m’impute des choses que les gens ne comprennent pas, vraiment.
Sur Internet, Vendre des formations = vouloir du fric sans raison
Ce n’est pas parce qu’on vend des formations qu’on veut faire du fric.
Ce n’est pas parce qu’on fait des formations qu’on vole les gens.
J’ai l’impression de revenir en 2016 en disant ça. Et puis laisser les gens se planter.
Ma formation la plus vendue, c’est celle à 3000 euros sans produits, sans trafic, sans association.
C’est une formation que j’ai refaite cinq fois dans la semaine de la création et pour ceux qui l’ont prise, elle a encore évolué.
À la fin, je m’excuse de ça, mais j’ai laissé cette formation comme ça, et on m’a dit que je devrais la refaire, que ça nuit à mon image.
Mais non, justement, je trouve que c’est l’inverse.
Elle est authentique.
Je ne vais pas la refaire pour des raisons superficielles.
Ça ne remet pas en cause la valeur qui est délivrée, ça remet en cause la forme, pas le fond.
La forme, au final, ne compte pas tant que ça.
Pourquoi je dis ça ?
Parce qu’au début, on a le droit de se planter.
Certains m’ont fait confiance avec cette formation, d’autres m’ont haï.
Est-ce que j’aurais conquis plus de monde si elle avait été parfaite ? Probablement.
Est-ce que cela change quelque chose pour moi ? Rien du tout.
Est-ce que ça change quelque chose pour les gens ? C’est un filtre.
S’il y a une image qui n’est pas belle, et que tu t’arrêtes à ça, qu’est-ce que je te dis ? Tant mieux, ne sois pas content et va-t’en.
Je reste très pragmatique.
En fait, je ne t’oblige à rien, tu prends ou tu ne prends pas.
Je te propose, et je te propose beaucoup, même s’il y en a d’autres qui proposent encore plus.
Qui des promos pour des formations ?
Je propose, à partir de là, tu prends ou tu ne prends pas, et cela ne me dérange pas.
Je ne juge pas.
C’est comme pour la promo, certains m’ont dit que c’était l’audience qui avait demandé, mais en réalité, je l’ai fait parce qu’on me l’a demandé sur Telegram.
Pour ceux qui étaient là l’année dernière, je n’ai même pas refait les podcasts, je me suis contenté de reprendre ceux de l’année précédente et de faire une fin de semaine différente.
Cela montre à quel point je me sentais concerné par la promo.
Je reste pertinent dans la valeur et les formations que je vous donne
Il y a deux niveaux de réaction : certains diront que j’abuse, que j’aurais dû refaire les podcasts.
Mais pourquoi ?
Je fais une promo, je ne vais pas me casser la tête à refaire des choses.
Il n’y avait pas d’animation particulière, pas de contenu particulier.
Le seul élément particulier, c’était une formation gratuite que je proposais, et pour laquelle j’ai refait des podcasts. Je dis ça dans le sens où je n’allais pas refaire des podcasts pour une promo, quelle valeur ajoutée cela apporterait-il ?
Moi, je réfléchis à créer de la valeur s’il y a de la valeur à créer.
Un truc rigolo, j’ai fait deux vidéos sur Ring et sur Meta Island, bizarrement ce sont les deux qui ont marché.
Les autres, il n’y avait pas de vidéo.
Coup de bol ou pas ?
J’avais travaillé sur Thundernodes.
Le truc a planté, je n’ai jamais réussi à sortir cette vidéo.
Je ne sais pas, le destin, le truc n’a jamais voulu s’exporter.
C’est la première fois que ça m’arrive, et c’est la seule qui bugge, je n’ai jamais réussi à exporter.
Échec à chaque fois, incroyable !
Finalement, tant mieux.
Les seules vidéos que j’ai proposées sont évidemment les seuls trucs qui ont marché.
Pourquoi je dis ça ?
Parce que je ne sais pas, il y a peut-être un ressenti, il y a peut-être un truc que j’ai exprimé sur ce sujet et pas sur d’autres. Point.
Je ne cherche pas a vous arnaquer pour de l’argent rapide avec des formations ou de la crypto
Donc, je ne sais pas, parce que j’ai fait trois vidéos sur la crypto, certaines personnes pensent que je suis une mèche avec machin, que je connais truc, que derrière des trucs… c’est dans votre tête les gars.
Et puis quand bien même, je fais ce que je veux de ma vie et personne n’est marié avec moi, à part ma femme. Je n’ai de comptes à rendre à personne.
Dans tous les cas, je me suis même impliqué dans des projets de NFT, dont la plupart d’entre vous ont des cartes, et je ne savais même pas que j’ai fait le truc.
Il y a des choses que vous devriez laisser tranquilles.
Laissez-moi vivre, simplement laissez-moi travailler.
Je n’ai pas de compte à rendre à cela.
Bref, donc je pense que le message est clair là-dessus.
Je ne sais pas encore quand je quitte Dubaï.
Mon prestateur en Thailande lui essaie de me voler
Si vous voulez de l’info, j’ai un mec, alors j’ai le mec qui gère mes boîtes en Thaïlande, qui je pense essaie de m’extorquer des fonds.
Parce qu’il y a des processus que je reconnais, très longs à expliquer, mais en gros, j’ai tendu un piège, il est tombé dedans, un pot de miel et du coup, il est pris la main dans le sac, la main dans le pot de confiture comme on dit.
Après, je n’ai aucun intérêt à le tabasser parce que j’ai enclenché des trucs avec lui.
Je n’ai aucun intérêt à lui taper sur la tête, malgré qu’il ait la main dans le pot de confiture.
Dans un sens, lui mettre une petite tape, mais pas lui taper dans la gueule, on est bien d’accord.
Je précise au cas où.
Je n’ai aucun intérêt à appuyer, à tirer sur une ambulance.
Voilà. Et non, je n’ai pas de flingue, au cas où.
Je ne sais pas, j’ai peut-être des expressions.
Je ne veux pas rester bloqué en France
Du coup, je ne sais pas ce qui se passe, c’est que le mois de janvier, je ne sais pas si je viens en France.
Quand je vois le nombre de cas qu’il y a en France, ma seule peur c’est d’être bloqué en France.
Je n’ai pas envie d’être bloqué au Kosovo, ça ne m’intéresse pas.
Vraiment, donc au-dessus du ski, c’est-à-dire que franchement, je ne pensais pas.
Mais là, j’ai plus peur d’être bloqué en France que d’avoir envie de skier.
Donc, s’il y a des chances, je partirai en Géorgie entre-temps pour aller skier.
Si vous voulez les infos, ce n’est pas décidé.
Demain soir, je ne sais toujours pas où je dors, on n’a plus de logement, on n’a pas réservé d’hôtel.
Ma vie va être freestyle pendant un mois et demi.
Je ne sais pas où on va dormir demain soir.
Ça, c’est beau par contre.
Je ne pensais pas en arriver là.
C’est incroyable, on est une famille, on se barre du pays, mais on ne sait pas où on dort demain soir.
Et ça, c’est plutôt pas mal. J’aime bien, mais ça ne me stresse pas.
En fait, il y a peu de choses qui arrivent à me stresser.
Si, il y a des choses qui arrivent à me stresser, mais ce sont des trucs sans importance.
Les choses importantes, ça ne me stresse pas trop.
J’ai skié mais je suis bloqué
Ça m’embêterait d’aller en France et d’être bloqué, ça me ferait chier de skier, de partir en étant content de dire « cool, j’ai skié, super, génial », et puis « allez, on va en tailler » et là on me dit « ah non monsieur, vous êtes positif au Covid ».
Là, il n’y a pas de pire situation, dans laquelle tu n’es pas dans le nouveau pays, tu es dans le tien parce que tu pars entre guillemets, t’as toujours le visa, mais tu es bloqué dans un autre parce que tu as voulu te faire plaisir, c’est la galère.
Alors que ce soit la même chose en Géorgie, c’est qu’en Géorgie il y a beaucoup moins de monde, donc tu as beaucoup moins de chance de te choper la maladie.
En France, tout le monde l’attrape, je veux dire il y a un truc, c’est violent.
Alors pareil, est-ce que c’est vrai ou pas, je ne sais pas, mais force est de constater qu’il y a quand même beaucoup de gens qui l’ont.
Donc, je connais beaucoup plus qu’avant.
Une grippe ? Une gastro ?
Donc là, il y a vraiment un aspect de virulence.
Ce qui me permet de dire, enfin, où est passée la grippe ?
Donc voilà, parce que finalement, je pense que tout le monde a attrapé la grippe à un moment ou un autre.
Je ne sais pas, la gastro aussi.
Tiens, ma gamine a vomi il n’y a pas longtemps.
Ouais, voilà.
Donc on verra, il y a des chances qu’on parte déjà peut-être mi-janvier, peut-être dans une semaine.
Il y a des gens qui pensent qu’on partirait peut-être plutôt en Géorgie qu’en France.
En France, ça a vraiment changé, c’est devenu comme le Kosovo, sans jugement sur le Kosovo, mais j’allais dire c’est devenu comme Bagdad, mais c’est pareil.
Il ne fait pas bon aller en France.
Et pour notre cher ami Olivier Véran, on va faire une petite partie politique.
On est fou : apres les formations, un peu de politique
Bon, parce qu’on est fou aujourd’hui, on fait de la politique.
Il y a un certain Olivier Véran qui a dit :
« Vous ne passerez pas entre les gouttes, chers non vaccinés. »
Donc, ça, c’est plutôt pas mal.
Et il a surtout dit autre chose, il a dit qu’on se questionne, on s’interroge, c’est le mot exact.
On s’interroge pour savoir, alors je ne sais plus les mots exacts qu’il a dits, mais en gros, on s’interroge pour savoir si les soins qu’on doit apporter aux non vaccinés sont logiques ou pas, puisqu’ils ne contribuent pas finalement comme les vaccinés.
Ça, ça me fait marrer.
Ben non, c’est sûr, ils ne sont pas vaccinés, ils paient la même cotisation sociale au même salaire, mais tout va bien. On se pose la question.
Pour le bien collectif
Pour le bien collectif, la phrase exacte, c’est « on s’interroge sur le bien fondé collectif ».
En fait, ça va amener sur quelque chose qui doit être depuis longtemps instauré, c’est tout ce qui est assurance privée, assurance santé.
Je le dis, je pose ici mon avis, on y va, parce que les collectivités vont devoir de toute façon trouver comment combler le trou de la sécu avec tout ce Covid and Co remboursé.
Ça va faire mal, parce qu’au-delà de la crise, il faut quand même combler le trou de la sécu, avec les consultations, les hôpitaux… Il va falloir raquer.
Donc, être bloqué dans un pays qui ferme des lits d’hôpitaux, dans un pays qui ne se soucie pas de ta vie et qui pense plutôt à prendre ton fric, eh bien, il y a un moment donné où je n’ai pas trop envie d’être bloqué dans un pays comme ça.
Et j’adore la France en tant que pays géographique, j’adore la France, le peuple français je le trouve parfois…
Enfin, je ne l’apprécie pas forcément beaucoup, mais j’admire beaucoup ce qu’on est entre Français, etc.
Je suis Français.
Je ne me reconnais plus dans la France d’aujourd’hui
Mais, par contre, je ne me reconnais pas dans la France actuelle à tous niveaux : gouvernemental, sociologique, sanitaire, médical…
On ne peut plus se faire soigner correctement, et sur le plan éducatif, l’école est devenue n’importe quoi.
On ne met plus de notes, mais des points verts, des points rouges, enfin des annotations comme « assez bien » ou « pas bien ».
Je ne reconnais plus le pays dans lequel j’ai grandi.
Je vais en Provence et je ne retrouve pas la Provence de Marcel Pagnol.
Mes grands-parents ont vécu dans le Luberon, dans le Vaucluse, mais le Vaucluse d’aujourd’hui n’est pas celui que j’ai connu quand j’étais gamin.
Donc, je ne me reconnais nulle part, sauf en Savoie pour l’instant.
Il ne faudra sûrement pas longtemps avant que cela change aussi, mais avec la neige, la montagne, la verdure, la nature et les lacs, je m’y sens bien.
En Haute-Savoie, je me reconnais beaucoup moins, par exemple.
C’est le dernier endroit en France où je pourrais envisager de revenir pour y vivre.
Je pourrais le dire, mais je ne suis pas fou non plus.
Ça reste la France.
Si je suis malade, je veux avoir accès aux soins. Si je suis malade, je paie mon assurance santé. Ce n’est peut-être pas bien aux yeux de certains, mais qui m’aide, moi ? Apparemment, ce ne sont pas ceux qui disent que je vais quitter Dubaï à cause de scams.
Qui m’aide ? Personne.
Mais il n’y a pas de problème, je suis à l’aise.
En tant qu’entrepreneur, on est seul, et c’est la base. Je suis très à l’aise avec ça.
Ma famille, mon pillier
Heureusement, j’ai ma femme et tout.
Être bloqué en France, c’est être dans un pays qui te veut du mal. J
e ne vois pas l’intérêt d’aller dans un pays qui ne me convient pas.
En Thaïlande, on est beaucoup plus accueillant, au pays du sourire, peut-être ce dont j’ai besoin. Évidemment, il y a le côté hypocrite et tous les travers que représente cet état d’esprit thaïlandais, mais je m’en fous, je respecte leurs traditions. On essaiera d’apprendre un peu le thaï pour mieux communiquer.
Je veux être dans un pays où on respecte le pays.
Donc, je suis à Dubaï, et même si je ne suis pas musulman, j’apprécie les chants arabes qui sont très jolis.
Quand on passe près des mosquées, comme celle près de la crèche de ma fille, les chants sont extraordinaires.
Je n’ai pas appris l’arabe à Dubaï, car je ne suis pas dans un pays arabe, mais si j’avais été en Arabie Saoudite ou au Maroc, j’aurais peut-être appris l’arabe.
Je veux m’impliquer dans le pays où je vis à tous les niveaux.
A Rome, on fait comme les Romains
Pourquoi je dis ça ?
Parce que si je reviens en France et que je dois m’impliquer dans mon pays, je ne vois pas dans quoi je devrais m’engager.
L’école ? Non.
Les associations ? Non.
La santé ? Non.
Rien ne me correspond.
La géographie ? Peut-être le ski ou la montagne, mais autant aller en Suisse ou en Italie.
D’ailleurs, je me reconnais presque plus en Italie qu’en France.
C’est bizarre, n’est-ce pas ?
En Suisse, je me reconnais vraiment.
Ce qui me choque, c’est le respect et l’éducation des Suisses, qui sont meilleurs que les Français alors qu’ils ne sont pas français.
Ils parlent juste français, mais c’est étrange.
J’ai un dictionnaire suisse, je ne sais pas si c’est un dictionnaire français ou suisse.
On respecte le pays dans lequel on est.
Si je suis en France et que je suis bloqué en France, je peux potentiellement péter les plombs. Faire une quarantaine en France, puis en Thaïlande, ça ne m’intéresse pas de passer une grande partie de mon année en confinement.
Encore à Dubaï, c’était différent, mais là, non.
Dans une chambre d’hôtel avec une gamine, quelle horreur.
Je pense à tous les gens de Hong Kong qui sont rentrés, comme mon banquier avec ses trois enfants à l’hôtel, il était traumatisé en sortant.
On doit respecter les lois
On respecte les lois.
Par exemple, à Hong Kong, le vaccin est obligatoire.
Le passeport sanitaire est en vigueur depuis un moment.
Si demain, on est non vacciné, on ne va pas essayer par tous les moyens de rentrer dans un pays où le vaccin est obligatoire.
On respecte les règles, que ce soit en Colombie ou au Mexique.
On respecte les règles qui sont données.
Si on ne respecte pas les règles dès le départ, on ne peut pas être droit dans ses bottes et on ne peut pas apprendre les choses.
C’est important de commencer par les bases.
Pour terminer sur ce sujet un peu politique, si je peux dire, je n’en parle jamais.
Ce que je me dis, c’est qu’il y a quand même une grosse pression mondiale pour qu’on soit tous vaccinés.
Est-ce que vous pensez vraiment que c’est le moment de faire des chasses à l’homme ? Est-ce que vous pensez que c’est vraiment le moment de créer de la division ? Pensez-vous que votre voisin est votre ennemi ?
En France, peut-être, mais il n’y a pas beaucoup de pays où on pense que notre voisin est notre ennemi.
En Angleterre aussi, et en Suisse, oui.
Mais c’est européen en fin de compte.
Ce n’est pas le moment de la division, ce n’est pas le moment de cracher sur les gens, ce n’est pas le moment de se battre pour des convictions débiles qui ne servent à rien.
Peut-être que c’est le moment de s’unir.
Pourquoi toujours en vouloir à son prochain ? Pourquoi ne pas simplement changer quelque chose dans notre façon de penser et se dire que peut-être, l’autre fait cela pour une raison que l’on ne comprend pas, mais qui, dans sa manière de faire, est bienveillante ?
On a le droit a l’erreur
Peut-être que la personne se trompe, qu’elle n’a pas pensé à certaines choses ou qu’elle a le droit à l’erreur.
Je ne sais plus quel philosophe disait cela, mais on fait tous de notre mieux avec les informations que l’on a à notre disposition.
Pourquoi accuser les gens de mauvaises intentions ?
Nous faisons tous de notre mieux avec les informations que nous avons.
Ainsi, comme le dit mon associé, nous avons fait de notre mieux au moment où nous le pouvions.
Dire que nous n’avons pas bien fait les choses signifierait que nous n’avons pas tout donné ou que nous ne nous sentons pas concernés.
C’est vrai que lorsqu’on fait quelque chose, on le fait en estimant que c’est le mieux possible avec les informations dont on dispose à ce moment-là.
Peut-être que c’est une erreur, peut-être que ce n’est pas bien et que nous aurions pu faire mieux.
Soyez constructif, meme dans vos critiques sur les formations
Proposez des critiques constructives, car les sujets à débat et les critiques constructives semblent ne plus exister.
Donc, lorsque vous parlez et que vous voulez critiquer les gens, faites preuve d’intelligence.
Ça ne m’a jamais dérangé de répondre à des personnes intelligentes qui me critiquaient, j’aime bien ça.
D’ailleurs, je l’ai dit aujourd’hui, la personne qui a essayé de me critiquer n’était pas malveillante dans ses intentions.
C’était même presque bienveillant.
Je n’en parlais pas en termes de bienveillance, mais c’était avec un bon fond.
De plus, cette personne n’a pas insulté, il n’y a pas eu de dénigrement.
J’apprécie beaucoup cela, je le dis, il peut ne pas être d’accord, il peut ne pas comprendre.
Le seul point qui me dérange, c’est que cette personne ne se pose pas de questions avant de me condamner.
Ça me gêne davantage.
Mais ce sont des valeurs, ce n’est pas dans les faits, il n’y a rien de méchant.
Donc, cela se respecte, c’est tout.
Puis franchement, le jour où quelqu’un me dira des bêtises, enfin je veux dire, j’ai une sale gueule, des lunettes, j’ai souffert dans mon enfance.
Dans ma vie, il m’est arrivé des choses incroyables, les gens me traitaient de mythomane.
On me traitait de mytho tout le temps, alors que ce qui m’est arrivé était vraiment incroyable et personne ne le croyait.
J’ai vécu des aventures2fou
J’ai même un ami, quand je lui ai dit que je montais une entreprise, que j’avais un associé, le mec était chez moi, je l’ai invité à boire un café.
Il m’a traité de menteur et de mythomane.
En fait, ce n’était pas vrai.
C’était un ami de longue date.
Ça faisait 8 ou 9 ans. J’étais son gourou à une époque.
Il me traitait de mythomane, alors que ce n’était pas le cas.
Les gens ne le savent pas, par exemple, j’avais fait une première partie à la Cigale.
Je racontais cela, j’étais allé seul et tout, les gens me disaient que j’étais un mythomane.
Ce n’était pas encore l’époque où l’on filmait, où l’on partageait tout.
Aujourd’hui, il y aurait la vidéo et le sujet n’existerait pas.
À l’époque, en 2008, cela n’existait pas trop.
J’avais même fait une première partie pour Cœur de Pirate.
On était plusieurs, et j’avais même parlé à Béatrice Martin, qui est la femme de Cœur de Pirate, sur scène.
Je pensais qu’on m’attaquerait sur le physiques et sur mes formations
On échangeait et tout.
Mais alors pourquoi je dis ça? Quel rapport?
Enfin je dis ça parce que je veux dire, avant qu’on m’atteigne aujourd’hui en me disant que ce n’est pas vrai ce que je dis, que je suis un voleur, un escroc, que je mens.
Le seul point que je trouve, et que franchement je pensais, c’est que je pensais qu’on attaquerait le physique et que les gens n’attaquent pas le physique. Peut-être parce que c’est la tranche d’âge.
On est sur du 25-40 ans, en moyenne dans ce groupe.
On n’est pas sur des 12-20 ans ou sur des gens moins éduqués.
C’est une génération qui a appris la leçon: ne fais pas ce que tu ne veux pas qu’on te fasse. Qui aujourd’hui commence un peu à être balayée, mais voilà.
Je reste imperméable
Et ça, franchement, je pensais qu’on s’attaquerait gravement.
Alors je m’en fiche, je veux dire, c’est pareil, je suis vraiment imperméable à ces choses-là.
Les trucs qui m’atteignent, ce n’est pas ça.
J’ai déjà eu des conflits juridiques, j’ai déjà eu des problèmes, je veux dire, j’ai des avocats, j’ai rencontré des personnes.
Le seul point sur lequel on peut vraiment m’attaquer, je l’ai dit pour celui qui voudrait le faire, mais il ne peut pas y arriver parce que ce n’est pas là-dedans.
Ce qui me fait monter en pression, c’est d’être en surcharge dans ma vie personnelle avec des petites choses que je ne peux pas gérer.
Exemple du banquier
Voilà, par exemple, il faut appeler le banquier parce que le truc, derrière il y a le contact, il doit t’avoir, parce que sinon il part en vacances donc il faut absolument que tu fasses ça.
Plein de petits trucs comme ça, qui arrivent tous en même temps dans la journée.
Ça me fait monter en pression parce que d’un coup, je dois tout reorganiser, tout doit être modifié.
Par exemple, mon départ aujourd’hui et demain pour Dubaï m’a en fait compliqué mon mois de décembre parce que ce n’était pas prévu comme ça et je me suis fait un peu piéger par moi-même.
Donc là, je ne peux en vouloir à personne, je ne vais en vouloir qu’à moi-même enfin un autre aspect de nos décisions, des conséquences et cetera, mais voilà, c’est le seul truc qui me fait monter en pression et je le sais parce que quand je monte en pression, je parle la nuit.
Je me réveille, je dis des trucs, je hurle et tout.
C’est très étrange.
Et ça faisait longtemps que cela ne m’était pas arrivé. Voilà donc je monte en pression à cause de ces trucs.
Ce qui me stresse vraiment ce sont toues les petites choses futiles, pas le manque de formations
Mais par exemple, les gens vont confondre avec le fait que je sois stressé parce que je ne sais pas où je vais dormir demain soir.
Mais ça ne me met pas la pression.
Pas du tout, ce sont les petites choses, c’est le mec qui essaie de m’extorquer, je passe par lui, je n’ai pas eu le temps de challenger un truc, du coup ça m’énerve parce que je sais que ça, c’est comme ça et je ne peux pas faire autrement.
Ce n’est pas un problème de maîtrise, c’est un problème de je sais que j’aurais pu mais la priorité je l’ai mise ailleurs parce qu’il y a d’autres priorités et donc, comme d’habitude, on a fait du mieux qu’on a pu comme on a pu, mais je suis frustré parce que j’aurais pu faire mieux.
Ca me stresse
Et ça me stresse. Mais donc personne ne peut m’atteindre là-dessus à part ma femme et ma fille. Mais personne ne se focalise là-dessus.
J’ai vécu, je vous raconte deux ou trois trucs.
Quand j’étais gamin, j’ai un pote qui est mort.
J’ai une petite qui s’est brisé le cou quand j’étais avec elle, qui s’est brisé le cou dans les escaliers, mais morte, il m’est arrivé des choses dans ma vie où vraiment, même la mort, ce n’est pas grave, enfin ce n’est pas grave, c’est la vie en fait, c’est grave mais c’est la vie.
La maladie, des trucs comme ça, ça fait partie de la vie, qu’on vive bien ou pas, ce n’est pas le sujet, mais j’ai déjà vécu, j’ai déjà de l’expérience sur ça et je veux dire, avant qu’on vienne m’atteindre parce que je ne sais pas quoi, voilà.
Après moi, j’aime bien en discuter, j’aime bien en parler, je peux en parler dix fois, dix ans, mais franchement, voilà.
J’ai une coquille emotionnelle solide
Donc pourquoi je dis ça ?
Parce que essayez pas de m’atteindre émotionnellement, franchement ça va être compliqué. Je ne dis pas que c’est impossible, mais je suis quand même pas mal imperméable à beaucoup de choses.
Et puis je veux dire voilà, et le tout dernier point pour terminer ces messages, mais en fait vu que je suis en manque de podcast, j’en fais quand même quelques-uns.
Les gens qui me disent pareil, ce n’est pas vrai, regardez, je peux parler deux heures là, j’ai quatre heures.
Si vous voulez, on se fait un live, je peux parler quatre heures, vous le savez, en plus.
Je ne sais plus ce que veut dire le dernier truc.
Oh mince! Je ne sais plus. Zut! Je suis parti en sucette, je suis fatigué.
Bon, ça me reviendra, je referai peut-être un message, mais je voulais poser les choses, je voulais remettre l’église au milieu du village, et c’est important, on repart il y a une nouvelle année qui arrive avec plein de problèmes, donc il y a déjà un problème à Dubaï qui m’arrive entre le 15 et le 20 février, qui arrive comme une autoroute, qui me dit, j’ai entamé le dernier virage, c’est la ligne droite, j’arrive.
Derniere ligne droite de mon expatriation : je dois abandonner des projets et des formations
Ce qui va me casser les pieds, donc je sens déjà qu’entre mi-février et fin février, ça va être compliqué. Donc voilà. Pareil, des trucs que personne ne sait.
Quand on a un compte et une boîte, ils font un papier, ce papier, on ne l’a qu’à un endroit dans la banque, on est obligé d’être sur place, obligé de faire un aller-retour.
Si on fait un aller-retour, on est obligé de se retaper une quarantaine si on rentre en Thaïlande, donc voilà, il y a plein de choses comme ça, mais c’est le choix, c’est un choix, je peux assumer ces choix, donc on les assumera.
Et voilà, et je le dis aussi, il y a plein de gens qui me demandent du coup maintenant de participer à certains projets, etc. J’aime bien, moi j’adore faire du consulting chez les gens.
Vraiment, c’est un truc que je kiffe, c’est comme je l’avais dit il y a quelques mois, je pense que l’année prochaine ce que je vais faire, c’est que je vais évoluer en mode consulting B2B.
Ce n’est pas du coaching, mais vraiment, je critique ton truc, voilà les solutions que je peux mettre en place.
Du coaching, mais en mode consulting.
J’aime bien accompagner des gens dans les projets et leur montrer qu’il y a des choses qu’ils ne voient pas et qui peuvent être très intéressantes à faire, il y a des critiques constructives qui peuvent être amenées, j’adore ça, je kiffe pour des heures, des jours.
Par contre, je suis très fatigué de gérer tout ce qui est SAV, etc.
Et on ne peut pas, enfin, avec Web2Fou ça va parce que j’ai arrêté la pub, quand je vais relancer la pub, ça va être l’enfer.
Parenthese audience et publicité en Afrique : ils ont de l’argent pour des formations
J’avais fait de la pub chez les Africains.
Je sais qu’il y en a pas mal qui écoutent Web2Fou, je ne sais pas s’ils sont fans des podcasts les Africains. En tout cas, j’en ai moins qu’avant qui me contactent.
Pourquoi je dis ça ?
Parce qu’à un moment donné, j’avais fait de la pub chez les Africains, qui sont des fans de WhatsApp, je recevais 200 messages par jour.
Ça me faisait marrer.
Pourquoi ?
Ça m’a permis de voir qu’au Nigeria, il y avait de la cryptomonnaie que les gens n’avaient pas dépensée et qu’il fallait qu’ils la dépensent.
Du coup, ça nous a permis de faire une offre sur de la cryptomonnaie en payant en cryptomonnaie, etc. L’idée que j’avais donnée, ils l’avaient tentée aussi. Ils n’avaient pas obtenu le même résultat par contre.
Très intéressant, au Nigeria il y avait beaucoup de cryptomonnaies.
Et pareil, si on ne répond pas aux gens sur WhatsApp, on ne le sait pas. Donc ça ouvre des marchés, il y a des idées, enfin c’est bien de tester des choses.
Il y en a qui disent, par a priori débile, que les Africains n’ont pas d’argent à dépenser, alors autant ne pas se casser la tête.
Mais il y a peut-être des choses plus intelligentes à faire.
Et c’est toujours pareil, en fait, la différence se trouve entre ce qui semble évident et la façon de réfléchir qui l’est moins.
Les évidences, j’aime bien les retourner à l’envers pour voir s’il n’y a pas une autre façon de penser.
Généralement, il y a toujours une autre façon de penser.
On m’apprécie pour mes formations, mon mindset et mes facons de voir les choses
Je sais que beaucoup apprécient mes façons de penser et c’est pour ça qu’ils me suivent.
Je pense que c’est une vraie valeur ajoutée que j’ai, j’en ai conscience dans les projets que je côtoie, dans le consulting que je fais, dans les formations, dans les petites astuces.
J’aime bien l’effet « ah ouais, pas bête ».
C’est cet effet que je recherche dans toutes mes formations et en général, il est là.
Je trouve ça important de créer cet effet « waouh, c’est pas bête ».
Pour moi, c’est un signe d’ouverture d’esprit, et c’est le plus important.
Peu importe la formation.
Plutôt que de faire un tuto banal sur comment importer sa liste et appuyer sur le bouton envoyer.
Donc, c’est vraiment pour dire que j’apporte de la valeur ajoutée, je n’apporte pas seulement des tutoriels YouTube sur des choses basiques.
Ce que les gens cherchent, ce sont des idées, des astuces un peu malines, pareil sur la crypto, comment construire des projets malins ?
Du Play2Earn, comment être un peu malin ?
C’est ce que les gens recherchent et ce n’est pas simplement une formation sur comment créer un projet de A à Z.
L’unique Formation que tout le monde devrait avoir
Je sais que la formation marcherait énormément et je ferais beaucoup d’argent avec, j’en suis même certain, mais ça ne m’intéresse pas.
Je préfère expliquer comment réussir son projet. Certes, ça se vendra beaucoup moins, mais la fidélité derrière un truc comme ça est au top.
Je précise, parce qu’il y a tellement de sujets.
Une formation que tout le monde devrait avoir dans son catalogue, la numéro un, c’est comment créer une mailing list, une newsletter de zéro.
Je rajouterais même avec 0 euro. Tout le monde devrait avoir cette formation-là chez les infopreneurs.
Pourtant, moi je ne l’ai pas. Et pourtant mon job, c’est le marketing.
Pourquoi ? Parce que je trouve ça ennuyeux.
En vrai, parce que je trouve ça nul.
Parce que même ce que moi je mettrais en place pour y arriver, les gens seraient déçus.
Pourquoi ? Parce qu’il n’y aurait pas d’intelligence, ce seraient des choses normales.
Alors les débutants seraient super satisfaits et diraient « Ah ouais, c’est bien ».
Mais moi, je veux susciter l’effet « Ah ouais, c’est pas bête ».
C’est ça que je cherche.
Passer de 10 000 inscrits a 100 000 inscrits ?
Donc, même si je fais une formation comme ça, je la ferais plutôt pour des personnes qui veulent passer de 10 000 inscrits à 100 000 inscrits.
Là, on est dans l’astuce intéressante.
On n’est pas dans comment passer de zéro à 1 000 inscrits, c’est naze.
N’importe qui peut le faire avec un peu de pub, quelques articles, deux-trois vidéos, etc.
Allez sur LinkedIn, allez dans les groupes Facebook, faites deux vidéos TikTok, et ça ira bien.
Parce que, même si vous avez 10 000 inscrits, si vous n’avez pas de produits intéressants et si ce n’est pas intelligemment fait, ça ne sert à rien.
Donc, j’explique ça parce que mon état d’esprit est celui-ci dans n’importe quel projet.
Et moi, je reste avec des gens qui ont des valeurs.
Maintenant, je suis un caméléon, je suis un mercenaire.
Quand je dis caméléon, je m’explique, je ne m’appelle pas Jarod.
C’est le fait que je m’adapte aux gens qui sont en face.
Si dans le projet, il y a des personnes intelligentes, sérieuses, avec des idées sérieuses, je m’adapte.
Si ce sont des personnes qui veulent juste faire des mines de NFT et qui ne sont pas vraiment engagées, l’idée c’est de lever le plus d’argent possible.
Tant qu’ils livrent le produit, je ne vais pas chez des gens qui sont là pour arnaquer, qui ne réalisent pas le produit, ce n’est pas intéressant.
Les gens oublient souvent les fondamentaux
Il y a des catégories de personnes qui réagissent d’une certaine façon et c’est vrai que c’est très intéressant. Avec l’expérience, je me rends très vite compte des motivations des gens.
Quand je vois des nouvelles équipes se lancer, notamment dans des projets innovants, ce qui est intéressant, c’est que les gens oublient souvent les bases fondamentales.
Finalement, quand tu leur rappelles, ils disent « Ah oui! ».
Ils arrivent à changer de point de vue : économique, business, consommateur, logique.
Parce que certaines personnes ont juste une vision, c’est l’argent.
L’important, c’est de ne pas toujours penser à l’argent. Il faut respecter toutes les perspectives.
C’est compliqué, on a de très beaux exemples de personnes qui ne cherchent pas à lever de l’argent auprès de gros fonds.
Ils disent « on ne veut pas vous appartenir, on est au-delà de l’argent ».
C’est le leitmotiv, c’est hyper important.
Les gens diront toujours des choses, mais je pense que c’est la valeur qui est vraie.
Les raisons pour lesquelles ils le font, bien sûr, il y a du marketing, mais il y a aussi d’autres motivations.
Le fond est toujours plus important que la forme, surtout dans les formations
Il y a une valeur fondamentale qui prime, celle-ci est la plus importante.
C’est le fond, pas la forme.
Sur cette note, j’arrête là.
Ainsi, vous avez pu écouter vos podcasts de la semaine.
C’était un peu difficile à écouter.
Je vous conseille d’écouter les gens sur plusieurs jours. Heureusement qu’il y en a deux.
C’est cool. Il y a un gars, Sébastien, avec qui je m’amuse en faisant des enregistrements sur Skype. Je ne sais pas pourquoi sur Skype, mais il n’y en a pas deux sur Skype, c’est vraiment la galère.
En plus, ils ont ajouté une fonctionnalité horrible sur Skype.
Les messages ne sont plus limités à 2 minutes, mais à 5.
Nous nous envoyons donc des enregistrements audio qui sont assez longs et malheureusement, nous ne pouvons pas les accélérer.
Ça me fait donc rire.
Conclusion
C’était une très bonne soirée.
Demain, ça va être génial.
Ces derniers temps, je n’ai pas animé les groupes autant que je le souhaitais.
Cela est dû au fait qu’il n’y avait pas de podcast. J’ai plutôt animé sur les cryptomonnaies et moins sur les relations de couple.
La prochaine fois, ça va être compliqué. J’ai l’information et j’ai dit que je la sortirai lundi. J
‘espère pouvoir le faire. Normalement, c’est faisable. Je n’ai pas encore enregistré les podcasts.
Ce week-end, je le ferai. Je dois être dans un endroit assez stable sachant que je suis en train de déménager et je n’ai pas encore trouvé de logement.
J’ai mon micro, tout va bien, mais je dois encore enregistrer.
J’espère que ce sera la dernière semaine comme ça et que la situation s’améliorera.
Je vous souhaite une très bonne soirée à tous et à bientôt.