Hong Kong : Un Montage Offshore Spécial

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Sommaire

Hong Kong : Un montage particulier

Hong Kong : Ma Holding.

Alors, pour comprendre l’existence des différentes sociétés, il faut déjà saisir la problématique qui a été longue à se dessiner.

Est-ce que je vais en Suisse ?

Ou est-ce que je vais monter une entreprise ailleurs ?

Est-ce que je vais au Montenegro?

Ou Est-ce que je vais en Thaïlande ?

Il y a un montage avec une holding qui permet, peu importe où l’on se trouve dans le monde, de ne pas avoir de problème globalement avec une fiscalité quelconque.

Attention, ce n’est pas en rapport avec le fait d’éluder l’impôt, puisqu’on paye des impôts dans tous les cas, mais c’est plutôt pour minimiser son imposition sur des activités réalisées à l’étranger.

De toute façon, je ne suis plus résident en France depuis des années et je ne compte pas revenir.

J’ai toujours payé mes impots en France

Pour ma part, j’estime avoir largement payé ma dette pour ma vie en France.

Quand j’ai eu des problèmes de santé, on ne m’a pas aidé, j’ai toujours dû attendre longtemps pour avoir une IRM ou pour aller à l’hôpital, des situations complètement absurdes.

Le système de santé en France est en déclin.

Cela fait bien longtemps, mais avec la crise, cela s’est accentué et cela pourrait être pire. Ce n’est que le début.

Je pense qu’on se dirige en France vers une privatisation de la santé, tout en continuant bien sûr à assurer une couverture sociale pour notre travail.

Le système de protection sociale est intelligent à la base, ça permet de donner accès aux soins à tout le monde.

En fait, au départ, les idées sont bonnes, ce n’est que plus tard qu’il y a des problèmes.

C’est comme la bombe nucléaire en fait. Au début, il y a des aspects positifs, mais ensuite, les dérives surviennent.

C’est toujours pareil en fait, et c’est propre à l’homme.

Je ne veux pas trop m’étendre là-dessus, mais voilà.

La santé a l’étranger : Hong Kong, Dubai, Thailande

Concernant le système de santé à l’étranger, j’ai toujours été bien accueilli, même si c’est du privé et qu’on paye pour notre santé.

Je paye moins cher à l’étranger qu’en France, compte tenu de ce que je gagne.

Donc, je veux bien financer la santé de tout le monde en France, et ça ne me dérange pas, mais à partir du moment où je cotise énormément en France, j’estime que si je dois passer un IRM, je ne devrais pas attendre trois ou quatre mois.

Sinon, je ne vois pas l’intérêt, car il y a des personnes qui ne cotisent pas et qui ont accès aux IRM en deux jours.

C’est très personnel.

Alors, est-ce grave ?

Était-ce grave ou pas ?

Ce n’est pas le sujet.

Je veux dire, tout s’explique, il y a toujours une raison, ce n’est pas un problème en soi.

Mais quand on paie des millions en cotisations sociales et qu’on ne peut pas obtenir un simple IRM, cela pose question.

Quid de Hong Kong?

La santé en France : Du non-sens complet

À un moment donné, il y a une quête de sens.

Si c’est pour, comme je l’avais dit à l’époque, ne pas pouvoir aller à l’hôpital en cas de pandémie parce que c’est saturé, alors que tu as cotisé pendant des années, ça pose problème.

On pourrait penser qu’en cotisant beaucoup, on serait privilégié, et c’est le principe de la solidarité sociale, ce qui est bien.

Mais à l’inverse, si tu participes énormément à ton pays et que tu ne peux pas te faire soigner ou qu’on ne s’occupe pas bien de toi, c’est une relation à sens unique.

Concernant les aides pendant la crise du Covid, le problème est que ce ne sont pas des trésoreries, mais des emprunts qui seront remboursés par nos impôts.

En fait, c’est un véritable piège.

Certains se plaignent de diverses situations, mais à côté, cela paraît insignifiant. Les caisses du gouvernement sont un piège déguisé.

Pour ce qui est de l’éducation, les notes et les problèmes actuels, comme les questions de genre et autres, cela part complètement en vrille.

Je vous donne mon avis, je tranche.

Pourquoi payer un systeme de santé qui s’est effondré depuis longtemps

J’allais bien en 2022, je vais trancher un peu.

Je respecte tout le monde, il n’y a pas de problème.

Chacun sait ce qu’il veut, mais arrêtons de nous embêter avec ça.

On a tous un ami gay, une amie lesbienne, un ami noir, un ami arabe, un ami juif, je veux dire, le sujet n’est pas là.

Le sujet, à mon sens, c’est ce qui est en train de se passer.

Je n’épiloguerai pas là-dessus, mais c’est de se demander si je paye et je suis dans mon pays, dans quel but?

Et je vois qu’il n’y a pas pire aujourd’hui qu’être en France pour ne pas avoir de quête de sens.

En France, tu payes, et avec ce qui est prélevé, tu vas payer quoi? Les travaux de ta maison? D’accord.

On dit qu’il y a un bon système de santé. Ah oui, on voit ça.

Il y a un bon système d’éducation. Ah oui, on voit ça.

Je serais curieux de savoir où est passé le budget de l’éducation l’année dernière.

Quand on compare avec Dubai, Hong Kong, la Thailande…

Il y a des choses comme ça, et donc à un moment donné, je voulais parler de cette situation.

Je suis content d’être parti avant le Covid, parce que franchement, j’aurais pété les plombs.

Si j’avais fait le choix de ne pas partir, je serais resté en France pendant le Covid, j’aurais mal vécu et je serais devenu presque méchant, parce que j’aurais dit « Je suis débile, je le savais« .

Ma regle d’or : Bouger tous les deux ans (Thailande, Hong Kong, Dubai)

Moi, j’ai une règle d’or, c’est de toujours bouger tous les deux ans.

Tous les deux ans, je crée une entreprise, tous les deux ans je change de banque.

Tous les deux ans, je bouge, et c’est contraignant, mais quelle liberté !

En Thaïlande, peut-être un an, deux ans. Donc j’explique un peu et je reviens sur le sujet sur pourquoi.

Quel visa pour la Thailande ?

J’avais le choix de rentrer en visa élite en Thaïlande et débourser 35 K ou 30 K, je ne sais plus.

Avec ce visa, on est tranquille pendant 5 ans.

Le truc, c’est que je n’ai pas confiance, donc m’engager sur cinq ans à 40 K, j’appelle ça donner mes 35 K à n’importe qui.

À mon avis, je n’y resterai pas 5 ans.

Donc je me suis dit, en alternative, avec ce visa, on ne peut théoriquement pas travailler même si beaucoup le font, c’est-à-dire qu’on ne peut pas avoir une activité professionnelle.

Il y a des règles spécifiques qui sont interprétées différemment par les avocats du barreau de Thaïlande, qui se chargeront d’interpréter la loi en leur sens.

Donc voilà, ça se passe comme ça. Du coup, on va créer une société, en plus de la holding que j’ai a Hong Kong.

Un société Thailandaise qui me redonne ma liberté

La société est clairement une coquille vide, c’est-à-dire qu’elle s’appelle « Marketing » et ne sert à rien.

Il y aura deux ou trois factures dessus, je ne sais pas ce que je vais mettre dessus, peut-être envoyer un ou deux mails d’affiliation sur Web2fou et me faire payer sur cette société pour montrer qu’il y a de l’activité.

Mais vraiment, ça sert juste pour mon visa. Je renouvelle tous les ans.

L’avantage est que je suis libre tous les ans.

Le désavantage, c’est que tous les ans, j’ai une petite épée de Damoclès et il ne faut pas se louper.

Les visas, ca reste vraiment compliqué

Une autre épée de Damoclès concerne les visas, c’est-à-dire que si jamais il y a un confinement à cause du Covid, ça repousse d’autant plus les visas, donc je peux peut-être me retrouver avec un an et cinq mois de visa ou moins, je ne sais pas.

La grosse problématique, c’est que je garde mes libertés et ma société à Dubaï, ainsi que mon visa aux Émirats arabes et un visa en Thaïlande.

L’idée, c’est de faire un triptyque, c’est-à-dire l’espace Schengen, l’Europe à peu près, où je pense ne pas remettre les pieds avant un certain temps.

L’Asie me plait bien, avec la vie en Thailande et la finance a Hong Kong.

Je suis devenu un étranger en France

Enfin, je veux dire, il y a la famille, tout ça, mais franchement, à part le ski, je ne vois pas pourquoi je retournerais en France, où je suis trop parti.

Je suis devenu étranger en France, je suis désolé pour ceux qui y sont encore une fois.

Moi, c’est mon pays, la France, d’accord, je suis né là-bas, le pays que j’ai connu, dans lequel j’ai grandi, le pays de mon enfance.

Voilà, je l’avais dit la dernière fois, la Provence de Marcel Pagnol, ça n’existe plus pour moi.

C’est un rêve, ça n’existe plus.

L’État qui fait des choses, c’est terminé.

Je pense que ça a basculé depuis Chirac, quelqu’un m’a dit que ça a basculé le jour où Chirac a fait son AVC.

Et c’est vrai, on peut dire que c’est là que ça a basculé, en 2005.

Je ne sais pas, on est dans des théories, mais pourquoi pas, ça s’étudie.

Plus largement, je suis un étranger en Europe

Le truc, c’est que je ne vois pas pourquoi je retournerais en Europe, plus largement que la France, c’est l’Europe. La Suisse m’a déçu, honnêtement, j’ai vraiment les boules de ne pas aller en Suisse.

Je suis vraiment très énervé de ne pas aller en Suisse, vraiment, je suis très déçu.

Certains m’ont parlé de problèmes fiscaux, mais ce n’est pas ça, on peut discuter avec les autorités, se mettre d’accord sur une somme, il y a des moyens de jouer avec les règles.

Je suis entouré de très bonnes personnes pour ça, ce n’est jamais un problème d’argent.

Les problèmes d’argent se résolvent, c’est ce que les gens ont du mal à comprendre.

Qui de la Suisse ?

Le truc, c’est que pour moi, la Suisse, c’est terminé, elle a vendu son âme au diable avec les banques.

J’avais une sorte d’espoir qui était de dire, « Ah, ils ne vont pas adopter le passe sanitaire« .

Mais si, ils l’ont fait.

Alors voilà, pour moi, la Suisse n’est plus un pays neutre, elle appartient à l’Europe.

On dit que la Suisse est neutre, qu’elle est un pays indépendant, non, c’est terminé.

La Confédération a repris les pouvoirs, et pour moi, cela a entériné la situation.

On est partis pour quelques années, peut-être quelques décennies, avant que cela ne se termine.

L’Europe a conquis le monde occidental, les Américains en Amérique, et la vie en Asie.

On est en train de diviser tout cela.

Je ne sais pas comment ça va se passer, mais en toute honnêteté, ma femme aussi le vit mal, elle en pleure parfois en voyant ce qui se passe.

On a des informations, on connaît des gens bien placés, on voit des choses qu’on ne devrait pas voir, c’est compliqué.

On peut toujours comparer avec Hong Kong ou Dubai, meme si ce n’est pas pertinent.

L’avenir européen n’est pas radieux – L’avenir asiatique (Hong Kong, Thailande) un peu plus

On va vers un sacré bordel. Les choses basculent, en mal comme en bien.

Cela peut prendre trente ans, ou cinquante ans.

L’idée, c’est d’être mobile.

Je garde ma boîte à Dubaï pour conserver le visa et, malheureusement, pour devoir revenir une fois tous les six mois.

Ce qui signifie qu’en allant en Thaïlande, il faut que je renouvelle mon visa tous les ans.

Et que je renouvelle mon visa de Dubaï tous les six mois en repartant à Dubaï, en foulant le sol des Émirats pendant au moins un jour, je crois, ou deux, je ne sais plus.

Ainsi, tous les quatre à six mois, j’aurais toujours deux ou trois choses à faire.

C’est pourquoi le choix a été long et j’ai beaucoup hésité.

Pour ceux qui ont suivi l’histoire, c’est parce que si je vais en Thaïlande et que j’ai mon visa qui se renouvelle tous les ans, il faut aussi que je renouvelle mon visa de Dubaï, ce qui m’oblige à retourner à Dubaï tous les six mois.

Les angoisses de quarantaine

Ce qui veut dire qu’une fois que tu pars, tu refais ta quarantaine.

Donc ça veut aussi dire que du coup je mets de côté ma femme et ma fille au niveau des visas, c’est-à-dire que je ne renouvelle que le mien.

Pourquoi ?

Parce que je garde la boîte, car à tout moment je pourrais y revenir.

Et si on revient à Dubaï, ça me coûte moins cher, je fais juste un aller-retour et je refais une quarantaine de dix jours.

J’angoisse déjà, je ne suis même pas arrivé là-bas, j’angoisse déjà que quand je vais revenir à Dubaï et que je vais repartir.

Et ça, tous les six mois.

J’ai accepté que j’allais faire 10% de mon année en quarantaine.

C’est ça que j’ai accepté en fait.

C’est pour ça que je pense que ça ne va pas durer dix ans, à un moment donné, je vais péter les plombs.

Donc j’ai accepté, pourquoi ?

Parce que je me dis que ce que je vais chercher là-bas en vaut la peine.

En Asie en général, ils ont été plus strictes, mais c’est dans leur culture (Hong Kong, Singapour, Thailande).

Pourquoi j’ai risqué la Thailande ? Pourquoi un montage a Hong Kong ?

Faut bien comprendre, c’est la notion de risque.

Aller le chercher en Suisse, j’aurais un peu plus de copains, j’aurais un peu plus de gens qui sont plus de mon état d’esprit et cetera, c’est sûr qu’en Thaïlande ça ne va pas être pareil, mais ce n’est pas ça que je cherche.

Je vais peut-être m’exclure socialement en Thaïlande, ou pas, on verra.

Mais ça va me donner plus de peps pour enclencher une autre niveau de vie, une autre attitude, plus relax et tranquille, on a le temps. Je commence à le faire, c’est dur, mais ça passe.

Bien sûr, je gagne moins d’argent cette année qu’avant. Je suis dans une phase régressive et cela me dérange. On ne voit plus les commerçants.

Maintenant, ce sont les machines qui me font rire.

Par exemple, à Dubaï, ils acceptent les paiements en Bitcoin si tu veux acheter une Lambo, même les appartements sont payables en Bitcoin, c’est cool.

Peut-être qu’on achètera un appartement en Bitcoin, je ne sais pas, j’ai regardé s’il fallait en acheter un pour obtenir un visa investisseur à Dubaï, mais il y a certaines conditions.

Tout cela est un compromis global et je n’ai pas trop le choix.

C’est tres complique d’avoir des visas ou un permis de residence a Hong Kong.

Des contraintes de visa et administratives

Ensuite, c’est en Thaïlande où ma famille est hébergée pour mon visa.

Il y a des obligations à respecter, une sorte de capital à déposer et une domiciliation.

Il y a aussi quatre salariés employés, mais ils n’ont rien à voir avec les salariés français.

C’est compliqué, donc je vais leur faire nettoyer la plage, c’est clair. Je ne vais pas rentrer dans les détails techniques.

Une histoire de charia pour ma succession A Dubai (D’ou la holding a Hong Kong)

Ensuite, c’est à Hong Kong que ma société est rachetée. Ainsi, tout est centralisé à Hong Kong.

Pourquoi? Parce qu’à Dubaï, la loi de la charia prévaut.

Les musulmans la connaissent mieux que moi, mais ce qui me gêne, c’est que j’ai que des femmes et qu’elles ne sont pas trop privilégiées par la charia.

Hong Kong : process streamliné

Si je meurs demain, ma fille possédera un huitième de ce que j’ai, et le reste ira à l’Etat ou quelque chose comme ça.

Donc si j’ai une résidence fiscale à Dubaï, je suis quand même embêté.

Bien sûr, il n’y aura pas d’impôts de succession, mais en Suisse, par exemple, elles auront un pot de succession. C’est le pire sujet qui est justement d’après la fiscalité.

Donc, tu peux avoir ta résidence qualifiée, tes entreprises, ton compte bancaire et même tes morts dans différents pays.

C’est la théorie des cinq drapeaux que j’applique malgré moi.

En fait, si ça n’existait pas, je l’aurais fait naturellement parce que, pour plein de raisons, c’est du bon sens.

Ce n’est pas une technique d’évasion fiscale, c’est une technique de protection et de diversification pour protéger son capital.

La société que j’ai créée reconnaît le pacte de mariage et permet à ma femme d’avoir accès à mes comptes.

Je peux faire des sortes de délégations pour certaines choses, ce qui plaît à ma femme.

Tout est sous couvert de la holding, donc elle pourra gérer tout ça si jamais je meurs.

Ce qui me manque, c’est d’avoir une maison chez moi. Cependant, je suis très incohérent à ce sujet.

Préférer la location a la possession ? Pas a Hong Kong

J’aimerais avoir ma propre maison, mais je ne veux pas m’embêter avec les contraintes qui vont avec.

C’est presque impossible de nos jours.

Donc, cela me convient très bien de louer.

Je préfère tellement la location à la possession.

Déjà, je peux partir à tout moment. Je crois que le fait de payer un loyer toute ma vie me convient mieux que d’acheter un bien.

Parce que, à tout moment, les choses peuvent devenir compliquées.

Et je pense que, dans ces cas-là, il vaut mieux louer.

Le problème est que vous n’êtes pas chez vous.

Vous ne pouvez pas refaire la décoration, vous ne pouvez pas casser un mur, il y a des limites.

Et cela peut être ennuyeux. Vous devez dépenser de l’argent pour cela.

Vous payez des loyers, vous payez les frais de bureau et cela recommence à chaque fois.

Posséder un bien a Hong Kong ne fait pas sens.

Des ordinateurs a 15 000 euros ?

Dans ma société, j’ai inclus ces coûts dans les pertes et les profits en disant que, de toute façon, cela me coûtera X % de mon chiffre d’affaires chaque année.

Je n’ai pas de gros problèmes de paiement, c’est quelque chose que je prends très au sérieux.

Je n’ai pas de problèmes de paiement, c’est rare, mais ça arrive.

Donc, au lieu de perdre les quatre pour cent de mon chiffre d’affaires parce que machin n’a pas payé, je prévois deux ou trois pour cent pour mes frais de bureau, pour changer d’ordinateurs, pour acheter un iMac, un MacBook Pro.

Je vais probablement m’acheter un MacBook ou un iMac pro avec 15 000 boules. Pourquoi ?

Juste pour travailler confortablement et parce que j’y pense depuis des années.

En soi, je n’en ai pas besoin, mais je me dis que cela peut être utile.

Mais bon, je n’achèterai jamais un ordinateur à 15 000 euros, ça serait débile. Je pense que je vais acheter un ordinateur 4K et racheter 4 ou 5 MacBook Pro et ça sera très bien pour deux ou trois ans.

Donc, oui, ça fait sens.

La société que j’ai créée à Hong Kong me permet de gérer ma succession, et cela sera mon sujet de 2022, une fois que nous serons installés, probablement vers le milieu de l’année.

Et donc, je vais liquider une entreprise qui était déjà là, mais qui me pose des problèmes.

En fait, elle me casse les couilles parce que la holding n’a plus besoin de cette entreprise.

Tant mieux, je m’en débarrasse un peu. Vous n’en avez jamais entendu parler, je n’en ai jamais parlé.

Beaucoup trop d’entreprises en France

En gros, c’est ça. Donc, je ne suis qu’un mec.

Cependant, j’ai toujours autant d’entreprises en France.

Je me retrouve avec cinq entreprises en France, une entreprise à Dubaï et deux à Hong Kong, ce qui fait huit entreprises en tout.

Finalement, je ne me retrouve qu’avec sept. Je pense que, après ça, je fermerai mon entreprise en France.

Ce qui me casse toujours les couilles, c’est que j’ai une entreprise qui a 13 ans d’antériorité, celle-là, je ne pense pas que je la fermerai.

J’en ai une autre qui a cinq ans de très bons résultats, de très bons bilans, et cetera. Cette entreprise, je suis prêt à la fermer car elle m’a permis d’avoir beaucoup de choses.

Mais c’est elle qui m’a cassé le plus les couilles car les banques m’ont saoulé pour ne pas me donner de crédit, en disant « oh mon Dieu, il est à Dubaï ».

Voilà, c’était juste pour faire 54 crédits.

Cette vanne, quoi.

Toujours soigner sa relation avec son banquier

Donc voilà, moi pareil, puisque c’est la phrase :

On peut s’engueuler avec tout le monde, mais pas avec son banquier.

Je ne me souviens plus de l’auteur de cette phrase.

C’est pareil, moi, mes dettes, je les rembourse, donc je me débrouille avec mon argent personnel s’il le faut.

Mais je rembourse mes dettes.

Ah, avec mon associé, c’est pareil, je veux dire, c’est une entreprise cool, point.

On rembourse les dettes, l’histoire est réglée quoi.

On rembourse les banques, c’est toujours très important.

C’est vrai qu’ils mettent des grosses ardoises et salut.

Alors, je connais des gens qui montrent de belles entreprises, qui lèvent 500 k de crédits, qui font des transferts et après, c’est la débâcle.

Et tu ne rembourses jamais. Par contre, tu ne reviens jamais dans le pays, hein.

Est-ce que ca vaut le coup ? Non.

Il est possible qu’après 10 ans, il y ait une prescription et que vous puissiez vous en sortir facilement.

Certaines personnes diront que 50 000 euros par an, c’est quand même beaucoup pour cela.

Mais cela dépend de chacun et de ses valeurs. Je connais quelqu’un qui a fait cela pour plusieurs millions et maintenant il est à Bali.

Je crois qu’il est dans ce canal d’ailleurs, mais je ne suis pas sûr.

Enfin bon, je veux dire que je ne sais pas vraiment. Mon problème, c’est qu’on ne connaît jamais toute l’histoire.

Les gens ne sont jamais vraiment mauvais en fait.

J’aime surtout les méchants qui pensent faire le bien et qui ne se rendent pas compte qu’ils sont malades.

C’est le plus gros problème.

Les méchants n’admettront jamais qu’ils ont tort.

Il y a toujours une explication à leurs actions.

Donc, je m’en fiche de la raison.

Ce qui compte, c’est ce qui s’est passé cette nuit-là.

Les avantages des sociétés a Dubai contre Hong Kong

En ce qui concerne les boîtes et la structuration de ma Holding, je ne suis pas encore sûr de ce que je vais faire.

Je ne sais pas si je vais laisser le Web2fou à Dubaï.

Mais il y a beaucoup d’avantages à Dubaï.

Le fait d’avoir une boîte à Dubaï m’a permis d’avoir une activité au niveau du compte courant.

Je vais déplacer des choses vers la holding, ce qui me permettra de rassurer les gens.

Cependant, je ne suis pas sûr que cela ait du sens de vivre en Thaïlande et d’avoir une entreprise à Dubaï, en particulier pour mes clients.

Cela peut sembler étrange, surtout pour ceux qui arriveront plus tard.

Je ne veux pas donner l’impression d’être un beau mec qui fait des choses louches.

Mais dans mon cas de figure, Hong Kong fait sens

C’est pour cela qu’il vaudrait mieux avoir une entreprise à Hong Kong.

Je ne suis pas sûr de ce que je vais faire pour l’instant.

Je vous tiendrai au courant en février ou en mars.

Pour ce qui est de la signification d’IGC Holding, c’est en fait une blague personnelle.

Il peut signifier ce que l’on veut, comme International Group, Corporate ou encore International Groupement Club Tokyo.

Je trouve que cela fait des initiales simples qui donnent l’impression qu’il y a des associés.

C’est plus facile que de mettre un nom compliqué comme International Groupe Network.

La signification d’IG Holding n’a pas vraiment d’importance, chacun peut lui donner sa propre signification.

Personnellement, j’ai ma propre interprétation, mais je ne la donnerai pas. C’est juste pour le jeu. Cela me fait rire.

Ceux qui me connaissent depuis longtemps pourraient peut-être deviner sa signification.

J’ai ajouté le mot « Holding » volontairement dans le nom de ma société, car certaines personnes cachent le fait que leur entreprise est une holding, ce qui peut causer des problèmes économiques et réglementaires plus tard.

Comme je ne suis plus résident à Dubaï, je vais devoir justifier le fait que ma société est toujours basée là-bas et qu’elle n’a pas été rachetée par la société à Hong Kong.

Cela peut être compliqué, notamment pour ouvrir un compte bancaire en euros.

C’est pour cette raison que je pense déplacer la société à Hong Kong, ce qui serait plus logique puisque ce serait la holding qui la posséderait.

Cependant, cela pourrait causer des problèmes économiques et réglementaires car les régulations diffèrent selon les pays.

Je sais que je pourrais avoir des problèmes à un moment donné.

Mais pour le moment, je garde cette société pour pouvoir renouveler mon visa.

Une astuce fiscale (je ne suis pas avocat, ni fiscaliste)

Je vais donner une astuce fiscale pour ceux qui sont arrivés jusqu’ici.

Si vous êtes résident d’un pays sans impôt comme Dubaï, vous n’aurez pas d’impôt sur les revenus, les dividendes ou le capital pendant au moins deux ans.

Si vous revendez votre entreprise à une autre société après deux ans, vous pouvez bénéficier d’un crédit vendeur.

La banque d’or estimera la valeur de la vente en fonction des résultats et de la valeur de l’entreprise.

Par exemple, j’ai vendu ma société à ma société holding à Hong Kong pour environ 5 millions de dirhams de Dubaï.

Ma société de Dubaï aura une dette dans son bilan pour financer la vente.

En réalité, c’est un transfert de richesse, car ma société de Dubaï finance l’achat de ma société par ma société holding de Hong Kong.

Un crédit vendeur

Cela s’appelle un crédit vendeur, et l’argent peut être financé par n’importe quelle source, comme Web2fou, l’affiliation, la crypto, etc.

Cela peut arriver sur le compte courant de la société holding.

Cette astuce est avant-gardiste et je suis sûr que ceux qui investissent dans les cryptos sont en train de se faire avoir sur ces sujets-là.

Vraiment ?

Ah oui, mais comment est-ce que je récupère mon argent à chaque fois ?

Eh bien, en fait, les 5 millions que j’avais transférés à Hong Kong au fil du temps doivent être récupérés dans les sept prochaines années.

Comme j’étais résident fiscal à Dubaï quand je les ai vendus, ces 5 millions sont exonérés d’impôts.

Cela signifie qu’imaginons, dans un an, je décide de rentrer en France, je pourrais toucher ces cinq millions, sans payer d’impôts, sur les sept prochaines années.

C’est vraiment avantageux en France et c’est 100% légal.

Cela fait rêver, bien sûr. Cependant, cela est moins intéressant en Suisse, où il y a un impôt sur la fortune.

Mais en France, c’est cool. Cela ne m’empêche pas de travailler, bien sûr, mais il y a d’autres problèmes en France.

8% d’impots a Hong Kong… qui ne sont pas pris en compte

Donc, c’est un coût très intéressant, car à Hong Kong, il y a quasiment pas d’impôts, seulement 8% je crois.

De toute façon, cet impôt n’est pas pris en compte, car le crédit vendeur me sert pour mon compte courant.

C’est-à-dire que l’argent que va générer la boîte de Dubaï va être transféré et facturé à la boîte à Hong Kong.

Cette facture sera en compte courant et moi, j’ai une serviette dessus, car la boîte est à mon nom, c’est moi qui l’ai achetée.

Donc, je vais me verser en fait un salaire, ou plutôt une rémunération, car la boîte me doit de l’argent, vu que j’ai vendu pendant que j’étais à Dubaï.

C’est considéré comme une rémunération, pas compliqué comme des dividendes, car j’ai vendu la boîte en étant à Dubaï, donc on continue à me payer.

Et cela est exonéré de tout impôt dans le monde, que ce soit en Amérique, au Japon, ou ailleurs, je peux aller où je veux.

Cela me donne une liberté de cinq millions sur sept ans.

Une vraie liberté fiscale

Je ne sais pas si c’est trop ou pas assez, mais dans l’ensemble, cela n’a pas vraiment d’importance.

Cela permet vraiment de pouvoir aller où on veut.

C’est pour ça que je dis que ce n’est jamais un problème d’impôt, c’est jamais un problème financier, vraiment jamais. Je ne prends jamais de décisions en fonction de la fiscalité.

Je ne vais pas en Thaïlande parce que je ne suis pas attiré par le pays.

C’est pas par fun.

Je ne fais pas une boîte à Hong Kong (la holding à Hong Kong).

Je l’ai faite parce que je suis en Thaïlande, parce qu’il y a des lois favorables pour la succession, ça n’a rien à voir avec la fiscalité.

Bien sûr, cela peut avoir un impact, mais le mieux aujourd’hui, si on veut un truc en situation d’expatrié, c’est d’avoir une fondation à Dubaï.

Je passe les détails, mais c’est le meilleur choix pour la succession.

Toujours une liberté fiscale

Et on verra ce que Dubaï revient.

L’avantage, c’est que si pour X raisons, ma boîte à Dubaï ne fait plus d’argent, eh bien, c’est tranquille.

Cela veut dire que si elle ne me paie pas ce qu’elle me doit, et que je ne peux rembourser que 2,5 millions, j’aurais quand même 2,5 millions non imposés.

Et je m’assiérai sur les 2,5 millions, où là, je commencerai à payer des impôts.

Donc, l’idée, c’est que ça dure.

N’oublions pas qu’il y a un impôt caché quand même, un impôt caché, c’est le coût de renouvellement des boîtes.

Cela me coûte 15 k par an, 20 k avec un visa à Dubaï.

Donc, c’est 15 000 en année 1, 20 000 en année 2, 15 000 en année 3 et 20 000 en année 4.

Cela a un coût, c’est une certaine imposition quand même, en plus de la boîte à Hong Kong qui a un coût d’à peu près entre 5 000 et 10 000 euros.

Donc, ça fait quand même 30 000 euros d’impôts de société quand même. Ce n’est jamais aussi évident qu’on le pense.

J’insiste, sauf que là, l’argent ne va pas à l’État, il est transféré chez des avocats, dans des sociétés, c’est du privé, quoi, c’est de la prestation.

Donc, voilà, pour vous dire tout cela, c’est ce sur quoi j’ai travaillé ces derniers mois.

C’est pour cela que j’étais un peu en retrait, que j’ai quand même sorti certaines formations au milieu, et tout cela.

Ça a été très très long, j’ai beaucoup d’infos qui se croisent, il ne faut pas faire de la merde.

Ça prend du temps, en fait, même si cela ressemble un peu à de l’improvisation.

Il fallait vraiment m’organiser : Non a l’improvisation

Enfin, oui, d’un point de vue d’expatriation personnelle, oui, mais il y a quand même un gros impact qu’il faut prendre en compte.

C’est pour cela que j’ai longtemps hésité, j’ai lancé ça d’abord, j’ai regardé, machin et surtout ce qui m’a foutu le bordel, ce n’est pas mes choix, c’est cet enfoiré de covid, enfin ces enfoirés de gouvernement qui sortent des règles qui n’ont pas de sens.

Il y a des choses qui n’ont pas de sens, voilà, enfin je ne sais pas, rien n’est sûr, en fait.

Donc, moi, je n’anticipe pas, quoi que maintenant on va aller au variant Omicron, ils vont faire fermer, je ne sais pas quoi.

Ce qui me fait peur maintenant, c’est qu’ils décrètent un confinement en Thaïlande dans une semaine.

Et là, ce serait le pire scénario pour moi.

Pourquoi ? Ben parce que du coup, je suis bloqué à Dubaï, je n’ai pas d’appart ou d’appart-hôtel.

J’ai lancé quand même les procédures, j’ai payé et je me retrouve dans la merde.

Pendant 6 mois, je ne sais absolument pas ce que je vais faire.

Il va falloir anticiper rapidement cette situation, car cela peut arriver dans une semaine.

Nous reprendrons probablement un appartement à Dubaï, pour qui ?

Si ça se trouve, je vais rester à Dubaï, hein !

Si, en fait, la Thaïlande confine, je reste à Dubaï, c’est con, mais voilà quoi !

Donc, voilà, c’est le gros point noir ! C’est très compliqué, hein !

Tout cela est très compliqué.

Et ce n’est pas une question de société, ce n’est pas une question de choix personnels.

La faute aux gouvernements

Nous avons un peu traîné pour des raisons de tous ces trucs-là, mais putain, c’est un vrai problème de covid, gouvernemental.

Ça aurait été plus simple, hein ?

Les gens prennent des décisions de bon sens, mais pas pour moi, hein, pour tout le monde, peu importe qui on est ou où on en est dans sa vie.

Voilà pour les explications. Je pense que c’est assez long.

Voilà pour les raisons globales.

Je voulais faire ce point pour les plus fidèles qui liront jusqu’au bout. Il y a vraiment de la valeur.

Je pense qu’il y a des infos très intéressantes que vous avez apprises. Je pense que vous comprenez mieux aussi mon état d’esprit actuel qui sera amené à évoluer.

Mais c’est problématique aussi.

C’est un vrai bordel stratégique à tous les niveaux pour toutes les sociétés, pour tous mes produits, dans ma vie, pour ma gamine.

Parce que bien sûr, ma gamine, au passage, elle n’est plus à l’école, hein, donc il y a plein de choses comme ça !

Je vois d’ailleurs de plus en plus de gens qui mettent leur enfant au CNED en France.

Je n’étais pas si bien informé, ou j’avais jamais entendu du mal du CNED, en tout cas !

Enfin, très peu de mal.

Notre société tends vers un apprentissage plus présent

Il me semble que la société actuelle tend vers une approche où l’apprentissage est de plus en plus présent.

En effet, on peut déjà constater que de nombreuses formations sont disponibles en ligne, et ce n’est pas seulement pour obtenir une bonne note.

Personnellement, je pense qu’il est important de promouvoir l’utilisation des tablettes et des ordinateurs auprès des enfants dès l’âge de trois ans, non pas pour qu’ils passent leur temps devant un écran, mais pour développer leur agilité.

Un abus d’écran ?

Je me souviens d’une expérience récente à l’hôtel où j’ai observé une jeune fille à côté de moi qui devait avoir environ dix ans.

Son père, qui parlait arabe, était occupé à lui donner à manger à la cuillère pendant que la jeune fille regardait TikTok sur son téléphone portable.

Nous avons passé environ deux heures et demie à la même table, qui était longue comme celles des méchouis.

La jeune fille ne portait pas attention à son père et passait son temps à regarder son téléphone.

Beaucoup de gens pourraient considérer cela comme un abus d’écran, mais personnellement, cela ne me dérange pas si elle ne regarde pas de choses inappropriées.

Le vrai problème, c’est qu’elle regardait des vidéos de chats.

Je trouve que ce genre de comportement abrutit les enfants.

Je ne suis pas contre l’utilisation de YouTube pour apprendre des choses, mais je connais des parents qui en font une obsession.

Bien sûr, si la jeune fille regarde des vidéos de Poppy ou d’autres conneries, ça ne sert à rien.

Pour ma part, je suis content que ma fille regarde Petit Ours Brun sur Netflix.

C’est mignon, ça apprend des choses et ça montre des situations qu’on ne voit pas forcément à Dubaï où nous avons vécu pendant presque les trois quarts de sa vie.

On reste dans de l’apprentissage

Cependant, il y a des moments où les vidéos de YouTube peuvent être utiles, notamment pour découvrir de nouvelles choses ou établir des liens avec les choses apprises.

Mais quand on passe son temps à swiper sur des vidéos de chats ou de mecs qui montrent leur cul, c’est la déchéance.

Personnellement, j’aime regarder des vidéos en fonction du contexte.

En ce moment, j’ai beaucoup de vidéos sur TikTok où des nanas parlent de leur ex.

Je n’ai pas compris à quel moment cette tendance a commencé, mais j’ai regardé quelques vidéos qui m’ont fait rire.

Cependant, je ne passe pas mon temps à swiper sur ce genre de vidéos.

La différence, c’est que je regarde des vidéos sur les toilettes.

Je passe un peu plus de temps aux toilettes qu’avant, c’est sûr, mais je veux dire que je passe environ dix minutes sur TikTok.

Mais contrairement à la jeune fille que j’ai mentionnée auparavant, je regarde des vidéos sur la crypto, des vidéos sur le business en ligne, des vidéos américaines et espagnoles sur des sujets intéressants.

Je veux dire que parfois, il faut relâcher la pression de la surproductivité de notre cerveau et prendre un peu de temps pour se détendre.

Même Jeff Bezos a besoin de temps pour se détendre.

Personnellement, j’aime jouer à des jeux vidéo comme The Witcher ou d’autres jeux de rôle qui offrent une expérience de progression infinie et qui nécessitent un peu de réflexion.

Passer 2 heures sur des vidéos de chat : NON

Mais passer deux heures et demie à regarder des vidéos de chats, c’est vraiment déprimant.

Je ne juge pas l’éducation du père de la jeune fille, car il fait probablement de son mieux.

Cependant, si j’étais à sa place, je ne laisserais pas ma fille passer autant de temps devant son téléphone à regarder des vidéos inutiles.

Avec les éléments dont disposait le père de la jeune fille, il était difficile de l’empêcher de regarder son téléphone pendant qu’il la nourrissait, mais cela soulève clairement un problème.

Pour ma part, cela me dérangerait que ma fille passe deux heures et demie à swiper des vidéos de chats.

On peut toujours apprendre avec les jeux vidéos

Minecraft

Un de mes associés a offert à ses filles des tablettes et leur a acheté Minecraft, mais il se pose des questions sur la façon de limiter leur temps de jeu.

Personnellement, je ne connais pas trop le jeu, mais je sais que c’est un jeu de construction qui nécessite de la réflexion et de l’intelligence.

Il est important de ne pas interdire à nos enfants de jouer à des jeux qui leur permettent de se développer.

Que tu limites son temps de regarder les tutos paillettes de 15 minutes après le goûter avec ce moi je dis carrément.

Tomb Raider

Je trouve que Tomb Raider est extrêmement important, car cela m’a appris à être bloqué dans des niveaux et à chercher la solution en étant persévérant.

J’ai appris les trucs de base, les secrets cachés, à regarder partout, à savoir m’agripper sur certains reliefs et à être attentif à l’environnement.

Il y a tellement de possibilités à explorer, c’est un putain de spectacle !

C’est comme Mario, où j’ai joué à un niveau où j’essayais de sauter et de trouver la limite, le pixel près, et j’essayais de me raccrocher au bloc en face.

Tu vois ce que je veux dire ?

Super Mario

Je trouve que c’est bien, mais je n’ai pas beaucoup joué à des jeux comme ça, à Super Mario.

C’était comme une partie de nous, mes parents devaient cacher la Nintendo et tout ça.

Moi, j’adorais ça parce qu’il y avait des réflexions.

Est-ce que Mario est un jeu intelligent ? Oui, je pense qu’il y a des réflexions et des obstacles à franchir.

C’est un peu comme le sport, les jeux vidéo.

J’ai fait du skate, donc pour moi, c’est pareil.

Si tu ne persévères pas, tu ne réussiras pas, c’est la même chose pour les affaires.

Je pense qu’il est important de laisser son enfant jouer à un jeu où il devra réfléchir et surmonter des obstacles.

La problématique d’aujourd’hui, c’est qu’à l’époque, on ne voulait pas connaître la solution, on n’avait pas la solution.

Il fallait démarrer le modem, attendre 10 heures d’internet et on ne savait pas sur quel site aller sur Google.

On ne trouvait probablement pas l’information que l’on cherchait.

J’ai connu cette époque.

Le Graal du SEO

Le référencement, à l’époque, c’était le Graal.

Aujourd’hui, au moins, on est tous un peu au top et tout le monde le fait.

Je suis sûr que tout le monde ici s’est emmerdé, parce que tu vas sur YouTube ou autre et puis tu as la réponse tout de suite.

Je ne sais pas si c’est une bonne chose.

Pour moi, c’est bien parce que tu as la réponse tout de suite et ça permet d’avancer plus vite.

Mais du coup, tu galères moins, tu apprends moins bien et j’ai cette impression.

Je suis devenu comme ça, moins persévérant qu’avant, mais j’apprends beaucoup plus de choses, même si c’est de manière moins approfondie.

En ce qui me concerne, j’essaie de faire les bons choix.

J’ai appris de mes expériences passées et je sais maintenant ce qui est important pour moi.

Cependant, si je devais être comme je suis aujourd’hui il y a 15 ans, je pense que ce serait une erreur.

Il faut passer par une phase où tu ne dois pas avoir tout prémâché.

Pour cela, je pense que c’est une bonne chose.

Les obstacles forcent l’apprentissage et l’expérience

Donc, si la fille de quelqu’un est bloquée sur Minecraft, par exemple, je ne vais pas chercher la solution sur YouTube.

Sur YouTube, il y a tellement de choses inutiles, de trucs de paillettes, que ça ne m’intéresse pas.

Il est important que son enfant s’épanouisse en réfléchissant et en surmontant les obstacles.

Si on ne les laisse pas faire, les enfants ne pourront pas se développer.

En 15 minutes, on ne peut pas faire grand-chose, que ce soit dans le travail ou dans les jeux.

Il faut trouver une phrase pour dire que c’est important que les enfants aient la possibilité de surmonter des obstacles et de réfléchir.

Parfois, on perd du temps sur des choses inutiles, comme regarder des vidéos de maison sur YouTube, mais cela correspond à des moments de notre vie.

Dans six mois, on pourrait regretter d’avoir perdu du temps sur des choses comme les vidéos TikTok sur les cheveux.

Finalement, c’est important de laisser les enfants s’épanouir et de surmonter les obstacles.

La Formule 1 et l’époque des cartes mémoires

Chez mes parents, ils me laissaient jouer pendant quinze minutes à un jeu de Formule 1.

Cela ne me permettait même pas de faire deux tours de circuit, il fallait déjà que je ferme.

C’était compliqué, car à l’époque, il y avait des temps de chargement, des cartes mémoire, des sauvegardes, etc.

J’y perdais beaucoup de temps, même si 15 minutes, c’est rien.

Je sais que j’abusais un peu, j’étais un taré, mais ce qui me plaisait, c’était de trouver des dégâts au maximum pour essayer de voir comment on pouvait éviter, quels étaient les dosages de freinage en fonction des virages, etc.

Il y avait une réflexion intelligente derrière, notamment sur le circuit de Monte-Carlo.

Pour moi, c’était important de ne pas m’abrutir devant une course, mais de réfléchir.

C’est pareil pour les jeux comme Tomb Raider.

Tu as tes codes, tu ne fais pas grand-chose, il y a plus d’intérêt dans le premier opus que dans le deuxième.

Je les ai terminés sans code, sauf pour les armes. Il faut des obstacles, sinon il n’y a plus d’intérêt.

Ne pas sous-estimer ses obstacles de vie : BRAVO !!

Je prends autant de temps pour expliquer cela parce que je vois trop de gens aujourd’hui, entre 20 et 50 ans, qui ont déjà abandonné.

Je peux comprendre que, à 50 ans, tu as déjà eu ta dose d’obstacles dans la vie : maladies, morts, difficultés avec les enfants, travaux, patrons, etc.

À un certain moment, tu n’as plus envie de te lancer dans de nouveaux défis, de nouveaux obstacles.

Je comprends cela, et je pense à trois personnes en particulier avec qui je parle régulièrement, qui sont comme ça.

Ils disent « ce n’est pas grave, on y va, obstacles, putain! ».

Pour moi, à mon âge, j’en ai déjà assez.

Dans 20 ans, je serai peut-être en dépression, à la retraite ou peut-être mort.

Les gens me disent souvent « j’ai 60 ans et tout », et je leur réponds « bravo d’être arrivés jusque-là ».

Pour moi, c’est un des premiers trucs que je dis.

La vie : un jeu vidé avec ses obstacles

Je pense sincèrement que travailler des réflexions et des obstacles peut t’aider à t’élever psychologiquement pour franchir les obstacles de la vie.

Cela t’apprend que la persévérance est importante, que tout a une solution, qu’il suffit de chercher, d’analyser et d’essayer différemment.

Personne ne réussit Mario du premier coup, tout le monde se plante. Lara Croft est morte des milliers de fois dans le jeu, et c’est bien ainsi.

Quand les jeux vidéo ont commencé à apparaître, il y avait plus de système de soins, c’est-à-dire que tu pouvais t’auto-régénérer un peu comme dans Call of Duty où tu prends des balles mais tu te soignes automatiquement.

Il y a en réalité plus de logique derrière les jeux vidéo qu’on ne le pense.

Il suffit simplement de développer des outils.

Pour moi, il n’y a pas de réflexion stratégique profonde, il s’agit simplement de buter l’autre joueur.

Il n’y a pas de système de jeu réellement développé, à part peut-être pour la progression des armes.

En comparaison, dans les jeux de foot, il y a plus de stratégie impliquée, avec des pages de tactiques et des mouvements spécifiques à exécuter.

Meme dans les jeux de tirs

Dans les jeux de tir, à part dans les jeux de discrétion où il y a une certaine réflexion à avoir, comme comment passer inaperçu ou contourner les ennemis, il y a peu de stratégie impliquée.

Par exemple, comment tuer des ennemis de manière silencieuse nécessite une analyse de l’environnement, des mouvements des ennemis et des horaires de travail.

L’école n’integre pas cet aspect fondamental de l’apprentissage

Je trouve que ces compétences sont importantes à apprendre, surtout parce que cela ne s’apprend pas vraiment dans la vie quotidienne ou à l’école.

Pour moi, les jeux vidéo sont géniaux parce qu’ils permettent d’acquérir ces compétences.

Par exemple, je ne vois pas où on apprendrait cela à l’école. Si tu as eu seulement 4 sur 20, c’est que tu n’as pas bien compris le fonctionnement du jeu.

Ouais je sais mais j’ai pas compris.

Eh bien, il aurait fallu apprendre.

D’accord, alors donnez une meilleure note.

Personnellement, je préfère que ma fille galère pour trouver comment passer un niveau en se faufilant à travers les gardes, etc.

Cela peut sembler idiot, mais cela permet une meilleure analyse de l’environnement, on devient beaucoup plus attentif aux détails.

Ni les soins du détail

Je suis content que ma fille soit très attentive aux choses et aux détails.

Par exemple, dans les jeux vidéo, elle remarque des détails que je ne vois pas, comme les hélicoptères ou les oiseaux.

Même des choses comme les trams à Dubaï, elle les remarque alors que je ne les vois pas.

Je pense que cela montre l’importance de porter attention à son environnement, et c’est une compétence précieuse.

Je me souviens quand j’étais jeune, à Bayonne, il y avait une route nationale, la nationale sept, qui allait de Bayonne à Saint-Martin.

Bien loin de Hong Kong donc.

Sur la route nationale sept, il y avait un virage en forme de U, avec une descente qui menait à une cuve et des arbres à côté.

J’ai dû passer plus de cent fois sur cette route, sans jamais remarquer qu’il y avait un lac.

Et un jour, j’ai juste tourné la tête et je me suis dit :

Putain, il y a un lac !

C’était comme la découverte d’une nouvelle chose, quelque chose de nouveau à explorer.

C’est comme ça que ça fonctionne dans notre cerveau, lorsque nous découvrons de nouvelles choses, cela crée de nouvelles connexions neuronales.

Mais l’inverse est également vrai, lorsque nous achetons quinze jeux différents pour nos enfants, cela peut les inciter à passer d’un jeu à l’autre sans jamais les terminer.

Toujours terminer ce qu’on a commencé

Je pense qu’il est important de terminer les jeux, surtout lorsque l’on est un peu plus âgé, entre douze et quinze ans.

Terminer quelque chose que l’on a commencé, c’est comme terminer un projet, atteindre un objectif.

C’est une compétence importante à acquérir.

Quand je commence un jeu, je me fixe des objectifs, comme atteindre le niveau supérieur, finir le jeu ou débloquer toutes les étapes.

Ces objectifs peuvent évoluer au cours du jeu, en fonction de mes envies et de ma progression.

Mais je trouve important de toujours se fixer des objectifs et d’avancer, avancer, avancer.

Cet état d’esprit peut être transposé à notre vie professionnelle.

Les clés pour réussir sont là, il n’y a pas de secret.

C’est un état d’esprit que je voulais partager, surtout à l’ère numérique et digitale, où nous sommes confinés à la maison.

Pourquoi rester coincé ?

Il peut être difficile de trouver des opportunités en France, alors pourquoi ne pas chercher ailleurs ?

L’herbe n’est pas plus verte ailleurs, mais vous aurez peut-être plus de liberté et d’opportunités.

Je sais qu’il y a des personnes qui ont des familles et des attaches ici, mais il n’y a pas grand-chose d’excitant en France en ce moment.

Si tout le monde était comme moi, jeune et sans attaches, alors le pays serait foutu.

Tout le monde serait en Thailande ou Hong Kong.

Mais personnellement, je suis un mercenaire et je suis toujours prêt à aller chercher mieux ailleurs.

Je ne suis pas convaincu que je peux changer les choses à moi tout seul, car je ne suis personne en particulier. Je ne suis pas un leader, et je m’en fous un peu en fait.

En vrai, je suis certain qu’il y aura toujours quelqu’un qui prendra les choses en main.

Personnellement, je suis prêt à affronter les gouvernements, mais je préfère rester dans mon coin.

Si nécessaire, je construirai dans une forêt ou quelque part dans le monde où nous pourrons vivre de manière autonome.

Nous avons la capacité de produire des choses incroyables aujourd’hui.

Nous devons être autonomes, voire autarciques.

Si nous devons nous alimenter en utilisant des batteries, alors nous devrons le faire.

Mais nous avons la technologie pour construire des choses incroyables, alors allons-y.

Ne jamais chercher la voie facile

Moi, j’ai toujours été encouragé à chercher la voie facile pour me cacher derrière elle.

On ne m’a jamais appris à nager à contre-courant. Je me souviens de mon directeur d’études à l’université, quand je lui ai dit que je voulais abandonner. « Pourquoi abandonner? », m’a-t-il demandé.

C’est quelque chose que je finirai par faire de toute façon, ai-je répondu.

Si je l’avais fait plus tôt, j’aurais évité de perdre une année entière à l’université.

J’étais vraiment perdu, j’avais un développement personnel particulier, et je me suis rendu compte que tout cela était inutile.

Je revois les mêmes choses encore et encore.

J’ai suivi une formation de BEP vente, Bac Pro vente, DUT, Techno, enfin j’ai eu les mêmes choses en fait.

Mais je me suis rendu compte que je n’avançais pas, qu’il n’y avait rien d’intéressant.

J’ai voulu partir, mais quelqu’un m’a montré une barrière sur une feuille de papier et m’a dit :

Tu vois, franchis cette barrière. Tu ne sauras jamais ce qui se serait passé si tu étais resté. Mais si tu restes et que tu découvres ce qu’il y a dans l’enclos, rien ne t’empêchera de sortir après.

Que répondre à cela ? C’est deux ans de ta vie quoi.

« Arrete tes conneries »

Voici ce qu’il me disait : « Ce n’est pas de la merde, arrête tes conneries. Reste un an et demi et ferme-la ».

Aujourd’hui, je le dirais ainsi : « Arrête tes conneries, je reste un an et demi et je me tais. On en reparlera en janvier ».

Heureusement, je ne suis pas directeur d’études et il est pédagogue, pas moi, mais c’est un peu le principe.

On parlera une prochaine fois de la pédagogie asiatique (Hong Kong, Singapour).

Ce jour-là, il m’a appris à chopper la vague sur la vague et à passer derrière la vague.

Maintenant, je sais comment sortir des tourbillons, comment m’échapper si je suis pris dans un courant ou une vague.

À chaque fois, il ne faut pas lutter.

Dans un tourbillon, il faut se laisser aller tout en bas et sortir quand on est tout au bout, au fond.

Évidemment, il ne faut pas que le tourbillon fasse cinq cents mètres, mais tout au fond, on peut ressortir sur le côté et aller loin, puis rebooter et sortir.

Dans les baïnes, il faut être un peu porté et attendre que le courant diminue pour décaler sur les côtés et revenir.

Si on regarde bien, le surf et tout ça, c’est toujours à contre-courant.

Si on essaie de lutter, on s’épuise et on risque de mourir.

Il faut rester bienveillant

Je suis souvent hanté par des pensées lorsque je fais des projets ou des choses.

En fait, je me dis que je ne dois jamais aller à contre-courant, que je peux ne pas comprendre.

Je suis intéressé, mais pourquoi est-ce que je fais ça ?

Je n’en suis pas sûr, j’ai une idée, mais mon professeur de CM1 m’a enseigné cette phrase que j’ai retenue : « ne fais pas ce que tu ne veux pas que l’on te fasse ».

C’est la base, la morale numéro un, et il faut battre le fer pendant qu’il est chaud.

Mais maintenant, avec Internet et tout, c’est devenu compliqué.

Tout va trop vite, et pendant que tu essaies de battre le fer, le temps que tu arrives, c’est déjà trop tard.

C’est compliqué.

Tout va très, très vite.

Regardez, j’ai deja set up mes montages avec Dubai, Hong Kong et la Thailande.

Qui a écouté 1 heure de cet audio avant cette restranscription ?

Je ne sais pas comment gérer 400 e-mails, surtout ceux des deux derniers jours.

On a gagné trente abonnés sur Telegram, mais je ne sais pas comment gérer ça.

J’ai déjà essayé de répondre à tout le monde, mais c’est difficile.

Et puis il y a ce mec qui m’envoie des photos d’appartements et deux audios d’une heure.

Mais qu’est-ce qu’il kiffe, ce mec ? En plus, il a une grosse barbe et bientôt on ne verra plus que ça sur son visage. Quand je me regarde dans la glace, je vois plus de poils que de peau.

Ça me fait marrer à chaque fois. Ensuite, je me rase tout et on me dit qu’on ne me reconnaît plus.

Quand j’ai les cheveux longs, j’ai un visage doux, je trouve.

Après, quand je suis rasé, c’est très carré. Le mec a l’air un peu…